Ataraxie

s’apparenter au bonheur ? souffrance? · Cette définition est-elle suffisante ? Non, puisque l'on ne parle pas ici de souffrance, mais de douleur, physique qui plus est. · L'absence de souffrance devrait donc inclure une aponie et une ataraxie. Seulement, selon les épicuriens, cette combinaison est une stabilité du corps et de l'esprit. Le bonheur donc, en tant qu'il est lui-même stable et continu. · On pourrait donc, par ce biais considérer que l'absence de souffrance est le bonheur

choisir, liberté Quand tu as disposé de toi-même, = > autonomie, maître de soi Quand tu as eu le visage sans passion = > stoïcisme, contrôle des émotions, maître de la situation et de ses pensées Et l’âme sans crainte, = > sans trouble, ataraxie, paix de l’âme, bonheur Ce qui a été ton œuvre = > réalisé, différent d’imposé, créateur, initiateur Dans une existence si longue combien de gens se sont arraché ta vie, = > violence, vol Sans que tu t’aperçoives = > invitation à une

d’abord ériger une conception de ce que ce que sont le bonheur et le désir. Le premier peut être envisagé comme un état de plénitude, où le corps et l’âme seraient en harmonie avec le monde et ne seraient pas troublés. On pourrait parler alors d’ « ataraxie ». Par conséquent, cet état s’inscrit dans une dimension temporelle et suppose une certaine durée. Cela ne peut être seulement l’ensemble des moments instantanés où l’on ressent de la joie ou du plaisir, mais un état durable. A l’inverse du bonheur

être « sans opinion », ce qui pourtant ne l'empêche pas d'agir. Il agira toutefois tout à fait arbitrairement, en admettant son incapacité à justifier ses choix. Ainsi, le sceptique cherche à être heureux en parvenant à éviter tout trouble de l'âme (ataraxie) et émotions (apathie). De son côté, le cynique entend refuser de se soumettre à n'importe quelle autorité, qu'elle soit politique, morale ou religieuse. Il veut donner un sens à sa vie en dehors du cadre de la société ou de la famille, établissant

vie estimée comme brève et se libérer de la peur de la mort. Le Bonheur ? Apathéia : absence de douleur. Ataraxie : absence de troubles et de douleur. L’Ecriture ? Doctrine souple dans son enseigne- Dialogues avec des amis.

Le bonheur, une notion économique? Simon Porcher Economiste Le bonheur: une nouveauté? • Une notion individuelle (voire individualiste): - AAA: ataraxie, apathie , aphasie - Le bonheur comme devoir • Une « idée neuve »: le bonheur collectif comme politique. Le bonheur: une notion économique? • • • • • • Le bonheur: définition et mesure. Les indicateurs alternatifs de « richesse ». La France et le bonheur. Qui sont les gens heureux? Les femmes et le bonheur. Le bonheur au sein de l’entreprise

Epochè (sceptiques) : suspension de jugement (je ne me prononce pas sur la réel mais je dis qu’il apparaît tel selon moi). Relativisme : thèse selon laquelle la vérité n’existe pas (mais « à chacun sa vérité »)-commune aux sceptiques et aux sophistes. Ataraxie : tranquillité de l’âme ; chez les sceptiques, obtenue grâce à l’épochè. Hypothèse du malin génie de Descartes : si un malin génie s’amusait à nous faire croire que le monde extérieur existe alors qu’il n’existe pas, comment pourrait-on jamais se

postulats invérifiables * Diallèle (cercle vicieux) * Relation (un point de vue dit relatif est dépendant d’un individu ou d’un groupe ou d’une culture) * Principe des sceptiques « Pas plus ceci que cela ». Le sceptique doit ê indifférent. Ataraxie : Absence de trouble Aporie : Absence de solution * Relativisme cognitif Ce relativisme est celui des sophistes. Notre connaissance des choses est dépendante de notre sensibilité et donc de notre particularité. Selon Protagoras, le réel

prolongement de l'atomisme de Démocrite, Epicure fonde une sagesse du plaisir basée non sur la jouissance, mais sur les plaisirs naturels et nécessaires, la maîtrise des passions, l'absence de souffrance pour le corps et l'absence de "trouble" pour l'âme (ataraxie). Quatre thèses (tetrapharmakos) peuvent résumer l'éthique épicurienne : il n'y a rien à craindre des dieux; il n'y a rien à craindre de la mort; on peut atteindre le bonheur; on peut supporter la douleur. Résumé de l’œuvre * Il n’est jamais

sage, besoin, repos » traduit l’éloge de l’épicurisme. La question de rhétorique « quand jouirons-nous ? » indique que la finalité de l’existence pour l’épicurisme est la jouissance et le plaisir. Pour l’épicurisme, l’homme atteint le bonheur (ataraxie = quiétude absolue de l’âme) par la maîtrise de ses désirs. Par conséquent, pour être heureux l’homme doit distinguer les besoins nécessaires des désirs superflus. 1ère antithèse entre « nécessaire / factice – superflu » 2ème antithèse entre