Automobile Integration Verticale

française et allemande auraient périclitées face à Boeing. Cette complexité est d’autant plus forte lorsque l’on sait que les entreprises françaises font elles mêmes, appel à un très grand nombre de sous-traitants. A une époque, dans le secteur automobile, les constructeurs faisaient presque tout, alors qu’aujourd’hui, la sous-traitance (équipementiers) représente 60% du véhicule. La gestion des stocks : lorsque la France vend des radars à l’étranger, elle doit assurer un service aprèsvente, or l’entreprise

d’agrément, de santé, de réunion ou dans le cadre de voyages scolaire. 2. Un secteur devenu leader Le tourisme est un secteur qui est devenu leader, il est le 1er secteur au monde. Ex : en France le secteur touristique se situe devant le secteur automobile Quelques chiffres pour la France : - plus de 100 milliards d’Euro, ce qui représente près de 7% du PIB national - 786.000 salariés - 28.800 hôtels et 3.800 agences de voyages - elle constitue la 1re destination au monde avec 75 millions de

CONCURRENCE OLIGOPOLISTIQUE ET CONCENTRATION DANS LE SECTEUR AUTOMOBILE Hadjila KRIFA* Depuis le milieu des années 90, le mouvement de concentration semble avoir subi une nouvelle accélération. Le montant mondial des F&A a ainsi atteint le chiffre record de 3152 milliards de dollars en 2000 (au 16 novembre) contre 975 milliards en 1995 (les Echos du 27/11/ 2000 d’après Thomson Financial data) et 539 milliards de dollars en 1994 (L’expansion n° 594 du 1er avril au 14 avril 1999 d’après Securities

concurrents. Toutes les fonctions dans l’entreprise peuvent être à l’origine de ces compétences distinctives. L’identification du métier d’une entreprise peut être relativement difficile. Une industrie peut être associée à plusieurs métiers (industrie automobile). Deux industries apparemment très différentes peuvent relever du même métier. La notion de métier permet de dépasser les analyses traditionnelles effectuées en termes de consommateurs et de produits. Elle permet de raisonner, en termes de compétences

Isabelle TISSOT TES1 Trois leçons sur la société post-industrielle , Daniel Cohen Introduction - Capitalisme du XXème siècle = solidarité mécanique entre les membres d'une grande firme industrielle = coopération et intégration de tous les échelons au processus productif + diversification de l'activité des entreprises. - Capitalisme du XXIème siècle = cloisonnement hiérarchique + recours à la sous-traitance = puissance des actionnaires = "fin de la solidarité" - La société de services =

above normal returns” (source: Ireland, Hoskisson and Hitt) Cette définition insiste sur: 1er élément : le rôle et la fonction du management dans la définition de la stratégie. La responsabilité du management va être de créer des engagements, des intégrations, cohérences d’ensemble. 2ème élément : action de création. 3ème élément : notion de processus => une stratégie d’entreprise complète n’est pas que de définir des objectifs mais mettre en place les processus qui vont permettre la réalisation de

industrie où réside une forte valeur ajoutée due à la montée en gamme des véhicules, au désir de confort et de sécurité des consommateurs. Dépendance à la conjoncture économique : un faible pouvoir d'achat entraîne une baisse de la demande du produit « automobile » et indirectement il y aura des répercussions sur le secteur du pneumatique. Dépréciation du dollar face à l'euro. Coût des matières 1ères en hausse (caoutchouc). Menace due à la dépendance au pétrole et de son prix qui ne cesse d'augmenter

d'équilibrer en termes de rentabilité, de risque et de perspective de développement, - à préciser le mode de développement qui sera privilégié au cour du temps, c'est-à-dire, l'expansion en volume, l'extension géographique, l'intégration verticale, la diversification des produits ou au contraire la focalisation sur une activité… Les choix stratégiques doivent être guidés par la recherche de synergie entre les activités de l'entreprise.   II - LES MODÈLES D'ANALYSE STRATÉGIQUE 2.1

Elle accroît, tout en les modifiant, les interdépendances entre les pays : ceux-ci sont liés via l’activité des multinationales le long de la chaîne des valeurs. Un nombre croissant de pays en développement participe au processus d’intégration verticale de la production. Toutefois, ces pays ne sont pas seulement des récipiendaires de l’investissement direct étranger. Des multinationales originaires de pays en développement, certes de taille modeste pour la plupart, apparaissent. Cet article s’attache

fait son apparition en France, notamment grâce aux prises de pouvoir de multinationales américaines dans les entreprises françaises et à l'effort de reconstruction d'après guerre. Le marché est alors immense ( seuls 35% des français disposent d'une automobile en 1963, 40% d'une machine à laver ). Le développement de la GD est indissociable de l'essor de la société de consommation. Le commerce organisé et concentré est présent dès 1960 à travers les succursalistes ( casino, la ruche picarde, guyenne et