Assonances Et Allitération

rebondir… ? Les champs lexicaux : relever ceux qui dominent uniquement et les commenter. La versification ( rimes suivies ? embrassées ? croisées ? ; alexandrins ? décasyllabes… ? Y-a-t-il des enjambements ? des rejets ? des contre-rejets ? allitérations ? assonances ?) Les figures de style : métaphores, comparaisons, hyperboles, personnification… A relever et à commenter. La ponctuation : est-elle présente ? Si oui, quelle rôle joue-t-elle ? Si non, pourquoi ? (fluidité…) Les registres de langue

Une scène romanesque A- Un décor hostile à la rencontre : la rue - allitération en [r], personnification de la rue. - encadrement du poète : chiasme sonore - B- Une rencontre tel un coup de foudre - 2 unités de sens quatrains puis tercets - 1er tercet : aussitôt produite, rencontre appartient déjà au passé. - Champ lexical du fugitif - Une femme majestueuse

générale ou abstraite de façon concrète. Allitération : répétition de consonnes ; Anaphore : elle désigne la répétion d’un mot ou d’une expression en tête de phrase de proposition ou de vers. Antiphrase : elle suggère par irone le contraire de se qui est explicitement dit ; Antithèse : oppose deux idées dans la même phrase Apostrophe : elle regroupe le ou les mots par lesquels le locuteur interpelle le destinataire de l’énoncé Assonance : répétition de voyelles Chiasme : il croise

principales figures est essentielle à la compréhension et à l’interprétation des énoncés littéraires et non littéraires. Les figures de répétition. * Répétions de sonorités * Une allitération est la répétition d’un ou plusieurs sons-consonnes. Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. (Hugo) * Une assonance est la répétition d’un ou plusieurs sons-voyelles. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou- frou. (Rimbaud) * Répétition lexicale. * Une anaphore est la répétition d’un mot

de l’eau, le flux et reflux de la mer… sont des éléments susceptibles de suggérer l’instabilité des choses). Pour ces poètes le monde est instable, tout bouge, tout évolue, se transforme. Pierre Marbeuf choisit lui les répétitions, les assonances et les allitérations pour montrer l’incessant mouvement de la mer. D’une manière générale, les poètes baroques exploitent les richesses de la langue et du lexique afin d’exprimer l’idée d’un monde illusoire, instable et changeant. Ils recourent à ces figures

différente) Les champs lexicaux : relever ceux qui dominent uniquement et les commenter. La versification ( rimes suivies ? embrassées ? croisées ? ; alexandrins ? décasyllabes… ? Y-a-t-il des enjambements ? des rejets ? des contre-rejets ? allitérations ? assonances ?) Les figures de style : métaphores, comparaisons, hyperboles, personnification… A relever et à commenter. La typographie : Le poète dispose-t-il ses mots d’une façon originale ? La ponctuation : est-elle présente ? Si oui, quelle

lutteurs éternels, ô frères implacables ! Titre- et = alliance – liés / affection / developement comparaison , face a face est = introduction du dedoublement -> se ressemblent analogie phonétique hait maman -> relation maternelle alliteration en ‘m’ amplifie importance des mots + echos mer = absence de limites – liberté temporelle et physique objectif -> placer l’homme face a son reflet et faire apparaitre le dedoublement de la psychologie de l’homme rapport spéculaire h& m se

la description. Ces sens sont mis en éveil, sa vue est troublée par la lune dont le halo de brume déforme la taille et diminue la visibilité,les buissons sont « difformes » ,l’ouie est sollicitée par le sifflement du vent rendu plus vif par les allitérations en (s) « soufflait » « froissement » et « sifflait » , et en même temps effrayant par des silences inhabituels »aucun froissement de feuilles ». L’enfant est perdue dans un monde qu’elle ne connaît pas : son ouïe est égaré et elle ne reconnaît

un double rapport de son et de sens qu’il est intéressant d’étudier. - On appelle « assonance » la répétition d’un même son-voyelle ou de sons vocaliques voisins. - Ex : « Tout m’afflige et me nuit, et conspire à le nuire ». (assonance en –i). - On appelle « allitération » la répétition d’un même son-consonne ou de sons consonantiques voisins. - Ex : « Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala ». (allitération en –f et en –l). II- La versification : 1/ La composition en strophe : Une strophe

. Travail insidieux de sape. Action lente : 2 adjectifs antéposés « vieux » « long ». Gradation + assonance en [i] « Qui vit, s’agite et se tortille, / Et se nourrit » Définition de « remords » : « sentiment de culpabilité que l’on éprouve lorsqu’on a commis une faute ».