Ascagne

cote de l’Italie. Enée avec quelques compagnons sont bien accueillis par le roi Latinus et lui propose de devenir son gendre en épousant Lavinia et en hommage à sa femme, Enée fondera une ville Lavinium. Quelques années plus tard, le fils d’Enée, Ascagne (ou Iule) décide à son tour de fonder une ville et la ville qu’il fonde est celle d’Albe. Sous la république le souvenir d’Enée restera très présent, les romains iront voir son tombeau. Parmi les descendants d’Ascagne, il y a une femme qui s’appelle

après par une conspiration de sénateurs. Il fut divinisé et son fils adoptif Octave, vainqueur de Marc Antoine, acheva la réforme de la République romaine, qui laissa place au principat et à l’Empire romain.César affirmait avoir pour ancêtre Iule (ou Ascagne), fils d’Énée et de Créuse, amené en Italie par son père après la chute de Troie. Ce fondateur d’Albe la Longue était considéré comme le créateur de la vieille famille des Iulii qui, selon l’empereur Claude, se joignit ensuite aux patriciens de Rome6

du plus profond de la déréliction; quelque chose comme les "pénates des pères" qu'Énée, fuyant la ville de Troie tombée aux mains des Grecs et déjà la proie des flammes, recommande à son père Anchise d'emporter[10]. Énée, guidé par son jeune fils Ascagne, et portant sur son dos son vieux père Anchise, lui-même chargé des pénates des pères : ce tableau, brossé par Virgile pour y dire le geste fondateur de la création de Rome, devrait nous rappeler que seul le symbolique nous préserve de l'état de nature

rois : Une suite de récits extraordinaires raconte la naissance de Rome. Premier récit, la légende d’Énée Elle évoque, après la destruction de Troie et un long voyage maritime, l’arrivée { l’embouchure du Tibre des Troyens et de leur héros Énée. Ascagne, son fils, fonde Albe-la-Longue, où règnent pendant trois siècles ses douze descendants paisibles ( l’Énéide de Virgile). Deuxième récit, la légende de Romulus Le treizième roi albain, Numitor, est jalousé par son frère cadet Amulius qui le

1. Sous un des portiques gauche, la famille Julienne était honorée. Enée, portant Anchise (le sauvant des flammes de Troie témoigne de sa pietas dont Auguste en est l'héritier) et les Pénates (divinité du foyer) sur son dos et tenant par la main Ascagne (Iule), occupait la niche centrale de l'exèdre. De part et d'autre, dans les niches plus petites figuraient, en marbre, les rois d'Albe la Longue et la gens Iulia d'autre part (vers le temple). 2. Dans le portique droit, l'effigie du second héros

t’alarmer ; les destins ne trahiront pas tes chers Troyens, je vais dérouler devant toi la longue trame des destinées. Ton fils soutiendra en Italie une longue guerre. Il y domptera des peuples féroces et leur donnera des villes et des mœurs. Le jeune Ascagne, qui porte maintenant le nom d’Iule, verra, sur le trône de son père, le Soleil parcourir trente fois le cercle des jours, puis il transportera le siège de l’empire de Lavinium à Albe. Enfin, une fille des rois albains, Ilie, mêlant au sang de Mars

forme de Narcissisme autotélique : à travers un Fabrice alter ego qui est de ma race et de mon sang, je m’aime moi-même. Il est à ce titre nécessaire que la naissance de Fabrice reste ambiguë et qu’il puisse être rattaché par le sang à Ascagne del Dongo , frère de Gina. On pourra d’ailleurs rapprocher l’impasse des amours endogames de Gina pour son neveu du cas d’Octave de Malivert, aristocrate dégénéré du roman Armance lequel préfigure le Des Esseintes

Keiser). Ses commentaires furent écrits pour que le peuple ne l’oublie pas et venter aux Romains tout ce qu’il a fait. Il se faisait appelé le chanceux car alors élu des dieux (Sylla le faisait déjà avant lui). Et se disait descendant de Iule ou Ascagne, fils d’Enée et donc descendant de Vénus et d’Arès (Venus Gemetrix). On lui reprocha sa relation passive avec Nicomède, roi de Bithynie (notamment ses soldats lors de son triomphe, qualifié de « convicium » et par Catulle qui dénonce sa relation avec

le dépeint comme un "soldat fanfaron" et suggère son homosexualité ; est-il encore le "jeune ambitieux" du sonnet 73 ? Il ne fait aucun doute que c'est encore Carlo Caraffa qui est visé par le sonnet 103, à l'occasion de la mort de son "mignon", Ascagne Sanguinio ; enfin, l'on retrouve Caraffa sous les traits du miles gloriosus dans le sonnet 112 p 116 2) A partir de maintenant commence la satire sur la ville de Rome et l’Eglise. - La partie centrale est la plus importante de la satire c’est

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . c) Anna : .................... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . d) Ascagne : . ............... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . e) Béthleem : ............... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .