Autorité Judiciaire Gardienne De La Liberté Individuelle

une grande place pour faire pression depuis quelques années, c’est important d’en prendre compte pour comprendre les analyses politiques. *l’approche des juristes Définition d’INSTITUTION : Le juriste considère une institution comme une autorité abstraite (Président, Parlement, Conseil constitutionnelle) qui est incarner par une personne (Nicolas Sarkozy), ou un ensemble de personne (Les Sénateurs) et qui ont été désigné à leur fonction prévue par un texte constitutionnelle. C’est un

rapport aux personnes privées; son origine prétorienne (de prétoire, ou autrement dit jurisprudentielle) puisque l'activité du juge détermine pour une grande part son contenu. Ce dernier caractère rend indispensable de connaître l'organisation judiciaire française et, plus spécifiquement son pôle administratif afin de pouvoir décoder la signification des jugements. • les origines du droit administratif : le droit administratif s’est construit depuis le XI°s l’administration constituant

de toute autorité politique ? En ce sens, en se reliant aux dieux, les hommes ne posent-ils pas avant tout la question du sens de leur condition, de leur destin et de leur vie partagée ? La transcendance, le dialogue qui unit les hommes aux dieux, sont-ils ainsi le chemin nécessaire pour que les hommes donnent sens à leur vie en commun ? Dès lors, peut-on réduire la religion à une expression parmi d’autres de la vie privée, qui n’aurait d’autre portée que celle d’un choix individuel, et qui serait

l’exécuteur. Au contraire, la Justice moderne va chercher à transmettre l’idée que l’essentiel n’est pas de punir mais de corriger, redresser, « guérir ». La prison intervient sur le corps bien sûr, mais il n’est là que comme intermédiaire : c’est la liberté de l’individu que l’on vise. La peine cesse progressivement d’être un spectacle et l’essentiel de cette transformation est acquis dans les années 1840 en France (plus tard en Angleterre par exemple). Mais le supplice hante encore la pratique pénale

1) Les conditions de l’accès aux documents administratifs La loi de 1978 modifié sur ce point par la loi du 12 avril 2000 et donc par l’ordonnance du 6 juin 2005 garantie le droit de toute personne à l’information, donc en particulier par la liberté d’accès aux documents administratifs. Les textes disent que sont considérés comme documents administratifs, les documents élaborés ou détenues par l’état, les collectivité territoriale, les autres personnes de droit public ainsi que par les personnes

le fonctionnement de nos institutions. Domaine de la loi peut se définir comme le champ de compétence du pouvoir législatif. Le dictionnaire Larousse nous donne une définition de la loi comme suit : « règle ou ensemble de règles édictées par une autorité souveraine et imposées à tous les individus d’une société ». Des interrogations dès lors se posent : de qui relève le domaine de la loi ? Comment se domaine ce délimite-t-il ? La séparation des pouvoirs instaure un pouvoir législatif, différant de

pouvoir judiciaire pour que l’exécutif puisse intervenir légalement (un mandat)). La seconde hypothèse est l’application d’un droit exorbitant du droit commun, c'est-à-dire un droit différent du droit privé. En France ce droit de l’administration diffère donc du droit commun et cela a été historiquement justifié par l’application du principe de la séparation des pouvoirs. L’administration qui relève du pouvoir exécutif ne pouvait être soumisse au pouvoir judiciaire sauf à

convoqués par la royauté, ne sont plus convoqués depuis 1614 ; le peuple n’est donc plus convoqué depuis cette date. Le roi peut décider en toute liberté, en sa qualité de souverain absolu, de se libérer du conseil du peuple (preuve qu’il s’agit d’un monarque absolu). Le roi est considéré comme fontaine de justice mais il délègue certaines fonctions judiciaires. Pour autant, même dans le cadre de la justice déléguée, le roi peut décider d’intervenir directement au nom de la justice retenue. Par conséquent

dit, avec la privatisation, nous ne sommes pas dans le cas où le juge est le « gardien administratif la légalité »[3] selon la formule de Jean Rivero. La privatisation s’inscrit dans un cadre plus précis : elle implique que, désormais, les règles de droit privé intègrent le bloc de légalité administrative et font partie des normes de référence auquel le juge va avoir recours pour réaliser son contrôle en tant que « gardien de la légalité administrative » et qui seront invocables devant lui. Est-ce à

répétition du temps), et enfin elle regardée (ressentie par la collectivité comme ayant une force obligatoire). → ces coutumes naissent vraiment de la société, du lien social, elle n'est pas forcément écrite (distincte de la loi par son origine =/= une autorité qui la dicte, mais les usages). À l'écrit on peut remarquer l'existence de la coutume, à la base le droit romain archaïque était coutumier. La coutume des ancêtres, le « mos majorum » : formé peu à peu par les rites, les usages des premières familles