Bachelard Platon

de la connaissance  étudie la nature, les origines, les contenus, les moyens et les limites de la connaissance. Elle définie les conditions qui permettent l’acquisition ou la découverte des connaissances. exemples  La théorie des idées de Platon;  La théorie critique de Kant  Les différentes doctrines de la pensée (empirisme,idéalisme,…) Philosophie des sciences  Elle recouvre une réflexion générale sur l’ensemble des sciences et leur développement;  C’est les savants qui s’interrogent

c'est-à-dire la croyance. La raison exclut-elle la croyance ? Platon « une opinion, c'est ce que je crois être vrai, ce dont je suis convaincu, sans être capable d'apporter la preuve de ma conviction. » Leibniz pensé que la raison permettre de confirmé une proposition douteuse. Ex : si il y a de la fumé au loin, la raison nous permettre d en déduire un feu. Donc la raison pour Leibniz est de transformé les croyances en certitudes. Bachelard « opinion tjrs faux, incapable de prouver ce qu’elle avance »

érité ? que préjugé, une idée trop vite pensée, mal analysée. Se contenter de la diversité d’opinions qui peuvent existé c’est aussi refuser d’affronter la vérité, trop douloureuse et difficile à accepter. Telle est « l’allégorie de la caverne » de Platon où on y apprend que la vérité n’est atteinte qu’au terme d’un parcours long et difficile, et que pour y parvenir, il faut commencer par dépasser les apparences. Le rapport de l’intelligence à la vérité n’est pas spontané, puisqu’il doit commencer

depuis les origines : tels le soleil, la lune, la mer, le rocher, l’arbre, la montagne, le désert et la caverne, qui figure dans les mythes d’origine, de renaissance et d’initiation de nombreux peuples. Depuis la grotte de Lascaux, à la caverne de Platon et celle d’Ali Baba, la grotte ou la caverne a représenté tantôt un lieu de rencontre avec le surnaturel, le divin, le sacré, tantôt une image du monde, et tantôt un lieu secret et plein de richesses. De la grotte de la Nativité à la grotte de Hîra’

droit a l’opinion : Héraclite : Il trouvait que les opinions humaines comme des jeux d’enfants Platon : Il trouvait que les meilleur opinions étaient aveugles et que les opinions qui ne reposent pas sur la science sont les plus misérables Châtelet : Châtelet trouvait que l’opinion revendique la vérité, qu’elle prétend savoir la réalité telle qu’elle est, elle est certaine de soi Bachelard : Il disait que l’opinion pensait mal, qu’elle ne pense pas, elle traduit des besoins en connaissances

REFERENCES , PLATON : • Partons de ce que Platon dit de l'opinion : une opinion, c'est ce que je crois être vrai, ce dont je suis convaincu, sans être capable d'apporter la preuve de ma conviction. Les dialogues platoniciens ont alors pour but de débusquer la croyance : je croyais avoir un savoir certain, je m'aperçois que je n'avais qu'une opinion infondée, et incertaine. Certes, dans les faits l'opinion n'est pas toujours fausse ; mais en droit, elle a « toujours tort » (Bachelard), parce qu'elle

Peut-on tenir l’évidence pour critère de vérité ? « Toute vérité nouvelle naît malgré l'évidence. » Bachelard, Le Nouvel Esprit scientifique, 1934. Ici, Bachelard met en avant le fait que l’évidence est une condition nécessaire pour atteindre la vérité, elle donne une direction à suivre, mais qu’en aucun cas elle n’est suffisante pour prétendre atteindre la vérité qu’on qualifiera d’universelle et nécessaire. Ainsi, nous sommes fondés à nous demander si l’évidence peut être tenue pour critère

nature du lien avec l'expérience. La question sera, alors, de savoir si la théorie et dérivée par induction à partir des données expérimentales ; ou si elle exige une rupture avec l'expérience première et une reconstruction du réel, comme le propose Bachelard. Deuxième débat : il porte ensuite sur la fonction des théories scientifiques : sont-elles des explications portant sur la nature du réel ? Ou bien, sont-elles comme le pensent le conventionnalisme, des synthèses permettant seulement une description

nos préjugés et nos croyances. Que la science évolue dans un autre univers que celui des convictions et des opinions, c'est une assertion que n'ont cessé de marteler les philosophes, de Platon à Russell en passant par Berkeley, Kant et d'autres encore, qui ont fustigé la confusion entre savoir et croire. Bachelard, par exemple, tenait l'opinion pour le premier obstacle à surmonter : « L'esprit scientifique nous interdit d'avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas...5 ». Cet univers

croyances pour accéder au savoir. 1/ oui il faut renoncer à toutes nos croyances si on veut réellement connaître. Dans un premier temps, il faut admettre que la croyance est un obstacle à la connaissance de la vérité. Si nous reprenons la pensée de Platon, est particulièrement l’allégorie de la caverne développée dans le livre VII de la République, les prisonniers enchaînés au fond de la caverne sont condamnés à ignorer la vérité car ils prennent les ombres des objets pour le réel. Ils croient que