Assonances Et Allitération

prose imite par bien des procédés la musique de la dynamo : on retrouve des assonances proches des rimes (si on était en poésie versifiée) à la fin des deux premières phrases, puisque « roue » rime avec « loup » ; la première phrase est très marquée par l’allitération en [fr] dans les mots « frôlement », « freine » et « frotte » et, de manière moindre, dans les mots « ronronnant », « contre » et « roue » (allitération en [r] seulement). Reprise du même procédé dans les lignes 8-10, au moyen des

amoureuse, mélancolie. * Champs lexicaux de l’amour et de la souffrance. * Rythme binaire (donné par les oppositions). * Allitération en (r) dans le 1er quatrain * ENFERMEMENT du « je » poétique donné par la rime entre « malheur » de la dernière ligne et « meurs » l.1 qui donne une forme circulaire au poème, cercle vicieux. * ASSONANCE dans les 2 derniers vers, 1er : joie, au haut 2e : malheur * REPETITIONS sonores et syntaxiques

comparaisons énumérations, répétitions, anaphores, parallélismes, hyperboles, antithèses, ironie… le ou les registres : pathétique, tragique, lyrique, polémique, satirique, comique, épique, fantastique, réaliste les effets sonores : allitérations, assonances les références culturelles dans les textes narratifs le statut du narrateur la focalisation employée la description (éléments, ordre, utilité …les mouvements, ordre/désordre, les 5 éléments, les 5 sens, verticalité/horizontalité…) le

comme le lexique (connotations, champs lexicaux, registre de vocabulaire …), la syntaxe et les rythmes ( les temps et les modes verbaux, la place des mots, les termes de liaisons, la longueur et l’organisation des phrases…), les sonorités ( allitération, assonance, échos …) et les figures de rhétorique et en particulier les images. En fin de compte, il ne faut jamais séparer étude de la forme et étude du fond car ces deux études se complètent pour pouvoir bien comprendre l’extrait ou le texte qu’on

tercets, souvenir d’une voix "lointaine , et calme, et grave" avec cette redondance de la conjonction et de la virgule, qui détache encore les impressions sonores et met en valeur l’assonance qui parcourt tout le vers , en "a" sa-voix- cal- gra - a, assonance sur lesquelles portent les cinq accents de cet alexandrin. Ce poème est donc très personnel et ne joue pas sur des connotations faciles qui seraient communes au poète et au lecteur. Les rêves ne sont-ils pas pour chacun l’expression du moi profond

définition, intérêt (se reporter au document sur l'évolution de la poésie du Moyen Âge à nos jours), rythmique (décompte des syllabes, accents toniques) ; figures de style fréquentes dans la poésie senghorienne : répétition, anaphore, allitération et assonance, comparaison, métaphore, personnification.

spatio-temporel • présence de personnages. 2. LE GENRE POÉTIQUE Le texte poétique se définit par un usage différent de la langue. Il se distingue par : • des vers (alexandrin, décasyllabe) ou en prose • un jeu sur les sonorités (assonances, allitérations) • un travail sur le rythme • la présence possible de formes fixes, telles le sonnet, la ballade • la présence possible de rimes 3. LE GENRE THÉÂTRAL Le texte théâtral représente l’action au lieu de la raconter. Ce sont les paroles

sens du toucher est évoqué quoique de façon plus ténue par l’adjectif « velouté » appliqué à la lumière de la lune. Ce rapport établi entre le sens de la vue et celui du toucher précède celui que fera Baudelaire dans son poème Correspondances. Une allitération en « m » confère une grande musicalité à l’image poétique de la lumière comme mer « immobile ». La lumière est comparée à de l’eau ce qui fait encore appel aux synesthésies ; de plus cette image est paradoxale car la mer normalement toujours en

Dans première strophe, Baudelaire fais l’éloge de la femme. Il y a une accumulation et un rythme ternaire. Avec les mots « tête, geste et air », on voit un souci de tonalité de la description de plus en plus globalisante. Et avec les assonances en è, les allitérations en t, les voyelles ouvertes et les consonnes occlusive, le rythme devient très musical et très entrainant. Il y a un rappel aux poèmes vus dans la section Spleen et Idéal. La femme est paysage, il y a une insistance sur sa beauté

œuvre d’art -v2 cadence majeure montre démarche élégante de la femme + v4 rythme à 4 temps illustre le balancement de la démarche féminine (sorte de danse) -v4 « soulevant, balançant » = portrait en mouvement : mouvement aérien de la robe + allitération en « s » qui donne amplitude de la beauté B) Un coup de foudre brutal lors d’une rencontre furtive -v3 polyptote « passa » « passante » = rapidité + passé simple = action ponctuelle, mouvement furtif -v6 = rupture entre femme en mouvement