Assonance

Alexandrin (12 syllabes) Rythme assez lent (dû à la tristesse du poème et des mots employés) Les rimes Qualifiée de suffisante (reprise d'un groupe constitué d'une voyelle et d'une consonne) Rimes féminines et masculines (assonances et allitérations) sont alternées de manière régulière (une sur deux) Lexique et ponctuation : Lexique varié (aucune répétition), deux majuscules dans la dernière strophe Le Temps qui mange la vie : Temps exprimé au sens large

musicalité dans la variation de longueur des vers. d) Sonorités vers 11-24 : Sonorité récurrente : assonance en [a] qui résonne dans tout le poème. Dès le titre : "Barbara" ; "toi" ; "bras, ce jour-là" ; "fois" ; "tutoie" : assonance (retour des mêmes voyelles) dans la première partie du poème. Sonorités mises en valeur car sont à la rime. Dans la fin du poème : sonorités plus dures : assonance en [é] et [t] (48-49). Sonorités [f] / [s]. Destruction de l'harmonie sonore du début. Bilan : éléments

association de mots : Etranges: pic et pic et colégram ou la pluie mouille, carabouille.Bizarre: Le chat Razimute et le chat Razibus. Onomatopées: Pif-paf ma pitafePif-pouf ma pantoufle. Rimes, assonances et phonèmes répétés: A la saladeJe suis malade (rime)Au pissenlitJe suis guéri (assonance)A la laitueJe suis têtu. Anthropomorphisme (personnification d’animaux, de plantes ou d’objets) Pomme pomme, t’es-tu fait mal?J’ai le menton en marmelade,Le nez fendu et l’œil poché. Drôlerie, illogisme

tournent en rond. Ruptures répétées dans le rythme avec les vers de 2 pieds -> ton badin et plaisant, action des personnages : saut de pierrot et dissimulation de Cassandre. - La musicalité : Nombreuses allitérations et assonances [i] et [ou] -> folie, gaieté, rire, Assonances internes, rimes riches et suffisantes Holorimes : jeux de mots "des astres" et "désastres" Poème extrêmement riche en sonorités, donne un tournant musical, joyeux au poème. II - L'ambigüité a) Colombine -incarne

introduit le vers impair, interdit jusque là. Enfin, le vers libre n’a plus un nombre fixe de syllabes et la rime disparait. b) le poème en prose : il n’est pas écrit en vers mais en prose. Toutefois cette prose est rythmée, musicale (nombreuses assonances et allitérations) et forme un tout clos sur lui-même, une unité. Baudelaire est un des premiers à en composer pour son recueil Le Spleen de Paris. Les surréalistes en composent beaucoup (Char, Desnos, Ponge utilise cette forme pour poétiser les

respectent la structure aabb - croisées selon la structure abab; - embrassées quand elles sont en abba Les allitérations et les assonances : L'allitération est le retour d'une même consonne et l'assonance, le retour d'une même voyelle. Exemple : "Voici venir les temps où vibrant sur sa tige" Baudelaire On a une allitération en "v" et une assonance en "i" Le rythme des vers : Les vers donnent des rythmes particuliers : L'enjambement : On parle d'enjambement lorsque la phrase

Ce présent de narration va bien avec le Loup. En effet, comme ce présent est au début et à la fin, on peut penser qu’il ne s ‘est rien passé. Le Loup a plusieurs motifs de son arrivée : il erre, cela ne nous étonne d’ailleurs pas, il a faim (assonance en « in » V. 5, 6, il y a urgence, le Loup a faim.) Cette faim de Loup est en opposition avec la soif du Loup. La faim provocante s’oppose avec la soif tranquille de l’Agneau : C’est un plaisir et non un besoin. Il n’est question que de nourriture

* Relation Du Bellay/ muses Intimes,amoureuses ambigües, de complémentarité. (v.8) * Légèreté de la description, une descr qui découle = Une phrase très longue en 4 vers. * Enjambements lecture + douce, fluide – solennelle * Assonances en « è » v6, v7, v8 * Allitérations en « S » v5 * « Ces doux plaisirs » n’appartiennent plus qu’au passé. Les deux quatrains font référence au passé heureux où Du Bellay était à son apogée, maître de lui-même, et accentue le caractère

 » et le verbe « blesse ».Cette personnification exprime la tristesse de la nature et permet d'établir un lien avec le poète. -La plainte de la nature se fait entendre par la métaphore des « violons » et l'écho des syllabes dans le 1er sizain. Assonance en « o »:sanglots, violons, automne et monotone. -Elle entraîne celle du poète : « je pleure » -L'automne symbolise l'approche de la mort : « quand /sonne l'heure » et invite à se tourner vers le passé : « Je me souviens des jours anciens »

sonorités (allitérations, assonances) contribuent-elles à suggérer les différents bruits perçus par le poète ? (Le tout dans un développement organisé) Dans ce poème nommé «Fenêtres ouvertes» rédigé par Victor Hugo, notre sens de l’ouïe est particulièrement sollicité puisqu’il nous décrit une série de bruits et de sons. En effet, le poème débute par « J’entends », et c’est le verbe le plus important car il nous indique le thème. De plus, de nombreuses allitérations et assonances sont présentes afin