Bachelard Platon

  sophistes : fait un usage persuasif du language indépendamment du vrai et du faux : démagogie. Ironie socratique : dissoudre la doxa en nous faisant prendre conscience que nous ne savons pas, quand nous parlons, ce que nous disons. Socrate > Platon > Aristote : disciples. métaphysique : partie de la philosophie sur des notions ou des questions qui ne relèvent pas de l’expérimentation. – Leibnitz : «Pourquoi y a-t-il quelquechose plutôt que rien ?» – Heidegger – Introduction à la métaphysique

bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences. ’’ Pour lui il faut procéder par ‘’ordre’’ pour rendre la raison efficace. Erreurs= raison non efficace. Idée de partage de raison = nouvelle. 17èmes. fondé sur l’Antiquité. PLATON : la raison est naturelle à l’homme, l’homme mature possède la raison. Il y a les intellos et les autres…Conception élitiste de la raison. Pour toute la tradition philosophique pour la suite, il n’ay a pas d’égalité de raison entre les hommes. Certains

de sa naissance jusqu’à sa mort. On définit donc ici la personnalité individuelle, et introduisons le concept de « vérités d’opinion », apparemment immuables à échelle personnelle. D’autre part, nous allons aborder la thèse du dogmatisme. Selon Platon, une vérité ne dépend ni des points de vue, ni de l'époque, ni de la "subjectivité". Une vérité absolue serait vraie pour tous, pour tous les temps. Cela contredirait donc en quelques sortes notre précédente thèse. A la différence des apparences changeantes

Écrire sur l’inconscient et le mythe c’est aborder un sujet qui constitue un des plus abondant et même des plus lourds débats de la réflexion humaine. L’inconscient vient de la « préhistoire », en effet avant Sigmund Freud, de nombreux auteurs depuis Platon s’étaient posés la question de cette paradoxale activité clandestine de l’esprit, qui était un sujet totalement inconnu. Leibniz avait mis en évidence l’existence et l’influence sur nos décisions de « perceptions insensibles » infiniment petites dont

de la complexité : • Les approches historiques • Les approches contemporaines • Les jalons de la complexité • Les systèmes 1°Les approches historiques PLATON et ARISTOTE : idéation ou expérience sensible Platon : La réalité sociale on la perçoit car nous sommes parti prenante d’un gr, la société peut prendre n’importe qu’elle forme, il suffirait que l’homme fouille son intelligence pour comprendre et connaitre les sociétés qui

du sujet rencontre la normativité : quel sujet (idéal) former ? Cette question est subordonnée à une autre : quel sujet idéal à former pour quelle cité, pour quelle société idéale, pour quel modèle politique ? Tel est le projet de la République de Platon, où le philosophe, en définissant ce que doit être la cité idéale, la République, place au centre de son projet l’éducation. Ou encore la Politique d’Aristote est très éclairante, notamment son livre VIII qui termine l’ouvrage, consacré spécifiquement

qui lui fournissent progressivement l’information et les idées nouvelles à la survivance et au bien être? D’où le caractère acquis de la connaissance. Les philo grecs avaient émis les mêmes idées avec certes des terminologies différentes: Pour PLATON (427-347 avt JC): l’âme conserve un souvenir flou des idées contemplées avant la vie présente. Donc pour lui, connaître c’est se souvenir, se rappeler. Pour ARISTOTE (384-422 avt JC): l’esprit humain est une tablette sur laquelle rien n’est écrit

science ou la poésie. Il est commun de rappeler que Platon, aux livres VI et VII de La République, avait dévalorisé l’imagination comme un degré inférieur de l’opinion. Les prisonniers de la caverne sont victimes de leurs illusions. Dans le De natura rerum, Lucrèce dénonçait aussi les illusions de l’imagination, les fausses représentations. Néanmoins, même si la tradition socratique s’est détachée des mythologies de la Grèce archaïque et homérique, Platon a recours aux mythes, comme soutien sensible de

Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus

dans 25 siècles d’histoire. IL y a un lien entre l’histoire et la philosophie de l’éducation. 3 étapes dans le développement historique : 1. La réflexion philosophique à proprement parlé : de l’antiquité jusqu’au 18éme siècle.  Grands penseurs : Platon, Aristote, Montaigne, Rousseau, Kant. Ils sont restés à la pensée spéculative, pensée purement abstraite, théorique. On s’intéresse à l’éducation dans la réflexion pure, il n’y a pas forcément d’application pratique.  On s’intéresse à l’homme, à