Axiome du choix

Hegel, tel qu'il figure dans le 2ème cours de sa Propédeutique philosophique, 1ère subdivision, sous le titre de 'La science [de l'expérience] de la conscience', § 1 à 42, pages 89 à 101, 1ère édition, Minuit, 1963, Paris. Seconde justification du choix de la cinématographie. On sait à quel point, philosophiquement parlant, Hegel redoutait le recours à l'image sensible pour dresser le concept, mais on sait aussi quelle importance la tradition attribuait au fait de tout avoir sous les yeux pour bien

d’abstraction qui dépasse la simple constatation des faits. En traduisant près du texte : “ Tout art (téchnè), toute recherche (méthodos), et pareillement action (prâxis) autant que choix (prohaïrèsis) paraissent tendre à quelque bien. ” Les deux dernières notions paraissent liées plus fortement que les deux premières. Celle de choix sera exposée au Livre III : elle est en fait une dimension de la prâxis, et plus précisément ce qui spécifie la prâxis humaine en tant qu’elle est objet et effet d’une délibération

». Si tout droit se caractérise par la substantialité, fallait-il lui adjoindre un adjectif qui constitue un élément inhérent de son acception ? L’affirmation de la fondamentalité d’un droit ne revêt aucune signification quand elle est posée comme axiome autonome. Elle n’acquiert de portée que par opposition à une altérité systémique : l’Etat. C’est de toute façon ce que l’historique de la notion révèle. Incorporés à l’échafaudage des droits de l’homme, ils sont issus du mouvement de pensée du droit

la volonté ait quelque cause extérieure à elle. En effet, il faut bien admettre que la volonté commence à vouloir un objet, puisqu’elle ne le voulait pas auparavant. Il faut donc que cet acte de vouloir ait une cause. Thomas rappelle que, dans le choix de ses moyens, la volonté se détermine elle-même ; il n’en reste pas moins qu’il existe nécessairement une cause qui l’a poussée à se déterminer. Or, « elle ne peut [se déterminer] que par l'intermédiaire d'une délibération ». Mais quelle est alors

mathématiques ou physiques. Sa démarche est démonstrative. Elle consiste à produire, par un calcul abstrait qui obéit aux seules lois de la logique, une conclusion vraie ou probable. Fondée sur des vérités impersonnelles (lois logiques, théorèmes, axiomes), sa démonstration est donc indépendante du contexte, sa validité est universelle. A la différence du scientifique, l’avocat cherche à établir l’innocence de son client, en offrant des raisons de croire en son opinion. Sa démarche est argumentative :

tout l’immeuble. Putain, être dominé sur une question quelconque par le premier venu, un chauffeur de taxi, un livreur de Darty, un employé municipal ! Comment survivre à cette humiliation ? Comment ? F2-Cat : Nul n’est à l’abri. C’est un axiome universel… Je pensais pourtant l’être. Je veux dire à l’abri. J’ai toujours cru qu’on m’admirait, qu’on admirait ma situation, mes facultés, mon diplôme, mon mode de vie. Je me suis toujours senti supérieur aux gens, à vous tous réunis. Et je pensais

vérités considérées comme « scientifiques » qui ont fini par se révéler fausses ou au moins douteuses. De plus, les sciences se contentent souvent de faire le constat de phénomènes naturels sans parvenir, ou même chercher, à les justifier. Certains axiomes mathématiques sont également posés comme vrais sans être ni justifiés, ni même évidents. La définition de Platon ne recouvrirait donc pas l’ensemble de ce que l’on tient aujourd’hui pour scientifique. 4.2 Que cherche la science ? On peut

vérités générales qui peuvent changer en fonction du temps ● Albert Einstein: la géométrie ne se rapporte pas au réel c'est une abstraction elles dépendent d'un esprit humain et leur vérité n'a pas de rapport avec le réel parce qu'on utilise des axiomes elle repose donc sur des conventions ● Lévi-Strauss : sciences humaines et sciences de la nature aucune supériorité toutes les deux ont le même dessein prévoir et expliquer ● Durkheim la sociologie est une science son objet d'étude et la société elle

Éléments de sociologie cognitive de l'action 9 thèmes + bibliographie 1°) L'action sociale : définition et postulat 2°) Les propriétés élémentaires de l'action sociale 3°) L'interdépendance collective et ses pièges 4°) Critiques de la théorie du choix rationnel 5°) La théorie des jeux et l'énigme de la coopération 6°) Critiques du modèle rationnel général 7°) Agir en situation : effets de disposition et effets de cadrage 8°) Les mécanismes cognitifs de la coordination 9°) Pour une analyse multi-niveaux

Avoir conscience de qqch : comprendre et mesurer les conséquences que cela implique Conscience : savoir immédiat, se rendre compte de ce qu’il se passe autour de nous. Bergson : la csc s’intensifie dans les moments difficiles ou il faut faire des choix : elle est bcp plus dvpé chez H cat proportionnelle à la quantité de décision qu’on doit prendre (donc au libre arbitre) Husserl : phénoménologie : toute csc est csc de qqch, la conscience est une visée et non une réalité autonome, elle n’existe pas