Assonances Et Allitération

mystérieuse des synesthésies. Le I associe donc lui aussi des notions morales aux perceptions auditives (le rire) ou visuelles (le sang de la maladie ou les lèvres belles.) 4) Ils offrent une musicalité au poème. Il est plus agréable à lire. Les assonances et allitérations semblent faire entendre les rires des lèvres belles et sentir les vibrements divins des mers virides. 5) Les associations semblent justifiées étant donné que rimbaud s’inspire de Baudelaire et respecte l’ordre de l’alphabet grec.

antagoniques dans le premier tercet  le feu sort de l’amour, sa mère sort de l’eau/ Mais l’eau contre ce feu ne peut fournir des armes.  on ressent aussi un vertige sonores lié à la construction du poème : -d’abord par les sonorités : allitérations en [m] [l] [r] et [s] et assonance en [ou] et en [è] et rime riche amoureux/douloureux -puis par les jeux de mots : homonymes la mer/ l’amer et les paranomases l’amour/l’amer - jeu sens propre/sens figuré ex : amertume (goût/ douleur d’aimer) Naufrage (maritime/amoureux)

théâtre grec, avec l'effet de chœur des courtisans. L'intrigue elle-même peut évoquer la tragédie d' " Œdipe roi ", de Sophocle : Thèbes est ravagée par une épidémie de peste, et l'on recherche le coupable de ce châtiment divin. Mais aussi : - allitération en " r " : " répand ", " terreur ", " guerre ",... - hyperbole dans le vocabulaire violent ; - rimes masculines (fureur, terreur), donc dureté ; - syntaxe très étudiée : la peste est définie par 2 appositions avant d'être nommée. Il établit

Dans la 1ère strophe, allitération en « r » donc dureté du moment. Dans la 2ème strophe, importance l’élément liquide THEMATIQUE allitération en « l », consonne liquide, va montrer la fluidité et en « s » pour la nature les sifflements, le vent. Assonance en « ou » un son grave, qui vient de loin, qui englobe tout, assourdit tout les autres sons (le son de l’eau), va évoquer le souvenir, la plainte, la gravité, ca le touche beaucoup. Dans la 5ème strophe, il y a une allitération en « k » qui fait référence

ouverture du poème. V3&4 → rythme fluide, croissant, qui ouvre l'espale. Fluidité du v4 qui évoque la majesté, beauté de cette représentation, mouvement; pas de virgules mais des "e" sonores au milieu de chaque hémistiche. Élément sonore : assonance en [a] + allitération en [s] dans "vastes" et "albatros" v2. ALBA = blanc (en latin). On trouve l'adjectif "blanche" au v7. 3 personnifications : "compagnons de voyage", "rois de l'azur" et "prince des nuées". b) La maladresse de l'oiseau sur le pont du bateau

Euphémisme : consiste à désigner un être, un objet ou idée par un terme qui efface son coter désagréable. Lilote : consiste à dire le moins pour suggérer le plus. Polysémie : jeu sur les différent sens d’un mot. Assonance : retour d’un même son vocalique. Allitération : retour d’un même son consonantique. Paronomase : termes de sens différents et de sonorités différentes mais proche. Homonymie : termes de sens différents mais de même orthographe, soit d’une sonorité identique.

INCATATION (formule magique). 1) Forme original du poème. → 20 strophes : quatrain, construites sur le même schéma. → Répétition « j’écris ton nom » = refrain. → Pas vraiment de rimes. Mais ‘effet’ rimes = répétition « sur » + assonances (voyelles) + allitération (consonnes) = Mélodie, musicalité donc accentue la poéticité. → En plus de faire beau, Eluard veut que son poème soit retenu à l’oral. → Le poème se clos avec « Liberté » = évidence. 2) Martelé les esprits et graver

», »pole », »quinquet d’Argand »  fonction didactique « Où la poussière se combine avec l’huile » l.46// l.35 et 47 toile cirée « « Chaises estropiées, de petits paillassons piteux en sparterie » l.58-59 : marque le dénuent et l’écœurement +allitération en [p] « Chaufferette misérables à trous cassés »// l .36 et 10 Fin de la description : Bilan du narrateur l.51-55 Description du salon l.55-56 : vieillesse // l.34-35 »couleurs indistinctes » Ouverture de la misère 2- Fonction narrative

des comparaisons, des métaphores, des répétitions, des énumération, des anaphores et des gradations (figures de style), des balancements des phrases dans la prose, des enjambements dans la poésie et des jeux sur la sonorité avec des allitérations et des assonances (le rythme des phrases et des vers, la musicalité des mots). Le registre lyrique permet à l’auteur de faire partager au lecteur les sentiments et les émotions qu’il éprouve. Il est de ce fait au service de l’argumentation, car en faisant

procédés stylistiques: « hic » « hoc » etc ce sont des démonstratifes qui permettent de rendre les images plus visuelles. Ensuite on peut relever une allitération suggestive en « qu »: c’est une harmonie très imitative des supplices des enfers. De plus, à travers des vers 38, 40, 41 jusqu’à la fin on peut relever des assonances en « i ». Ces assonances évoquent les sifflements « infernaux » des tortures et de la culpabilité qui hante l’homme. Tous sa va dans la pitié: pathétique