Audit Marketing Cas Pratique

déroulement du stage P : 15 * Les fiches d’activités p : 16 Deuxième partie : La certification de la direction commerciale et marketing I- L’ISO 9001 version 2008 P : 19 II- Mise à jour des procédures commerciales dans le cadre P : 29 de la certification de la direction commerciale et marketing Conclusion p : 34 Annexes Au terme du stage que j’ai effectué au sein de la société COSUMAR

etc., c’est à dire mettre au point une stratégie pour son expédition. Dans le monde des affaires, la jungle, c’est le marché.  Et tout pareillement, un « explorateur de marché » sérieux ne doit pas s’engager sans avoir une stratégie, mais dans ce cas une stratégie d’entreprise. Bien définir les points clefs Une stratégie est la résultante d’un certain nombre d’éléments dont trois sont déterminants : 1. Les objectifs : Il faut savoir dans quelle direction je désire aller. Souvenez-vous

production se trouvaient limités. Le nouveau contexte exige plus de tenir en compte de l’ensemble de l’itinéraire que les produits empruntent et/ou les opérations de production ne sont qu’un élément parmi d’autres. L’apparition des pratiques logistiques puis de la fonction logistique au sein de l’entreprise est le résultat de recherche de nouvelles sources de productivité notamment en terme de coût, qualité et délai. En prenant en compte tout ses éléments, Le développement

gouvernement d’entreprise, et en faisant des propositions pour renforcer leur efficacité. • Audit de conformité ou de régularité quand l’audit a pour finalité de contrôler l’application des lois, normes, procédures: quand le référentiel est connu, le mot clé est alors contrôler. La démarche simple et traditionnelle va consister à comparer la règle avec la réalité. • Audit d’efficacité: C’est un audit de pertinence: ici l’audit a pour finalité d’évaluer la pertinence de l’organisation, l’efficacité

III. VOTRE CAPACITÉ D'INVESTISSEMENT p. 12 • IV. LE DIAGNOSTIC DE L’ENTREPRISE p. 14 1. Les documents nécessaires p. 14 2. Le diagnostic financier p. 16 3. La position stratégique p. 22 4. Le diagnostic commercial et marketing p. 24 5. Le diagnostic humain p. 30 6. L’environnement contractuel p. 32 7. L’outil de production p. 34 8. Synthèse du diagnostic p. 36 • V. L'ÉVALUATION DE L’ENTREPRISE p. 38 1. Méthode de l’actif net corrigé p

principale source de risques d'exploitation pour une institution de microfinance : la plupart des faillites d'institutions de microfinance sont dues à la détérioration de la qualité du portefeuille de crédits. Plus encore que dans tout autre domaine, un audit efficace du portefeuille de crédits implique que les auditeurs et les clients : q q connaissent l'existence de risques spécifiques, et s'entendent sur les risques qui doivent faire l'objet de tests, et sur les procédures à mettre en œuvre pour

technique………………………………………....…...16 II- Architecture modulaire d’un ERP……………………….….…..…16 A- Le module finance…………………………………………………..17 B- Le module logistique…………………………………………..…..17 C- Le module e-commerce………………………………………....26 Chapitre III : Etude de cas « Sage 100 »………………………………..………28 Section 1 : sage 100 et ces différents modules…………………..………...29 I- Présentation générale de Sage 100………………………….…...29 II- Le module de la gestion comptable et financière…………….…29 A- Les fonctionnalités …………………………………………

Universitaire : 2009 / 2010 Session Septembre 2010 PLAN INTRODUCTION………………………………………………………………………………………… 6 Partie I : Revue de littérature Présentation des concepts : Section 1 : l’audit marketing :………………………………………………. 9 * Définitions………………………………………………………………………………………… 9 * Etapes de l’audit marketing…………………………………………………………… 10 Section 2 : les études qualitatives :……………………………………… 18 * Pourquoi une étude qualitative ?............................................. 18 * Les phases

A L A H YA N E Année universitaire 2 0 1 2 / 2 0 1 3 Mr. A L A H YA N E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 Assurances CHETTO Audit et contrôle de Gestion 2012/2013 Page 2 Sommaire Sommaire 4 Liste des abréviations 6 Introduction générale 7 Première partie : Présentation Générale Introduction Chapitre I : Le Secteur de l’Assurances I- Généralités sur l’assurance

d'abord sur la fabrication. Puis elle a étendu son champ d'action en amont(marketing, expression des exigences relatives au produit, conception) et en aval(installation, service après-vente et soutien en utilisation). Cette application généralisée, qui est à la base des systèmes qualité modernes, a été approfondie par A.V Feigenbaum, dès 1951, sous l'appellation de Total Quality Control(TQC). 3. Le cas des systèmes complexes. Le ministère de la Défense américain