Bachelard Platon

Philosophes pré-socratiques, tels que Parménide et Héraclite. Socrate, 1er grand philosophe. Il n’a rien écrit cependant il a une thèse oral; il a un élève, Platon. Apres la mort le Socrate (décapité), Platon rédige les pensées de Socrate et inclus les siennes. L’ouvrage est rédigé majoritairement sous forme de dialogues. Platon, lui aussi à un élève Aristote. Aristote est philosophe mais aussi un scientifique. Développement d’autres écoles de pensée : sceptiques, cyniques, épicuriens, stoïciens

valeurs différentes peuvent paraitre cohérente et s’appliquer à un concept de suite d’évènement qui créerait l’histoire ? Evolution des concepts au fil du temps : les mathématiques ne sont plus considérées de la même manière, par exemple. Pour Platon, les mathématiques valent à raison de la définitive de l’objet, or, pour Descartes, les mathématiques valent à raison de l’esprit qui utilise les mathématiques. Le point de vue change constamment au fil des siècles, il n’y a pas de cohérence qui permettrait

« vraie » et le « faux » semblent ainsi désigner le caractère authentique d’une réalité qui ne peut pas tromper, à laquelle on peut se fier, qui de manière courante, renvoi à la plus ancienne conception de la vérité (comme l’est exprimée celle de Platon dans le mythe célèbre de la caverne) Peut-on alors aller vers une vérité universelle tout en ayant des théories opposées ? Nous verrons qu’il y a une part de possibilité de surmonter ces oppositions suite aux évolutions au cours du temps, mais nous

l'homme et la sélection liée au sexe, éditions Syllepse, 1999 3 - Thoreau, une vie philosophique (19/11/07) • Thoreau, L'esprit commercial des temps modernes, Le grand souffle • Thoreau, Le paradis à (re)conquérir, Mille et une nuits • Bachelard, L'eau et les rêves, José Corti • Gilles Farcet, Henry Thoreau. L'éveillé du nouveau monde, Sang de la terre • Michel Granger, Henry David Thoreau, Belin • Micheline Flak, Thoreau ou la sagesse au service de l'action, Seghers

BERGSON 1) Le temps des philosophes Platon dit du temps qu’il est une image mobile de l’éternité : cette image qui progresse sans cesse selon la loi des nombres est le temps. Ainsi, l’expression « il est » ne peut s’appliquer qu’à L’Etre éternel, alors que les mots « il était » ou « il sera » caractérisent ce qui nait et progresse dans le temps (Timée) Aristote : il définit le temps comme « le nombre du mouvement  selon l’antérieur et le postérieur ». Le nombre est le moyen de mesurer

particulière, celle de l’associationnisme qu’il décrit en trois principes : celui de contigüité, celui de ressemblance et celui de causalité. L’imagination n’est rien d’autre qu’un pouvoir de réminiscence ici. C’est d’ailleurs ce dont se plaignait Bachelard. Pour lui, l’imagination est trop souvent une pâle copie du réel et un vecteur d’images d’Epinal et de lieu communs. Pour lui la véritable imagination est créatrice, mais toujours sur la base de perceptions passées. En outre, les plus grandes vues

courant, c’est l’attitude de celui qui croit à un idéal et qui vit conformément à celui-ci. Au sens philosophique, c’est une doctrine qui affirme que la matière n’est pas la seule réalité. On peut présenter trois philosophes idéalistes : Platon, Berkeley et Kant. Platon a développé la première grande philosophie idéaliste. Pour le philosophe grec, au-delà de ce monde, il existe un autre monde bien réel : le monde des idées. Ces idées sont les modèles du monde sensible. Berkeley développe une théorie

force de séduction de la propagande et de la démagogie, la ruse de la persuasion qui oppose à l’effort de convaincre des arguments irrationnels comme la flatterie, les sophismes, la menace, la promesse. Il faut ainsi à Socrate (dans le Gorgias de Platon, 427-347)  beaucoup de ténacité pour affronter Calliclès et son refus d’entendre raison qui va jusqu’à qualifier son interlocuteur de « grenouille coassante ». 3)            Cette intention justifie une débauche d’efforts. Si cette volonté d’avoir

homme public, c’est un homme politique, qui vit au milieu de la cité. Pour Platon comme pour Aristote et d’autres, « l’éducation est le reflet des lois » (Platon) : l’éducation est portée par la vie politique. Pour les Grecs, faire des lois, organiser la société, c’est déjà faire preuve d’éducation. L’éducation est au cœur même de la société. Aristote disait que « l’homme est un animal de la société ». Le but de Platon n’était pas d’écrire ni d’être philosophe, c’était de diriger la cité. Mais

étoile. Déjà ici l'ambiguïté du désir se révèle : d'un côté, constat d'une absence, d'un manque, d'une privation, de l'autre, pressentiment d'un bien susceptible de nous combler. Ce document présente deux thèses qui s'opposent à ce sujet, celle de Platon et celle de Spinoza. L'un assimile le désir à un manque, alors que le second voit en lui un instinct de développement et d'épanouissement pour l'homme. I) Le désir : source de misère II) Le désir : source de bien être III) Dominer ses