Bergson Le Rêve

La réalité désigne l’ensemble des phénomènes considérés comme existant par un sujet conscient. Ce concept indique ce qui est perçu comme concret, par opposition à ce qui est imaginé, rêvé ou fictif. La vision « réaliste » de ce que l’on vit au quotidien, est la vision qui se veut lucide, sans illusions, comme le dit l’expression « avoir le sens des réalités ». Donc la réalité est définissable quand un sujet conscient de son existence, admet que la réalité des choses qui nous entourent est une vérité

étant mal. On pourrait ainsi rapprocher cette attitude de celles des animaux qui possèdent cet instinct. Le savant Darwin avait développé cette idée qu'on pourrait rapprocher de la théorie dite de «l'homme animal intelligent» développée par Henri Bergson. Cette force est ainsi supérieure aux lois, coutumes et même religions. Elle s'opposerait systématiquement à une volonté d'agir d'une façon contraire aux règles régissant son groupe familial ou social et ce quand bien même un texte de loi ou un document

le degré de tristesse peut l’être. Mais le langage est équivoque, c’est un fait, et cette imprécision du langage demeure dans le fait qu’il ne prévoit qu’un seul mot, pour exprimer un sentiment différent chez chaque être humain. C’est ainsi que Bergson déclare que « Chacun à sa manière d’aimer et de haïr, et cet amour, cette haine, reflètent sa personnalité tout entière. Cependant le langage désigne ces états par les mêmes mots chez tous les hommes. » Ils semblerait donc, que l’ambiguïté du langage

« régime économique dans lequel les moyens de production sont propriété privée ».  De plus, la littérature connaît elle-aussi  un tournant. Après le réalisme, le courant surréaliste s’impose. Ce mouvement a pour particularité de faire appel avant tout au rêve, à l’imaginaire, à la folie et à l’inconscient de chacun.    L’HERITAGE DU COUPLE Durant la Première guerre mondiale, les femmes remplacent les hommes à leur travail: ce sont les muntionettes. Les jeunes qui ont connu la guerre rêvent de changer

recommence toujours avec chaque forme de vie. Nietzsche commence par définir l'apollinien : la belle apparence, la mesure. Apollon est le dieu des formes. C'est ce qui caractérise le rêve : Nietzsche rappelle que d'après Lucrèce, c'est en rêve que les dieux aux formes parfaites se présentent aux hommes. Dans le rêve, la résistance de la matière disparaît. On se meut dans un monde de pures formes que rien n'affecte. Il s'agit de rêverie plus que de rêves au sens physiologique ou freudien que nous

il y a toute la distance du fermé à l’ouvert. Ce n’est pas une différence de degré, mais de nature. Radicale aussi, par conséquent, est la différence entre la conscience de l’animal, même le plus intelligent, et la conscience humaine. » Henri BERGSON, L’évolution créatrice. Sujet 2 Dégagez l'intérêt philosophique de ce texte à partir de son étude ordonnée « Les choses de la nature n'existent qu'immédiatement et d'une seule façon, tandis que l'homme, parce qu'il est esprit, a une double

utiliser dans le traitement du sujet La perception, l’art et la technique, la culture. Universel/ général/ particulier/ singulier ; intuitif/ discursif ; médiat/ immédiat ; objectif/ subjectif. „Textes et citation pouvant servir de référence Un texte de Bergson qui tend à montrer que les œuvres d’art nous apprennent à percevoir ce qui demeurerait sans elles inaperçu : « Quel est l’objet de l’art ? Si la réalité venait frapper directement nos sens et notre conscience, si nous pouvions entrer en communication

qualifie de magique voire de religieuse. La reproductibilité se donne au risque de la perte de l’essence même de l’art. {Art - Photographie - Reproductibilité} « Toute conscience est anticipation de l’avenir. » Henri BERGSON (1859-1941) 671 La philosophie de Bergson opère une distinction subtile entre le temps tel que la science le mesure et la durée telle que la conscience la saisit. La conscience est coextensive à la vie, ce qui signifie que la conscience et la vie sont deux réalités

continue. Dans quels cas rencontre-t-on ces interruption de l’existence du moi ? HUme évoque deux cas : la mort, bien sûr, mais aussi le sommeil. Quand je dors, je n’ai pas de perception (mais l’on peut critiquer cette idée => Cf. théorie du rêve selon Bergson). Puisque le moi se réduit à la diversité et la particularité irréductibles des perceptions, le moi est éclipsé : quand les impressions cessent, le moi se retire. Avec la mort, les impressions cessent définitivement : le moi est alors détruit

Pourquoi l’auteur a-t-il eu recours à l’antonomase pour nommer collectivement des groupes humains? Ce choix pourrait être interprété comme une sorte de création d’archétypes dont les membres sont semblables. Et le type est risible comme le souligne Bergson : «… vous trouvez […] que les types eux-mêmes sont autant de modèles d’impertinence vis-à-vis de la société. A cette impertinence la société réplique par le rire,… »2 Le nom du personnage nédalien n’est pas seulement archétypique, mais il est aussi