Arrêt Civ 6 Octobre 1981

C’est le cas de l’Egypte (v., pour plus de détails, H. Slim, « Les contrats d’Etat et les spécificités des systèmes juridiques dualistes », actes du colloque « Les Etats dans le contentieux économique international », Rev. arb., 2003.691, spéc. n° 6 et s. et les réf. citées), et pour prendre un exemple au Proche-Orient, du Liban, à tout le moins jusqu’à une période récente. On se souvient de l’épique affaire relative aux contrats BOT conclus avec des opérateurs de téléphonie mobile à l’occasion

ou il la vendu à une autre personne 3eme Civ, 26/06/1996 : le promettant peut revenir sur sa parole. Des dommages et intérêts peuvent être octroyé à la partie lésée (art 1142). Mais impossibilité d’obtenir l’exécution forcée (seulement avant contrat). - Si le promettant veut garder son bien Des dommages et intérêts sont toujours possibles, la cour n’a pas exclu la possibilité pour le bénéficiaire de pouvoir solliciter une exécution forcée (même arrêt). Suppose un procès verbal notarié (on constate

la personne puisque seuls ces trois types d’erreur sont susceptibles d’entraîner la nullité du contrat. L’erreur sur les motifs et l’erreur sur la valeur sont sans incidence sur la validité du contrat. La Cour de cassation a notamment posé dans un arrêt du 13 février 2001 rendu par sa première chambre civile que « l’erreur sur un motif du contrat extérieur à l’objet de celui-ci n’est pas une cause de nullité de la convention, quand bien même ce motif aurait été déterminant ». L’erreur sur la valeur

fonction de leurs sources a) Les distinctions du Code civil b) La distinction des actes juridiques et des faits juridiques 3 – La classification des obligations ■ ■ ■ SOMMAIRE 3 18 19 19 19 20 20 20 20 21 21 21 21 22 22 22 23 6 L’ESSENTIEL DU DROIT DES OBLIGATIONS 1 : le contrat L’acte juridique Chapitre 2 – Les différents actes juridiques 1 – L’acte juridique unilatéral 2 – Les actes juridiques collectifs 3 – Le contrat 27 27 27 28 28 28 28 29 ■ ■

ce qui a été versé (art. 1235 al. 2 C. civ.) Ø L’obligation naturelle peut être transformée en obligation civile (Civ. 1ère, 10 octobre 1995) Section 3. La classification des obligations A. Les classifications des obligations en fonction de leur objet 1. La distinction entre les obligations de donner, de faire ou de ne pas faire (art. 1101 C. civ.) a. L’obligation de donner Ø Donner signifie transférer la propriété d’un bien (art. 1136 à 1141 C. civ.) Ø Donner un corps certain ou choses

se forment sans conventions. Le régime des obligations trouve sa place dans le Titre 3 du Cciv. Article 1168 et suiv du CCiv. Le chapitre 4 de ce titre est « des différents espèces d’obligation », chap 5 : « de l’extinction des obligations », chap 6 « de la preuve des obligations ». A partir du début du 20ème siècle les auteurs ont critiqué la démarche des rédacteurs du CCiv. Sous l’influence du BGB allemand les auteurs estimaient que ces règles, le régime de l’obligation général, devaient s’appliquer

à les garantir à tout enfant". La Cour de Cassation en déduisait qu'il n'y avait d'obligation qu'à la charge des Etats et ne créait pas de droit au profit des particuliers. Arrêt Lejeune 1ère Civ du 10 mars 1993 bull. n° 103. Cette appréciation par les juges de l'intention des Etats partie est très fluctuante. Dans un arrêt du 18 mai 2005, la Cour de Cassation a opéré un revirement de jurisprudence, elle a jugé qu'au moins deux articles de cette Convention étaient d'applicabilité directe, l'art

à améliorer entre le SPI et la brigade nationale de lutte contre la piraterie et la contrefaçon. Au-delà de tout, il est capital que les campagnes de sensibilisation et d'information soient constantes, au moins organisées tous les 3 (trois) mois ou 6 (six) mois. Tout en prenant des mesures d'accompagnement afin de permettre l'évolution de ces campagnes, en utilisant à la fin de chaque campagne un système d'évaluation dans le but de connaître les avancées de leurs investigations. 66 Guide OMPI de

qualifie de location pure et simple tout contrat, expressément qualifié de crédit-bail, mais qui ne comporterait pas de promesse de vente. (Cass. Com. 14 avril 1972 Bull. civ. IV n° 105 p. 105). Il en va de même d’un contrat de location dans lequel l’acquéreur se serait unilatéralement engagé à acquérir. (Cass. Com. 30 mai 1989. Bull. Civ. IV n° 167 p. 110). La présentation de ces difficultés et des intérêts pratiques de la formule sera évoquée à partir des différentes étapes de la vie du contrat : sa

rapprocher les parties sans agir sous le mandat de l'une ou l'autre), le commissionnaire en transport ou en bourse)... Elles peuvent aussi être le fait de services financiers (opérations de banque, y compris les établissements mutualistes depuis un arrêt Com, 24 janvier 1984, les établissements d'assurances, les opérations d'intermédiaires mais pas les établissements de l'Etat ni les mutuelles d'assurances, ni les opérations de bourse effectuées par les particuliers (sauf si elles sont régulières)