Bienséance Et Représentation

en Espagne avec un trio : - Tirso de Molina => Don Juan, Le Trompeur de Séville - Lope de Vega - Calderon Production théâtral foisonnante et se caractérise par une grande liberté (apparition de cadavre…) on ne tient pas lieu de la bienséance, et de la vraisemblance, apparition de magie (car la chasse aux sorcières bas son plein a ce moment). Deux formes de théâtre dominent : =>le drame => la comédie La comédie baroque

l'irréel » Que pensez-vous de cette citation de Victor Hugo ? Comparés aux autres arts, matérialisés que ce soit par un livre, une peinture ou une sculpture, le théâtre prend vie grâce à des acteurs, présents comme des spectateur le temps de la représentation. Il peut, de ce fait, sembler plus proche de la réalité que les autres arts. Cependant, on peut se demander si ce qui est joué sur une scène de théâtre relève du réel, ou si ce n'est qu'une simple illusion. Victor Hugo écrivait « Le théâtre, c'est

la saveur originelle du texte qu'exigeait l'enseignement. C'est donc véritablement une « altération » des œuvres . Pour être acceptées dans les classes, les éditions scolaires des œuvres devaient également répondre aux exigences de morale et de bienséance. Là encore les éditeurs n'hésitent pas à altérer l'œuvre, par la suppression de mots et passages, engendrant la nécessité de replâtrer le texte en un sens différent. Les œuvres d'auteurs français subissent le même traitement en entrant dans l'enseignement

de son vrai nom Jean Baptiste Poquelin, célèbre dramaturge du 17eme siècle, use de son géni pour dénoncer la société de l'époque à travers diverses oeuvres, nottament Tartuffe (1664), qui, malgré un franc succès auprès du roi, fut interdite de représentation par les dévots religieux. Tenace et obstiné, c'est un an plus tard que Molière écrit Dom Juan, célèbre pièce de théâtre qui dénonce l'hypocrisie des religieux et le libertinage à travers différents personnages parfois amusants.Inspiré par la pièce

La tragédie classique ne met en scène que de très hauts personnages (rois, reines...). Ceux-ci appartiennent à l’Histoire ou aux mythes de l’Antiquité comme pour Phèdre. • La bienséance dite « externe » : elle vise à ne pas choquer la sensibilité ni les principes moraux du spectateur. Elle interdisait donc la représentation sur scène d’actes trop violents (meurtres, suicides...) et des allusions trop marquées à la sexualité. d. La règle des trois unités • L’unité de temps : la durée de l’histoire

théâtre des jongleurs en langue vulgaire. Développe ces 2 aspects du théâtre médiéval. 6- Pourquoi le théâtre du 16ème siècle se caractérise par un mélange des genres ? 7- Le théâtre classique respecte la règle des trois unités et celle de la bienséance. De quoi s’agit-il ? 8- Au 18ème siècle, la classe bourgeoise « monte » ; celle-ci s’oppose au théâtre classique créé pour les nobles. Donne les principales caractéristiques de cette nouvelle forme de théâtre : le «drame bourgeois». Trouve

on pourrait même dire que l’un ne va pas sans l’autre, même si le comique reste très ambigu. En écrivant ces textes, les auteurs avaient surement le but de moderniser le théâtre en donnant aux spectateurs et lecteurs un aspect méconnu dans les représentations théâtrales habituelles. Les personnages du texte A sont des personnages « quelconques » comme le signale les premières didascalies de la pièce. Ceux du texte B, Vladimir et Estragon, sont deux clochards. Enfin, le personnage du texte C, Béranger

Zeus (Roi des dieux) et de Sémélé (sémélé : Fille d‘Harmonie &Cadmos > fondateur de Thèbes) La TRAGEDIE est souvent opposée a la COMEDIE. Une tragédie est écrite en ALEXENDRINS (cf. cour : 12 syllabes). Elle doit respecter les règles de la bienséance (cf. pas de meurtre violent sur scène, ne doit pas choquer les spectateur : recourt aux tirades narratives) et de la vrai semblance (cf. cour : cela doit paraitre vrai) Ainsi que la règle des TROIS UNITEES (cf. cour : unité de lieu, de temps et

ajoutant certains éléments caractéristiques de l’époque classique. On retrouve parmi ceux-ci la bienséance et la vraisemblance, soit les deux règles les plus importantes du classicisme. La bienséance a pour but de ne point choquer l’honnête homme par des mots ou des actions qui ne respectent pas les valeurs de la bonne société. Pour cela, les termes crus et vulgaires sont à proscrire, tout comme les représentations explicites de mort ou de sexualité. Les Sosies, par son vocabulaire distingué et ses vers

salue en inclinant le haut du corps au Japon, que l’on tire la langue au Tibet ou que l’on se claque les paumes de la main l’un l’autre en agrippant les doigts(fermés en poing) de l’autre personne au Kenya ; chaque société applique ses mœurs de bienséance. Ce rituel ne laisse personne indifférent, si bien que ne pas saluer est d’ors et déjà un signe de rejet de salutations enseignées au sein d’une société. Au-delà de la culture, de l’identité d’un groupe et d’un pays qui imposent ses salutations