Ataraxie

favorise introspection) · Activité oisive + sert solitude MAIS : sert sa méditation + apaisement + rêverie· L’âme de l’homme sensible qui contemple le spectacle de la nature peut entrer en communion avec elle, cette « mère commune »Huitième promenade : ataraxie · Heureux et tranquille malgré persécution de ses ennemis · Quand il était accepté par la société (qui maintenant le rejette) insatisfait car son âme s’éparpillait vers des objets étrangers. · Maintenant qu’il se « suffit à [lui]-même » (p. 142)

les troubles et les soucis (d’où : « pour vivre heureux, vivons cachés »). Epicure lie donc plaisir et bonheur, mais le bonheur # une somme de plaisirs, il naît de la suppression de la souffrance. Il est contentement et paix intérieure, cad ATARAXIE. On n’est pas dans une éthique de la quantité, mais dans une éthique de la qualité. Qualité du plaisir, plutôt que quantité. L’épicurisme n’a donc rien à voir avec un hédonisme vulgaire, une recherche effrénée du plaisir caricaturée dans le

recette du bonheur. Les Grecs raffolait de ce genre de philosophie, comment être heureux.Un art de vivre : L’épicurisme et le stoïcismeQuelques points en commun avec Socrate· Ils conçoivent le bonheur comme un état intérieur empreint de sérénité (ataraxie)Ataraxie : absence de trouble, forme de paie· Ils souscrivent à la critique qu’a faite Socrate des fausses valeursExtériorité/intériorité· Ils attribuent un rôle important à la raison dans la recherche du bonheur· Ils associent l’atteinte du bonheur à

dans le Gorgias quand il compare l’homme qui désire à un tonneu percé qui ne peut jamais être rempli. Epicure, Lettres à Ménécée La philosophie a pour finalité d’atteindre le bonheur c’est à dire la santé du corps ( aponie ) et la santé de l’âme ( ataraxie ). Pour Epicure, il existerait un état neutre sans plaisir ni souffrance qui serait la définition du bonheur. Le plaisir pourtant demeure dans le vrai bonheur. Tout plaisir en lui même est un bien, toute douleur en elle même est un mal mais le sage

Le bonheur La voix du bonheur= « beata vita » Ataraxie : recherche du bonheur, on la retrouve cette notion dans l'épicurisme et le stoïsisme Le bonheur dans l'antiquité etait très lié avec la philosophie ; La philosophie est née en grèce puis a commencé a faire son apparition a Rome, elle fût au début qualifié d'etrange, une sorte de secte, mal vue par les romains à l'époque. Peu a peu gagne en valeur/prestige, après les guerres civiles, les guerres de Cesar→ philosophes avec recherche du

On les voit sur Terre avec des déguisements, ou donnant des signes. Qui sont les dieux ? Des êtres tout-puissants C'est visible dans le massacre qu'ils font des compagnons d'Ulysse dans le chant XIII. Bienheureux Leur bonheur, leur ataraxie contrastent avec les malheurs des mortels. Aucune richesse n'est comparable à la leur. Leur vie est une grande fête alors que chez les humains, la vie se résume à des épreuves. Légèreté Rien n'est grave entre eux : l'adultère divin se termine

depuis. Mais quant aux raisons profondes qui me poussent à écrire, aucune idée. Sans vouloir être grandiloquent, c’est la seule chose qui m’intéresse au monde. » (Christophe Siébert) „Când artistul nu are necazuri, le caută. Pentru că din starea de ataraxie și de liniște interioară nu iese nimic. Sigur, te simți minunat, ești fericit, dar când ești fericit nu scrii. Chiar și când descrii fericirea, ca să descrii fericirea, trebuie să fii nefericit. Eu cred că starea de nefericire, rana interioară este

B/ L’idéal contre le spleen. Evocation du monde idéal Rythme binaire « pure et divine liqueur » : sensualité, connotation mystique. Rythme binaire « Les champs lumineux et sereins » le monde idéal est synonyme de bonheur et d’harmonie. Ataraxie. Champ lexical du sacré « éthers, supérieur, divine » connotation mystique. Exhortation métaphorique « bois » désir de symbiose avec le monde idéal. Le pluriel « les cieux » connotation mystique et sacrée. LE POUVOIR DE LA POESIE A/ Libération

troublé par des craintes sans objets, par des désirs inutiles et impossibles à satisfaire, voilà qui, selon lui, suffit pleinement à être heureux. La santé du corps et celle de l'âme, selon lui, suffisent. Aponie : abscence de douleurs du corps Ataraxie : Abscence de troubles de l'âme Ne pas souffrir, ne pas être troublé, c'est jouir de la vie pour Epicure, il n'en faut pas plus. On peut ressentir alors une forme de pleinitude de l'existence, une forme de pure plaisir de vivre comme si le plaisir

la bibliographie de Montaigne notamment, précisément des Essais. Ainsi emprunt, il mène une réflexion autour de la sagesse (comment la concevoir). Réflexion particulière qu’il axe sur les principes d’otium et de negotium (les épicuriens diraient ataraxie), comme on peut le voir dans le livre III, précisément au chapitre XIII, dans le texte qui nous est proposé. Texte donc, qui pose la question « Dans quelle mesure Montaigne conçoit-il la sagesse à partir des principes d’otium et de négotium