Arret Papon 2002

international, qui n'était jusqu'alors qu'une règle de conduite ne faisant pas grief. 1er mars 1968 : Syndicat général des fabricants de semoules de France : Le Conseil d'État se refuse à faire prévaloir le traité sur la loi postérieure. Par cet arrêt, le Conseil d'État cherche à concilier la suprématie des traités sur la loi (article 55 de la constitution) avec son refus de censurer les actes du législateur. 20 octobre 1989 : Nicolo : Le Conseil d'État indique qu’il appartient au juge administratif

le père est un vieillard sénile se prosternant devant Satan, Jésus-Christ un débile sexuellement pervers et sa mère une dévergondée sans scrupules, est estimé comme étant blasphématoire par le diocèse catholique d'Innsbruck en Autriche. Dans son arrêt du 23 août 1994, Otto-Preminger Institüt c. Autriche, la Cour EDH estime que la saisie du film ne viole pas l'article 10 § 2 car "En saississant le film, les autorités autrichiennes ont agi pour protéger la paix religieuse" dans une région, le Tyrol

d'office -Vincent Lambert -Contrôle d’alcoolémie par l'entreprise. -Possibilité pour l'employer de s'approprier des documents de l'entreprise au regard des droits de la défense. -Loi sur le renseignement -Terrorisme déchéance de nationalité - Les arrêt à mettre sur webcampus. : -La fessée III- Les destinataires des droits et libertés A- Les titulaires et bénéficiaires des droits et libertés 1-titulaires Ensemble des organes habilités à saisir l'instance juridictionnelle chargée du contrôle des

d'attaquer l'État qui, si la faute personnelle est avérée, indemnisera la victime et se retournera contre son agent pour récupérer ses deniers. Ce système de remboursement s'obtient par le biais d'une action dite récursoire (affaire Maurice Papon, 12 avril 2002). - La notion de faute de service : les fautes commises dans l’exercice de leur fonction par des agents identifiés sont des fautes de service dont la personne morale doit réparer les conséquences. On peut dire que la faute du service est

Grands arrêts du Conseil d'État (France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercherPour consulter un article plus général, voir : Conseil d'État (France). Histoire du droit français Droit français • Histoire du droit Chronologie Ancien Droit Droit intermédiaire Grandes lois à l'époque ... ... de la Restauration ... de la monarchie de Juillet ... du Second Empire ... de la Troisième République ... de la Quatrième République ... de la Cinquième

Cette distinction est importante car de tels actes jouissent d’une immunité juridictionnelle * CE, 26 mai 1950, Vouters * CE , 28 janvier 2011, Patureau* : l’architecte des bureaux du Sénat souhaite attaquer par voie d’action, en annulation, un arrêté par lequel le Sénat souhaite modifier le règlement intérieur relatives au personnel technique : sa demande est rejetée, il ne s’agit pas d’un acte administratif unilatéral mais d’un acte parlementaire. 2.2. Les exceptions * Les actes individuels

caractère détachable de la faute permettant par la suite à l’Administration d’exercer une action récursoire sur l’agent fautif en vue d’obtenir de sa part le versement d’indemnités allouées à la victime. C’est ce qui est notamment ressorti d’un arrêt du Conseil d’Etat daté du 2 mars 2007 « Banque Française commerciale de l’Océan Indien »  ou l’administration répare intégralement le dommage résultant d’une faute personnelle, détachable du service, mais liée à l’exercice des fonctions « considérant

CONCLUSION ………………………………………………………………………..…….. page 60 VI. RECOMMANDATIONS…………………………………………………………………… page 62 VII. ANNEXES ……………………………………………………………………..………………. Page 64 1. Allocutions ……………………………………………………………………………. Page 65 2. Sommaire de quelques arrêts en matière de responsabilité administrative …………………………………….…….. page 72 2 3 3 PREFACE Le droit administratif ivoirien cherche encore sa voie ; la reprise du modèle français doit être considérée comme une première démarche, conservatoire

collaborateurs de l’Etat ou causés par des « choses » ou « activités » dangereuses. L’arrêt Blanco du 8 février 1973 a donc posé le principe de la responsabilité de l’Etat dans les dommages causés par ses agents dans l’exercice de leur fonction. Cet arrêt a eu l’effet d’un raz de marée car il est, preuve en est cette dissertation, encore beaucoup discuté, même si certain « tentent » de le désacraliser considérant que la doctrine l’a trop orienté. En fait, le juge administratif a considéré que malgré

obligations communautaires posé dans: CJCE, 19 novembre 1991, FRANCOVICH : l'état membre est tenu de réparer les conséquences dommageables de ses manquements au droit communautaire. C'est un principe inhérent au système des traités. Dans la logique de cet arrêt, la CJCE a concerté le principe de responsabilité du législateur national aux violations du droit communautaire. CJCE, 5 mars 1996, Brasserie du pêcheur : La cour indique : “ le principe de responsabilité est valable dans toute hypothèse de violations