Ataraxie

Dans ce texte Éléments de philosophie, Alain traite du bonheur. En effet, il va partir de l'opinion commune de ce concept pour tenter d'en déterminer comment peut-on « atteindre » cette ataraxie. Le bonheur peut se définir par cette notion d'ataraxie c'est à dire l'obtention de la quiétude de l'âme, quand l'âme est paisible et que rien ne vient la troubler. On ne peut juger d'ailleurs simplement à la mort d'un Homme, s'il a eu une vie heureuse. Mais, le problème qui se présente dans ce texte, est

aussi terrible comme nous le craignons. Contre le sentiment de persécution : Nous demander ce qui nous contrarie avait vraiment l’intention de le faire. Épicure Le recherche d’un certain plaisir est souhaitable ( ou la philosophie comme remède) Ataraxie : Paix de l’âme.. selon épicure pour avoir la paix de l’âme il faut avoir du plaisir. Les 4 principes du Bonheur ( pour être heureux) : D’abord les dieux ne sont pas à craindre d’être juger ( ne pas avoir honte d’avoir du plaisir) ils n’interviennent

joui de ce qu’il avait. Il meurt donc malheureux, et responsable de son malheur. Classification des désirs selon Épicure | Désirs naturels | Désirs vains | Nécessaires | Simplement naturels | Artificiels | Irréalisables | Pour le bonheur (ataraxie) | Pour la tranquillité du corps (aponie) | Pour la vie (nourriture, sommeil) | Variation des plaisirs, recherche de l'agréable | Ex : richesse, gloire | Ex : désir d'immortalité | POLITIQUE L'épicurisme a contribué, comme le cynisme, et aussi

particulier au xviie siècle, chez René Descartes) jusqu'à nos jours. Cette philosophie exhorte à la pratique d'exercices de méditation conduisant à vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre la sagesse et le bonheur envisagés comme ataraxie (absence de passions qui prend la forme d'une absence de souffrance). Cet article propose un exposé des traits généraux de la doctrine, nonobstant les nuances notables d'un stoïcien à l'autre. Sommaire  [masquer]  * 1 Avant-propos * 2 Étymologie

désirs naturels et non nécessaires : manger des mets raffinés, etc. Les désirs non naturels et non nécessaires : la beauté, la richesse, etc. Pour les épicuriens il ne s’agit que de satisfaire les désirs naturels et nécessaires, ainsi atteindre l’ « ataraxie », c’est-à-dire « la paix dans l’âme », qui est atteinte par la limitation des désirs. Pour eux, il faut fuir les désirs surdimensionnés et ainsi privilégier le bonheur simple avec modération. D’autre part s’oppose la théorie des stoïciens, qui est

heureux dans la mesure où c’est là ce à quoi je tends naturellement, sans que le bonheur me soit pourtant donné immédiatement. C’est ce qu’implique la définition épicurienne du bonheur comme absence de trouble du corps et de l’âme, c’est-à-dire comme ataraxie. Le bonheur est donc tout à fait susceptible d’être défini et, par là, d’être érigé en principe d’action. Il est le « souverain bien », c’est-à-dire la nécessité qui ne peut être ignorée qu’au risque de s’aliéner, autrement dit de devenir autre que

Je propose un hédonisme modéré. Ex 1 : Epicure dans la Lettre à Ménécée pour qui il faut procédé à un toujours rationnel plaisirs et des désirs. Le plaisir est le commencement est la fin d’une vie heureuse. Il se représente le bonheur comme ataraxie c’est-à-dire comme absence de trouble de l’âme, paix de l’âme. Elle s’associe à l’aponie c’est-à-dire absence du trouble du corps. Le problème est qu’il existe deux types de plaisir. 1. Le « plaisir en mouvement » qui perturbe l’âme qu’il faut

maîtriser ses désirs et supporter la souffrance, voilà les aspects principaux du célèbre « tétrapharmakon » (quadruple remède) par lequel Epicure veut faire de la philosophie une médecine existentielle et de la vie heureuse la santé définie comme « ataraxie » c’est-à-dire comme absence de trouble de l’âme. A lire Epicure, il existe au fond une méthode philosophique du bonheur que chaque homme peut suivre quelle que soit sa situation par ailleurs. La Lettre semble alors garantir que le fait de suivre

perfection même de la vie heureuse ». Sur le fondement de cette théorie des désirs se dégage l'idée du vrai bien ou “la fin de la vie bienheureuse” : il s'agit du bonheur défini comme absence de douleur physique (aponie) et absence de troubles de l'âme (ataraxie). Ce bien est négatif, il consiste dans une double absence; il est plaisir en repos ou plaisir en mouvement... (Le plaisir en mouvement : ils ne durent que le temps de leur activité (par exemple boire quand on a soif). Le plaisir au repos : ce

par le développement de la rationalité et le détachement des affects, l'épicurisme propose lui aussi un idéal de bonheur très ascétique: le bonheur n'est possible que dans la vertu (ou sagesse), qui est absence de trouble du corps et de l'âme, ou "ataraxie". Pour Epicure, le vrai plaisir n'est pas le plaisir immédiat de la nourriture ou de l'acte sexuel. Le vrai plaisir se construit, sur le long terme, dans la connaissance scientifique du monde et de l'homme, qui permet la libération de toutes les