Bergson Le Fourmis

1950/1958) ou encore Louis Gardel (Fort-Saganne, 1980). La science-fiction et le fantastique produisent également un nombre très important d'œuvres avec René Barjavel (La Nuit des temps, 1968), Michel Jeury (Le Temps incertain, 1973), Bernard Werber (Les Fourmis, 1991)…, qui ont cependant une certaine difficulté à concurrencer les œuvre traduites. La veine égocentrique est, elle aussi, très productive avec des formes plus ou moins innovantes d'autobiographie avec Marcel Pagnol (La Gloire de mon père, 1957)

pensant, mais une réalité intermédiaire, difficile à comprendre. Si l'intelligence (c'en est une définition possible) est l'adaptation des moyens à une fin, alors le singe qui effeuille un rameau pour l'introduire dans un trou de fourmis, puis le retire et mange les fourmis qui se sont mises dessus, fait indéniablement preuve d'intelligence. L'opposition entre l'instinct et l'intelligence a un sens fort car elle concerne la conscience par rapport au temps. L'instinct est un programme de comportement

difficile de penser au-delà de sa culture, on appartient bien à elle. Explication de texte Bergson : Le langage est une fonction éminemment sociale dont l’objet est l’exploitation du milieu. Le langage est naturel, la langue conventionnelle. Cela veut dire que les structures mentales permettant le langage sont dans l’organisme comme des armes permettant la domination sur le monde naturel. Comme les fourmis sont équipées pour réussir dans la fourmilière, les hommes sont dotés du langage pour améliorer

sceintificité. La raison sceintifique n’est pas la raison qui chercherait avant tout à promouvoir un discours définitivement à l’abri du réel, de la nature, bref, de l’expérience, alors même qu’il se refuse à épeler les éphénomènes (cf Bacon F.; la fourmi, l’araignée, et l’abeille). Est-ce à dire pour autant que la science soit l’adversaire naturelle de la religion, est-ce à dire pour autant que progrès scientifique et société libérale soient solidaires (comme le prétend K. Popper) ? Une réponse à

principalement vers des philosophes – ou vers des sociologues qui ont commencé par être des philosophes. Les auteurs – en nombre limité, il est vrai –, sur lesquels nous nous sommes appuyés pour argumenter notre propos, sont Georges Gusdorf, Henri Bergson, Sigmund Freud, Georg Simmel, Georges Gurvitch, Jean-Paul Sartre et Alain Touraine. Pour introduire la question : Georges Gusdorf Le problème de la liberté ne se pose pas – il n’est pas pensable – dans les sociétés dont la culture n’accorde aucune

rachètera l’homme des « sordidoe artes » et du travail salarié, le Dieu qui lui donnera des loisirs et la liberté. » Paul Lafargue : Le droit à la paresse, 1880. C’est la même idée que l’on trouve chez un philosophe pourtant assez éloigné de Marx, Bergson. Il fait également de la réduction du temps de travail, rendue possible grâce à la machine, la condition qui permettrait d’accéder à une vraie liberté. « Quand on fait le procès du machinisme, on néglige le grief essentiel. On l’accuse d’abord de

interrogée par Bergson. Il ne conteste pas les localisations cérébrales, car elles sont incontestables. Il interroge cependant les conclusions des physiologistes. Il prend l’exemple de la mémoire. Pour les physiologistes, les souvenirs sont des traces neuronales. Si la zone de la mémoire est endommagée, alors les souvenirs devraient être définitivement perdus. Or, on observe que certains amnésiques peuvent retrouver la mémoire, ce qui ne s’explique pas pour les physiologistes. Selon Bergson, les souvenirs

quelqu'individuel qu'il soit, a une valeur universelle. ... En ce sens nous pouvons dire qu'il y a une universalité de l'homme; mais elle n'est pas donnée, elle est perpétuellement construite. » (Session de septembre) ANTHROPOLOGIE A AMIENS 1980 BERGSON L’homme est le seul animal dont l’action soit mal assurée, qui hésite et tâtonne, qui forme des projets avec l’espoir de réussir et la crainte d’échouer. C’est le seul qui se sente sujet à la maladie, et le seul aussi qui sache qu’il doit mourir

de plus en plus superflus à mesure qu’il les satisfait : mais il ne s’agit pas encore de luxe, tant celui-ci ne commence à proprement parler que là où le superflu remplace le nécessaire au lieu simplement de s’y surajouter. Ainsi ne peut-on, pour Bergson (philosophe français, 1859-1941), dénoncer un progrès technique coupable d’imposer aux hommes « des besoins de plus en plus artificiels » , car ce n’est pas la nouveauté du besoin qui est en cause, mais l’oubli des besoins anciens. Du progrès il faut

1950/1958) ou encore Louis Gardel (Fort-Saganne, 1980). La science-fiction et le fantastique produisent également un nombre très important d'œuvres avec René Barjavel (La Nuit des temps, 1968), Michel Jeury (Le Temps incertain, 1973), Bernard Werber (Les Fourmis, 1991)…, qui ont cependant une certaine difficulté à concurrencer les œuvre traduites. La veine égocentrique est, elle aussi, très productive avec des formes plus ou moins innovantes d'autobiographie avec Marcel Pagnol (La Gloire de mon père, 1957)