Assonances Et Allitération

sentiment intérieur qui cède à la description. Si le constat s’exerce sur le monde extérieur, il s’agit bien de « l’esprit gémissant » qui reçoit cette angoisse, dans un vers allongé par les assonances en « an » et « on », la labiale de l’adjectif qui rallonge encore un peu le vers, entourée d’une allitération en « l » et « s » : « Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis » (v 2). Ces « ennuis », au pluriel, s’allongent dans le vers comme ils imprègnent l’âme, ne laissant aucun répit. Notons

Gautier prépare le symbole : arbre ==> soldat blessé ==> poète. C'est un glissement. La poésie est issue de la douleur du poète (c’est la principale inspiration de la belle poésie). Détail des strophes : 1ère Strophe : concerne la vue : Assonance de « a » (voyelle éclatante » : veut imiter la blancheur du sable blanc. A l’époque où Gautier a écrit ce texte, les landes sont des forêts moins denses qu’à notre époque où la comparaison avec le Sahara n’est plus possible. « Vrai Sahara français

dominants sont ceux de l’apaisement et de la douleur en étudiant les champs lexicaux l’un et l’autre expriment la nostalgie: montrez que le texte est dominé par la nostalgie qui intervient sur plusieurs plans étudier les assonances et allitérations; montrez que le réseau sonore est exceptionnellement resserré, que Verlaine, en plus des rimes, ménage de très nombreux échos sonores: quel est l’effet obtenu? {text:list-item} {text:list-item} {text:list-item} {text:list-item}

= Baudelaire joue avec un topos littéraire. Allitération en s et en l = imite le vol de l’oiseau. Allitération en r = grouffres amers chute. La lecture suit le vol de l’oiseau. 2ème quatrain  : épitrochasme = accumulation de mots très courts. Puis rythme qui ralentie = embarras, démarche trainante des oiseaux. Longue phrase avec de longs mots = appellent la pitié du lecteur. « eux » (les rimes) font échos aux « e » muets. Assonances [on] et [en] = mésaventure de l’albatros. Ailes

trouve ici, et dans l’ensemble de nos œuvres, des détails pittoresques qui divertissent le lecteur. Ceci est souligné par les allitérations en [é] que l’on trouve dans Sylvie de Nerval par exemple, comme on peut l’apercevoir dans cet extrait, « quand la rampe baissée la laissait éclairée d’en haut sous les rayons du lustre et la montrait plus naturelle ». Ces allitérations sont également présentes dans René de Chateaubriand, comme on peut l’observer dans cet exemple, « René avait été obligé de prendre

peu - " Assise auprès du feu, dévidant et filant" : monotone, répétitif + assonance en "an " qui accentue Evocation par le rythme du pouvoir des vers de Ronsard - "Direz ; chantant mes vers, en vous émerveillant " : rythme croissant, ce qui peut la réveiller, ce sont mes vers de Ronsard Vers croissant imite le réveil + servante aussi réveillée par le rythme - Rappel : allitération = récurrence d'une consonne Assonance= récurrence d'une voyellee) le procédé de dégradation entraîné par la vieillesse

de 2 quatrains à la fin du poème, contribue à l’idée de clôture ,de fermeture. De par les rimes, a,b,a,b ,les sonorités sont répétitives et circulaire comme si on tournait en rond. La répétition de « tournons »V11 avec l’emploie des allitérations en t et assonance en ou renforce cette idée de mouvement sans fin. Aussi ,le mouvement du gardien de prison (geôlier) est tjs le même. Le temps est par ailleurs vu de manière paradoxale par le poète. Il passe à la fois lentementV21,22 puis il passe

rimes, des allitérations ou des assonances. On peut citer a ce propos le poème ‘’ Ses purs ongles ‘’ du recueil poésie de Stéphane Mallène. A la première lecture, ce n’est pas le thème de son poème qui nous saute aux yeux, non, ce sont les rimes de chaque fin de vers qui se finissent en [x] ou en [or]. De même pour le poème ‘’ cette nuit la folie l’oubli ’’ de Comorature, recueil d’Alain Duault, ou là aussi ce n’est pas le sens que l’on voit en premier mais les nombreuses assonances et allitérations

dans les poèmes traditionnels. On peut le considérer tout de même comme appartenant au genre de la poésie car il y a un langage poétique recherché, l’utilisation de figures de styles (métaphores) et des effets sur le rythme et sur le son (allitération/assonance, anaphore). Le poème en prose apparaît au XIXe siècle. Nous pouvons parler aussi du poème en vers libre où il n’y a pas de structure régulière, il n’y a pas de mètre, de strophes ou de rimes. Cependant le jeu de sonorité et le rythme est

phonétique. Elle rapproche les sonorités, c'est une paronomase. « il pleure » correspond bien à la tristesse qui est subie et qui n'a pas de cause. C- Le chant de la pluie S1 allitération en « l » et assonance en « eu » S2 assonance en « i » S3 on retrouve le « eu » S4 « ei » et « p » Toutes des assonances et allitérations rappellent le verbe « pleuvoir », « pleurer » et le mot « pluie ». Ces sonorités qui résonnent et reviennent sans cesse peuvent faire penser eu bruit de la pluie. Verlaine multiplie