Balandier Le Détour

Le détour Intro : Le détour se définit comme un écart par rapport au trajet direct. Selon D. Boisseau, il serait un écart permettant d'arriver a ses fins (recueil ne vaut pas le voyage), cependant, l'important est-il d'arriver a ses fins quelque soit le détour utilisé? Problématique : L’important est-il d'arriver a ses fins quelque soit le détour utilisé ? Nous verrons tout d'abord que « la fin justifie les moyens » et ensuite les conséquences et limites d'un emploi du détour. Comme le

DYL www.tourismes.info PREMIERE PARTIE :SYNTHESE ( 140 POINTS) Le détour Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants : Document 1 : Georges Balandier, le Détour, Pouvoir et modernité (1985) Document 2 : Denis Boisseau, Ne vaut pas le voyage, Revue La Licorne (2000) Document 3 : La Fontaine, « Le Renard et le Bouc », Fables (1668-1694) Document 4 : Jacques Attali, Chemins de Sagesse -Traité du Labyrinthe (1996) DEUXIEME PARTIE : ECRITURE PERSONNELLE

Le détour se définit comme un écart par rapport au trajet direct. Selon D. Boisseau , il serait un écart perméttant d'arriver a ses fins (receuil ne vaut pas le voyage), cependant, l'important est-il d'arriver a ses fins quelque soit le détour utilisé? Nous verrons tout d'abord que « la fin justifie les moyens » et ensuite les conséquences et limites d'un emploi du détour. Comme le célébre dicton nous l'apprend « la fin justifie les moyens ». En effet certaines personnes n'hésitent pas a utiliser

PARTIE : SYNTHÈSE (40 points) DEUXIÈME PARTIE ÉCRITURE PERSONNELLE (20 points) Durée : 4 heures 09 – CULTGEN Page 1 sur 6 PREMIERE PARTIE : SYNTHESE (140 POINTS) Le détour Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants: Document I : Georges Balandier, le Détour, Pouvoir et modernité (1985) Document 2: Denis Boisseau, Ne vaut pas le voyage, Revue La Licorne (2000) Document 3: La Fontaine, « Le Renard et le Bouc », Fables (1668-1694) Document 4:

PARTIE: SYNTHÈSE (40 points) DEUXIÈME PARTIE: ÉCRITURE PERSONNELLE (20 points) Durée: 4 heures 09-CULTGEN Page 1 sur 6 PREMIERE PARTIE: SYNTHESE ( /40 POINTS) Le détour Vous rédigerez une synthèse concise,objective et ordonnée des documents suivants: : Document 1 Georges Balandier, le Détour, Pouvoir et modernité (1985) Document 2 : Denis Boisseau, Ne vaut pas le voyage, Revue La Licorne (2000) « », Document 3 Document 4 : La Fontaine, Le Renard et

modalités et d'efficacité) dans la perspective de la globalisation 1er volet Le politique Raisons de l’intervention publique 1-1 Pouvoir, lieu de représentation 1-2 Pouvoir et monopole informationnel 1-3 Pouvoir et bien public Balandier, Georges (1985): Le Détour Pouvoir et modernité, Paris, Fayard, p.12. «[Le politique] se représente, mais en se différenciant essentiellement, en étant séparé, en accédant à une existence qui ressortit au symbolique et à l'imaginaire. Il est générateur d’effets

siècles, n’ont pas permis son décollage définitif en raison respectivement du poids du jugement de valeur (Machiavel ayant après avoir construit « empiriquement » les formes de gouvernement : La République, le Royaume et la principauté, opté sans détour en faveur de cette dernière, (laquelle sera au 19ème siècle à la suite de M. Weber qualifiée de légitimité charismatique) ; J.Locke a fait l’apologie de la propriété privé, Hobbes celle du leviathan(« gros poisson ») et J.J. Rousseau celle de pouvoir

« grands » Dans son objectif de repérer les lignes de stratification sociale qui contribuent éventuellement à l’intelligibilité de l’Etat postcolonial, JF Bayart se propose de comprendre les positions de pouvoir. Reprenant l’intuition de Balandier qui postule que « la participation au pouvoir (…( donne une emprise sur l’économie, beaucoup plus que l’inverse »[5], sans pour autant tomber dans la conclusion trop réductrice d’un postulat bourgeoisie bureaucratique égale classe dominante, JF Bayart

diversification par un élan d’unification théorique. L’unité de la modernité est donc celle d’un plan de domination de la nature unifié par la raison qui devrait aussi permettre à terme d’instaurer l’harmonie de l’humanité éclairée. Selon Georges Balandier, le détour, Pouvoir et modernité 1985 : dans son rapport à elle-même, la modernité est sans doute incapable de se définir. Elle valorise le bougé, le mouvement, l’acte, l’éphémère jusqu’à menacer elle-même. Peter Sloterdijk la définit comme mobilité,

aux mots qu’il utilise, qui sont autant d’éléments, souvent ou non, pensés de sa formation intellectuelle et humaine. La communication est un mot valise. Si on part de l’idée que la communication relève de l’action de l’homme sur l’homme par le détour des signes, Daniel BOUGNOUX propose de distinguer différents niveaux de communication : 1°) L’homme comme animal social : on trouve toutes les expressions de comportement qui ne relève pas d’une forme ou d’une autre de langage « construit », codifié