Ataraxie

scepticisme, doctrine qui énonce qu'il est vain d'espérer atteindre la vérité. Le scepticisme est fondé par Pyrrhon d'Élis au IVe siècle avant J.C. Pour lui, il faut admettre qu'il est impossible d'établir la vérité afin d'obtenir la quiétude de l'âme (ataraxie). Si la vérité est impossible à établir pour Kant, c'est parce qu'il y a un cercle dans sa définition. On considère qu'il s'agit de vérifier l'accord de la connaissance avec l'objet, or le seul moyen qu'on a de comparer l'objet avec la connaissance

entend par le désir, la réalisation d’un plaisir. En effet, le bonheur peut se définir comme l’accumulation de plaisirs, par conséquent désirer permettrait d’accéder à ce but ultime de bonheur. Cependant, on peut aussi concevoir le bonheur comme ataraxie, c’est à dire comme l’absence de troubles. Or, le désir, dans son essence même est lié à un manque ; puisque j’ai conscience de ce manque, je désire le combler. Ainsi, la notion de désir est étroitement liée à la souffrance puisque cela signifierait

niveau supérieur (niveau le plus haut marqué par l’authenticité dans la relation) 5 - sympathie - Le concept d’empathie1 selon les champs théoriques : Scepticisme : Pyrrhon (env 365-275 avJC + Sextus empiricus - IIème et IIIème s.) - Concepts : Epochè-Ataraxie-Aphasie - Sens : absence de jugement, sérénité de l’âme, abstention de tte action, ne pas se prononcer Philosophie esthétique Lipps (1903) - Concept : interactions intersubjectives - Projection de soi dans un objet autre que soi Phénoménologie :

permit d’espérer ? Une seule question : Qu’est-ce que l’homme ? (sens ontologique) Sagesse = bonheur ¤ Stoïciens Bonheur par apathie : ne réagit pas aux douleurs qui ne dépendent pas de lui, vertue Forteresse intérieure ¤ Epicuriens Bonheur par ataraxie : dans le plaisir Pourtant, le sage semble se retrancher dans une tour d’ivoire (Epicure : « pour être heureux vivons cachés »  complexe de supériorité (cf Sartre (XX) : L’Existentialisme est un humanisme) l. Réflexion et existence Pascal (XVII)

Pour cela, Virgile propose une solution : il faut arracher les ailes du roi. C’est le membre qui favorise l’agitation et l’expression des passions. A la frénésie de l’essaim, Virgile oppose l’immobilité du roi. Il oppose l’Ataraxie à l’essaim. Cette Ataraxie représente une forme de sagesse face à l’agitation habituelle et sans finalité précise. Le roi, une fois réduit à l’immobilité, découragera le peuple de s’égarer puisqu’il sera l’exemple donné à son peuple. A la ligne 26, Virgile dit « enlève aux

d’une douleur). C/ Le stoïcisme ou le bonheur intérieur Cf. Epictete (esclave) Sénèque (bourgeois) Marc Aurel (empereur) Ce qui dépend de nous | Ce qui ne dépend pas de nous | Ex : opinions, désirs, pensées → intérieur Bonheur : ataraxie de l’âme absence de trouble paix intérieure Malheur | Ex : le corps, la richesse → extérieur Indifférentes | L’obstacle au bonheur pour les stoïciens, ce ne sont pas les choses extérieures, mais les passions

Montaigne sceptique, vient se coupler un Montaigne stoïcien, pronant cette philosophie qui exhorte à la pratique d'exercices de méditation conduisant à vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre la sagesse et le bonheur envisagés comme ataraxie. Montaigne se dit chercher la trace de la nature, et vivre selon cette dernière revient à profiter de chaque moment comme si c'était le dernier. La méthode, dans l’organisation de la vie en vue du plaisir, s’appelle prudence. Il s’agit de vivre une

l’hédonisme. Texte 4 : Dans ce texte Épicure nous dit qu’il faut entretenir un rapport mesuré avec nos plaisirs pour éviter les excès et la démesure, qui ne peuvent que nous déstabiliser et nous troubler alors que le bonheur est défini comme « ataraxie » (= absences de troubles, de passions). Comment se fait-il qu’une moyenne puisse être considérée comme un sommet et une forme d’excellence ? b. Les 4 remèdes Épicure nous propose une médecine de l’âme. C’est bien parce que les excès comportent

qui nous trouble, ce qui nous fait souffrir n’est pas tant le manque que le désordre dans nos sensations. Il faut donc s’affranchir de tous désirs contradictoires, de toutes représentations pénibles pour notre nature. Le plaisir obtenu s’appelle ataraxie. C’est un plaisir procuré par la négation, c’est-à-dire l’absence d’inquiétude, de crainte. C’est dans l’absence, la privation que le plaisir s’accomplit. C’est un plaisir en repos, par exemple, pour le corps, c’est l’absence de douleur, de soif

que nous ne la rencontrons pas tant que nous vivons et parce qu’il n’y a rien après elle, nous n’avons plus l’âme troublée par la crainte de mourir. Le bonheur est associé à l’absence de douleur du corps (aponie) et à l’absence de trouble de l’âme (ataraxie) car il est obtenu en se débarrassant de ses craintes et on parle alors de bonheur « négatif », au sens où il consiste à ne pas être malheureux, à ne pas souffrir. Même si la philosophie d’Epicure est considérée comme hédoniste car elle réduit le