Bergson Et La Liberté

mais prendre en compte toute sa complexité. En effet la matière prend valeur et sens à partir de la liberté humaine. La richesse du projet de l'homme confère une multiplicité de sens à la matière que l'homme rencontre à titre d'obstacle, mais aussi bien d'instrument et de stimulant." Sont citées les oeuvres suivantes : Phédon de Platon L'Etre et le néant de Sartre L'énergie spirituelle de Bergson Sur le site devoir de philosophie, la problématique du sujet est ainsi posée "Le substantif

son corps, cet état de fait est une forme d’impuissance puisqu’il n’y peut rien. Ainsi le temps qui passe peut être vu comme un obstacle à notre liberté, car toutes les actions que j’aurai pu tenter, ne le seront faute de temps. L’expression « perdre son temps »marque donc le sentiment de frustration lié à un manque, à une perte d’une partie de sa liberté, de ses possibilités. Le fait de savoir que l’on va mourir implique une véritable angoisse : la présence de la mort en filigrane de la vie entraîne

lui donne pour signification l’existence continue du monde matériel, l’absence de commencement et de fin du mouvement. Par ses travaux sur la durée, Bergson a introduit le temps qualitatif vécu et le temps quantitatif construit. Il a montré comment la matière, la vie, le psychique, le social, le spirituel se plaçaient dans des temps distincts. Bergson a ébranlé l’idée de l’unité des temps mais aboutir à une vision complète du problème de la multiplicité des temps. Les philosophes comme Bachelard

Le rire est une émotion humaine inséparable de l'humour. Ce dernier a la faculté de présenter la réalité d'une façon plus insolite sous des traits absurdes et plaisants. Cette synthèse allie un ensemble de trois textes: Henri Bergson a travailler sur le rire par un essais philosophique en 1900. Yves Deray et Guez Laurent ont, en 1998, traité un essais sociologique sur « le Pouvoir des guignols » et Lucas Farcy interviewa Olivier Sauton sur la question de la dérision. Mais le rire est-il une arme

originale. De plus selon W. Benjamin l’œuvre d’art originale mériterait toujours une « aura ». L’art suppose l’invention, la création de quelque chose de nouveau et de manière libre, Kant met d’ailleurs en avant la notion de liberté : "on ne devrait appeler art que la production par liberté". Cela nous montre bien que l’art est une œuvre de l’esprit car si elle n’a pas de fonction matérielle, elle a un sens qui est le plaisir, l’imagination ou même la provocation. Donc des sentiments se qui s’oppose fortement

phénomène conscient. La conscience n'est que le résultat de l'intégration d'éléments inaperçus. B/ Bergson Bergson met en évidence l'idée que si dans la vie courrante, notre passé n'est pas sans cesse présent, nous n'oublions rien. Nous conservons tous nos souvenirs et si nous n'en avons pas conscience c'est car la conscience présente fait obstacle à l'irruption de certains souvenirs. Pour Bergson, la conscience a pour but de nous adapter à l'action présente, elle remplie donc une fonction biologique

personne possédant un infini, à l'image du monde créé. Rien ne peut être conçu en dehors de Dieu et Dieu est contenu dans tout ce qui est créé. Selon lui, la sagesse correspond à la connaissance et l'amour intellectuel de Dieu. La durée selon Bergson Une durée est un flux continu, toujours prolongé. Les événements sont spontanés, non-répétitifs, créatifs … On ne peut pas l'assimiler à un espace limité puisque l'Homme ne vit jamais deux fois la même chose. Le temps contient une succession d'instants

penser et réfléchir sur sa pensée" B. La dimension utilitaire de la conscience III) Le processus de la prise de conscience et ses effets sur l'individu A. Le principe husserlien de l'intentionnalité B. La condition sine qua non du chemin de la liberté Dire que l’homme est un sujet conscient, c’est affirmer qu’il se sait en relation avec la réalité extérieure, par l’intermédiaire des cinq sens qui lui permettent de saisir les choses qui l’environnent comme autant d’objets faisant face au sujet

Ici la question du progrès devient celle de la liberté. L’espérance d’Heidegger nous paraît bien étroite : à quoi sert la poésie dans un camp de concentration ? Dans un accident nucléaire ou plus banalement quand les techniques sont les chaînes de l’asservissement économique causes d’une misère spirituelle et matérielle, seul un acte intégrant l’éthique peut nous sauver, et cet acte exige la responsabilité, c’est-à-dire une certaine forme de liberté. Jusqu’ici le progrès humain a été vu plutôt comme

intériorisation des réalités économiques et sociales. -         Les critiques de l’inconscient : Sartre a refusé le geste freudien faisant de l’inconscient une substance, un autre moi car cela revenait, selon lui, à évacuer la question fondamentale de la liberté. Popper a nié le caractère scientifique de la psychanalyse, l’inconscient ne se laissant pas découvrir par expérimentation. Foucault a remis en question l’originalité de la psychanalyse en montrant comme elle se rattachait à un système de pensée vieux