Assonance

changent total = sonorité triste Assonances en « U » et « I ». Emploi de rimes batelées (ardeur, meurt) -> Fragilité de la fleur = « alternative » « ou … ou », vers 7 L’allitération en « L » traduit le glissement vers l’inéluctable mort de la rose. Ainsi que le rythme du vers 8 (3/3/3/3). Deuxième étape : Marie évocation très rapide par la vie et mort vers 9 « jeune » Mort brutale de Marie : intervention de la mythologie : la barque : Assonance en « a » et « t » 1° hémistiche Et

favorisant les répétitions de sons : Allitération : On retrouve cette figure lorsqu’il y a une répétition de consonnes. Il y a souvent des mots qui débutent par la lettre «v». Par exemple, «voici», «venir», «vibrant», «valse», «vertige», «violon», etc. Assonance : Chaque vers termine avec soit la rime «oir» ou «ige». C’est-à-dire, une répétition de voyelles. On remarque donc un sentiment d’harmonie puis de régularité. Les figures favorisant les énumérations : Hyperbole : Elle est une exagération pour mettre

femme se vante et se compare à une pièce sculptée, et dont le sein inspire tous les auteurs, ici Baudelaire affirme que rien ne pousse l auteur à écrire que la beauté elle-même, les assonances(el) et (jer)dans le premier quatrain donne une fluidité, un prolongement qui s'oppose à tour de rôle au resserrement des assonances(ur) donnant une belle musicalité au poème.. Il personnifie la beauté par le corps d'une femme qui parle(sein,cœur,pleure,ris,mes yeux)ce qui donne un caractère de vivacité à la beauté

ponctuation. C) La Musicalité Rythme donné par la nasale. L’allitération en M insiste sur la sonorité commune à mer et musique. Le premier quatrain est dominé par l’allitération en V qui crée un lien entre tous les mots. Dans le deuxième quatrain assonances en O, même procédé pour les deux quatrains. Les diérèses semblent éterniser les sons. Le sonnet procède par comparaisons et métaphores qui s’engendrent les unes les autres et marquent l’ambivalence de la musique pour le poète 2) La Musique

imitative) Ex. Les souffles de la nuit soufflaient sur Galgala (V. HUGO) : la répétition des sons [fl] et[l] fait penser au souffle du vent. Assonance : · Répétition d’un même son-voyelle en vue d’imiter un bruit (// harmonie imitative) · Répétition d’un même son-voyelle en fin de vers quand il n’y a pas de rime* Ex. fille et ami ne riment pas mais forment une assonance. Contre-rejet : il y a un contre-rejet quand un élément court commence une phrase à la fin d’un vers. Ex. Souvenir, souvenir, que me

accompagnée de tous les procédés d’écriture caractéristique de ce genre littéraire ( anaphore, rimes , allitérations , assonances … ) se mettent au service de la représentation de la beauté à travers les poèmes. On peut citer à ce propos le poème ‘’ cette nuit la folie l’oubli ’’ de Comorature, recueil d’Alain Duault, ou ce n’est pas le sens que l’on comprend en premier mais les nombreuses assonances et allitérations qui donnent immédiatement un côté musical a ce poème. Il n’y a pas que les procédés d’écriture

adjectif possessif « être sa femme » (3) + assonance « c » et discours direct et répétition « c’est cela ! C’est cela ! » (3/4) _ Description des actions de Julien « bouche entrouverte » (18) « ronflement » (16) caractère péjoratif du mari _ Répétition « il dormait » (18/18/19) +question de rhétorique et discours direct « Pouvait-il dormir une nuit pareille ? » (21) indignation face à l’indifférence du mari _ Interjection « oh ! » (23) + gradation et assonance en « é » et allitération en « t » « frappée

« chaud d’automne » « soleil monotone », enrichie par l’assonance en [o]. Par ailleurs, les assonances et les allitérations sont nombreuses. Prenons les vers 9 à 14 : on remarque une assonance en [a], son ouvert approprié aux horizons qui se déroulent sous les yeux du poète : « charmants climats », « mâts », « par la vague marine », « parfum », «  tamariniers », « narine », « âme ». Deux autres assonances viennent renforcer l’harmonie du passage : une en [ã] avec « charmants », « rempli », « Encor »

LA PUB JOUE AVEC LES MOTS Les publicités suivantes sont basées sur • des figures de style : métaphores, oxymores, antithèses, gradations, hyperboles • des jeux sur les sonorités : rimes, allitérations, assonances, paronomase • sur la polysémie • sur le rythme : rythme binaire ou ternaire • sur l’implicite recherchez ces procédés de style – il arrive que plusieurs soient associés dans un même énoncé. 1. Get 27, c’est l’enfer. 2. Du Pain, du Vin, du Boursin 3. L’enfer est plus vert

(rimes alternées ou croisées) V. Dispositions des rimes Assonance : · répétition d’un même son-voyelle en vue d’imiter un bruit (de procéder à une harmonie imitative*). Ex. Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. (RACINE) : la répétition du son [i] peut évoquer un cri qui peut exprimer le désespoir. · Répétition d’un même son-voyelle en fin de vers quand il n’y a pas de rime* Ex. fille et ami ne riment pas mais forment une assonance. Binaire : V. Rythme Calligramme : Poème dont les mots