Assonances Et Allitération

-Impressions visuelles et auditives, allitération v. 1-2 (galop qui apporte la mort -Requête paradoxale du mourant = la mort « guérir » « mourir » sont très liés II. Un texte engagé contre le massacre des protestant 1.Victimes innocentes -Restriction l.23( incapacité d’agir et comprendre -Meurtre d’une femme enceinte, enfants ( horreur -Registre pathétique( suscite la pitié chez le lecteur, compassion ; v.37 chiasme « piteux » « petits » -v.37 allitération « p » et « t » -famille = enfants

conjugué a la troisième personne du singulier) - les assonances et les allitérations * assonances (répétition de voyelles ou de phonèmes) avec « é » qui apparaît 6 fois ,ou en « è » 7 fois, mais c'est surtout la voyelle "a" répétée 15 fois ; a ce sujet on peut faire allusion à la valeur de cette voyelle en AF qui était considéré comme une liquide et, de ce fait, elle renvoie à l eau de même que "a" est la première lettre de amour * allitérations (répétition de consonnes) de la nasale « m » que

traditionnelles - L'effet rime était en début de vers avec l'anaphore "Sur" -> Certains vers riment parfaitement sauf à la rime. Ex : v.56 et v.45-46. - Eluard préfère le phénomène assonances / allitérations à la rime : c'est beaucoup plus fluide et moins contraignant. Ex : Strophe 7, v.25-28, allitération en [ch] et en [z] et assonance en [on] et en [an]. Cela contribue largement à donner au texte un aspect mélodique en dépit de l'absence de rimes traditionnelles. • Une source d’inspiration musicale

reproduisent les bruits de l'incendie : le principal est celui des «pétillements»; mais ce mot se rapporte aussi à la lumière. On notera quelques allitérations ou assonances imitant le froissement des flammes : allitérations en [1], [z] et assonances en [e], [c] et [i] dans la phrase « braisillaient, comme attisées sous des soufflets invisibles» ; allitérations en [1] dans l'expression «vol de flammèches et d'étincelles». La brutalité, les fantaisies et le caractère inéluctable de l'incendie, qui

fréquentes. °Le rythme : musicalité de la poésie - entraînement pour placer des accents et voir les effets produits. °Les sonorités : la répétition à la fin du vers => la rime (qualité et disposition) ; la répétition à l'intérieur du vers (assonance et allitération). °Multiples exercices : -exercice 1 : texte à trous permettant de se familiariser avec les feuilles récapitulatives et les termes nouveaux qu'elles contiennent. -exercice 2 : retrouver la disposition graphique d'un poème en s'aidant

niveau de langue (soutenu, courant, familier) - Vocabulaire péjoratif ou mélioratif - Le verbe : mode, temps, aspect, personne - Le sujet / les compléments - La ponctuation - La présence éventuelle d'images et de figures de style - Les allitérations et les assonances - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures Les commentaires possibles un ou deux des champs lexicaux, les champs lexicaux permettent souvent d’identifier les thèmes du texte. rythme du texte, enchaînements, idées principales

contretemps la valeur du mode de vie traditionnel des antillais, peuple sensible à la poésie (d'une pensée jamais lasse). Le paradis perdu et ses images d'une vie idyllique (le fleuve des tourterelles et les trèfles de la savane) est conforté par les allitérations en « t », « r », « f » et surtout par la douceur des sonorités. Il se prémunie contre la contagion de la civilisation occidentale qui apparaît dans la construction orgueilleuse de buildings de vingt étages, orgueil qui engendre la dégénérescence

poétique Monde issu de sa propre conception, le poétique, qui reste celui du poète, de la lecture, et de sa perception. - Création poétique La création est ainsi celle d’un monde de musique et de couleurs. Musique, par les assonances en / an / ève / eil et allitérations, comme ici en « b », « aube affaiblie », la structure en répétitions « Couchants sur les grèves », « soleils couchants » et anaphores « la Mélancolie », les rimes enfin. Le vers impair ne diffuse pas une sensation de boiterie mais

soulignent la progression. Permet de rendre son discours très construit. 2°) Un raisonnement déductif fondé sur l’anagramme Marie est l’anagramme d’aimer= premier argumente de Ronsard. Répétition de AIMER, ce qui souligne cet argument. Assonances [é] + allitérations [m]= répétitions phoniques qui souligne aussi cet argument. Ronsard propose un raisonnement déductif, id qu’il part d’une idée générale et appliquée sur un cas particulier: v2 « Aimez moi donq Marie » Postulat de départ : toutes les

Idolents compagnons Le navire glissant gouffres amers Alba = blanc et Ater = noir - par son amplitude - le Participe présent - l’expansion du nom de l’albatros - les compléments circonstenciels - Allitération en - v - Assonance en - en présent d’habitude verbe Périphrase Verbe ici « prennent » a la valeur de capturent passe du singulier (titre) au pluriel CDN signifie ici inoffensif nottament avec le mot suivant