Bale Iii Liquidité

les caractéristiques des agrégats Ils ne comprennent que des actifs monétaires ou quasi monétaires, sont exclus l’épargne contractuelle (épargne bloquée), les actions et obligations (risque de perte en capital). Ils sont classés par ordre de liquidité décroissante. Ils s’imbriquent les uns dans les autres. Ils regroupent les actifs monétaires détenus par les agents résidents non financiers de la zone euro. Ils sont calculés par la BCE. 3- Descriptif des actifs monétaires et financiers DOCUMENT

bancaires Les canaux de transmission de la crise à l’économie réelle Une crise mondiale d’une ampleur exceptionnelle Partie 2 la gestion publique de la crise CHAPITRE 3 41 L’ACTION DES BANQUES CENTRALES 41 Qu’est-il arrivé à la liquidité ? Le point de vue d’un banquier central L’évolution des politiques monétaires 43 BANQUE DE FRANCE • DOCUMENTS ET DÉBATS • N° 3 • JANVIER 2010 SOMMAIRE CHAPITRE 4 56 POLITIQUES PUBLIQUES ET SORTIE DE CRISE 56 63 69 La consolidation

mensuel BCE, Janvier 2005………………………………………….14 Tableau 2 : Notes et taux de défaillance sur 19 ans (Source : Moody’s)…………………. 26 Tableau 3 : Notes et taux de défaillance sur 10 ans (Source : Standard & Poor’s)………. .27 Figure 1 : Les objectifs de BALE II……………………………………………………... 12 Figure 2 : Evaluation et couverture du risque de contrepartie………………………….... 25 Figure 3  : La titrisation des créances bancaires…………………………………………. .34 Figure 4 : La défaisance de créances bancaires…………………………………………

places boursières. Baisse de la valeur de l’argent. Diminution du taux d’intérêt. ii. Etant dans un monde qui inspirait confiance, les banques ont diminuées les primes de risque et proposaient des prêts à des gens de moins en moins solvables. iii. Effet Greenspan (Ancien directeur de la FED, équivalent de la banque centrale européenne (BCE) aux USA) : M. Greenspan a maintenu depuis les années 2000 un taux d’intérêt artificiellement bas pour que les entreprises investissent. 2. Innovations

fonctionnement de l'entreprise, dépendre du conseil d'administration, tout en rendant compte à la Direction Générale et au comité d'audit. De cette manière, les auditeurs internes procurent des informations fiables et objectives sur les activités (Bâle, 1998). 1-1-2- Contrôle interne a- Le concept de contrôle interne Les définitions du contrôle interne sont nombreuses et ont eu le plus souvent comme auteurs des organisations professionnelles de comptables. Il en est ainsi de la définition du contrôle

suit : ¼ des banques qui fait faillite. Faillites en chaîne. Impact très fort sur la confiance → doute sur la capacité des banques à faire face à des retraits. GALBRAITH dénonçait le mythe du suicide.  CRISE DE CONFIANCE. → épargnant retirent des liquidités pour épargner. Moins de crédits = moins d’I ; moins de conso → prix s’effondrent, profits aussi → Chômage → baisse du revenu disponible → Baisse de la conso… Cercle vicieux. Or en 1929, les BCE n’ont pas joué le rôle de prêteur en dernier ressors

autorités de tutelle depuis 2000, ont pu dégager des résultats significatifs en 2006. Les banques généralistes commerciales ont également connu une rentabilité et une situation prudentielle satisfaisantes, facilitant leur adaptation au dispositif de Bale II entré en vigueur début 2007. L’année 2006 a été marquée par l’entrée en vigueur de la réforme de la loi bancaire et des statuts de la Banque centrale consacrant son autonomie. IVoir également annexes I et II Un paysage bancaire marocain toujours

capacité de contrôle des marchés financiers dominerait celle des banques ........ 105 8. Conclusion : de notables progrès dans la compréhension des crises financières ..........................................................................112 Chapitre III. Au cœur des crises financières contemporaines trois innovations financières majeures : la déréglementation, la globalisation et la sophistication des nouveaux instruments ...........115 1. La déréglementation, justifiée au regard de considérations

des financements
Cependant aujourd’hui, les banques européennes peinent à exercer leur métier de prêteur et d’intermédiaire financier, sous la pression…:  des nouvelles exigences réglementaires en matière de solvabilité (Bâle III): plus de fonds propres, plus de liquidité  des agences de notation et leur évaluation permanente de l’adéquation entre les activités et les fonds propres des banques  des marchés: coûts de refinancement des banques volatils, dans un contexte de marché toujours

les normes IFRS dans le but d’avoir un référentiel unique pour toutes les banques. - A court terme d’autres normes vont venir s’imposer aux banques. En effet la mise en application des normes Bâle III va contraindre les banque à revoir leur fonds propres ainsi que la mise en place d’un ratio de liquidité.