Basic Instinct

l’itinéraire du personnage qui cherche à s’insérer dans la société. La quête du héros est souvent un échec. • Le monde du travail, diversité des milieux, différents métiers (employeurs, banquier, commerçants, prostitué, mineurs, …) • La puissance des instincts, par exemple la passion amoureuse. Le Roman oppose la force brutale du désir. Les personnages sont entrainés par leurs pulsions. • La maladie et la mort : L’écrivain confronte ses personnages aux épreuves de la vieillesse et de la maladie.

doctrines provoquent permettent d'en douter. Un sentiment fragile Il faudrait donc faire totalement abstraction de soi-même pour parvenir à cette abnégation parfaite que devrait être l'amour. Pour y tendre, nous devons sans cesse lutter contre nos instincts de conservation, de possession, d'autodéfense. Nous devons forcer notre propre nature pour essayer d'atteindre cet idéal. Or, qu'est-ce que l'amour ? Ce devrait être le sentiment qui nous commande de vouloir le bien pour soi et pour les autres.

Albert Camus- L'Envers et l'Endroit : Entre oui et non Je pense à un enfant qui vécut dans un quartier pauvre. Ce quartier, cette maison ! Il n’y avait qu’un étage et les escaliers n’étaient pas éclairés. Maintenant encore, après de longues années, il pourrait y retourner en pleine nuit. Il sait qu’il grimperait l’escalier à toute vitesse sans trébucher une seule fois. Son corps même est imprégné de cette maison. Ses jambes conservent en elles la mesure exacte de la hauteur des marches. Sa main

né en 1844. Il est le fils de Gervaise Macquart et d'Auguste Lantier. C’est à cause de ces derniers, ivrognes, que Jacques a en lui, depuis sa naissance, une folie meurtrière qui se déclenche lorsqu'il se trouve seul en compagnie d'une femme. Ses instincts le pousse, contre sa volonté, à tuer les femmes qui lui cèdent. Pour lui, l'amour « semble ne pouvoir se réaliser pleinement que dans la mort. » Les symptômes lui sont bien connus : il souffre beaucoup car il est à la fois " bête qui chasse": sans

l’étude précise de l’aristocratie française du XIXème siècle, notamment à travers le roman La duchesse de Langeais. Dans la scène qui nous est proposée au chapitre 3, très théâtrale à cause de l’omniprésence du dialogue et de la mise en scène des instincts et passions, Antoinette de Langeais et Arnaud de Montriveau livrent un duel amoureux qui révèle les ressorts de leur personnalité respective. Le général de l’armée bonapartiste désire en effet obtenir aux yeux de tous les faveurs de la Duchesse

les états, l'employé, le mineur, le rentier, le chemiot, la prostitué... 3) La puissance des instins a l'idéalisation de la passion amoureuse, le roman réaliste oppose la force brutale du désir. Il represente des personnages habités par leurs instincts, entrainés par des pulsions qui les dépassent parfois 4) La mort L'auteur n'hesite pas a représenté la mort dans sa réalité. II) Un roman naturaliste. 1) Psycologie des personnages quelques points differencie le réalisme du naturalisme =>

personnel comme se nourrir, visant à se conserver en tant qu’individu. La deuxième, comme la reproduction, vise à se conserver en tant qu’espèce. Ces deux instincts ont pour but de lutter contre la mort ( individuelle ou de l’espèce ) ils sont présent chez tous les êtres vivants, c’est l’essence de la vie. Ces deux instincts sont présents chez tous les êtres vivants, même ceux qui ne sont pas doués de Logos ( parole/esprit ) ce sont donc des but inconscient, innés chez l’homme

that people cannot control him does it on purpose. Cf: a troll, small, aggressive, violent creature. Wants to return is the nature and to be alone. He marks his territory like a wild animal We can ask about Ben, is he a murderer or is it an animal instinct? *murderer: premeditates and think about his crime. Happy and proud of his acts *A. I: not really aware of the consequences of his behavior. When H tries to catch him, he move like a monster fish II- Harriet who is a desperate mother - He puts

Dissertation (Introduction et plan détaillé) : Faut il un objet pour désirer ? On peut se poser cette question car, un désir ne concerne pas forcément un objet. Cependant il est certain qu’au premier abord, on pense nos désirs viennent de la rencontre avec un objet qui nous plait et donc que nous voulons. Pour nous le désir est instinctif à la vue d’un objet que l’on veut posséder. Cette rencontre avec l’objet va nous mettre en tension vers la possession, le désir de cet objet. Quand on pense

motivations et les opérations mentales sont dictées par l’élément de « l’inconscient » que ce soit défini par les pulsions sexuelles pour Freud (le ça) ou par les différents instincts de la faim jusqu’au besoin de la culture pour Jung, ou même par le sentiment de l’infériorité pour Adler. Le sujet est assujetti à ses instincts il est donc involontaire, subordonné et dépendant.