Bienséance Et Représentation

registres de langue, au nom de la sacro-sainte règle de la bienséance (voir plus bas). - L’établissement de règles et de contraintes, et ce dans tous les genres littéraires. Citons pour le théâtre la règle des trois unités (unité de lieu, de temps et d’action) édictée par Boileau dans son Art poétique : « Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli/ Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli .» La règle de la bienséance est également établie, au nom de la vraisemblance : il

que telle. Dans un premier temps, nous allons savoir de quelle manière Le Misanthrope répond à l’organisation d’action, lieu et temps du théâtre classique, en suite nous allons déterminer en quoi cette pièce suit les règles de vraisemblance et bienséance pour, en fin connaître de quelle manière le personnage d’Alceste représente la figure de L’honnête homme du XVII siècle. L’unité d’action est l’unification de toutes les intrigues de la pièce autour d’une intrigue centrale : celle d’Alceste

être suggérée. Introduction : Le caractère délicat de la représentation de la mort sur scène semble d'abord résider dans le fait que le théâtre se doit d'impressionner le spectateur, de le marquer, mais pas de le choquer. Cependant il est contestable que la représentation, sous prétexte de la bienséance, ne doive pas montrer ce qui susciterai le plus d'émotion chez le spectateur : la mort d'un personnage. Monsieur X, jeune

-Une unité de temps, (appelée aussi unité de jour ou la règle des 24 heures) : Toute l'action représentée est censée avoir lieu dans un seul jour et la durée de la représentation théâtrale doit coïncider le plus possible avec la durée de l’action représentée .Racine voulait rapprocher au maximum la durée de la représentation à la durée de l'histoire (c'est à dire environ trois heures) . Cette règle permet une forte crédibilité de la pièce. -Une unité d'action, (appelée aussi unité de péril)

LE DENOUEMENT TRAGIQUE Bienséances interdisaient à la fin du XVIIe de représenter le sang sur scène. Mort des héros violente se passe hors-scène, racontée par un personnage secondaire. Monologue délibératif = le héros, confronté à un dilemme, pèse le pour et le contre et prend une décision qui fait progresser l'action Monologue déploratif : le héros se lamente et exprime ses sentiments, fct psychologique et lyrique. Acte V, scènes 4-5 vers 1565-1648 Ns sommes ici ds les deux sc de

classique. A) Les bienséances : On distingue les convenances qui sont relatives aux personnages des bienséances qui sont relatives aux spectateurs : alors que les premières regardent les usages, les mœurs du temps et du lieu de l'action, les autres regardent l'opinion et les mœurs du pays et du siècle. Si on fait parler ou agir un personnage comme il aurait agi et parlé en son temps, on respecte les convenances. Mais si ce qu'il dit est choquant, on a failli à la bienséance. Ex: Sganarelle qui

série de règles, la bienséance, la vraisemblance, et les trois unités (unités de temps, de lieu, et d'action). La bienséance - ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. Elle est donc variable d'une époque à une autre et d'une culture à une autre. (Pensez à l'évolution de ce qu'on montre à la télévision au cours des 30 dernières années.) On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre tragique

La bienséance (adjectif bienséant) - ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. Elle est donc variable d'une époque à une autre et d'une culture à une autre. (Pensez à l'évolution de ce qu'on montre à la télévision au cours des 30 dernières années.) On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre tragique un théâtre surtout de paroles. La vraisemblance - (adjectif vraisemblable) ce qui semble

invraisemblable et, par conséquent, la plus controversée. La bienséance: -le heros doit etre vertueux sans etre parfait( pour respect de la vraissemblance), agir et parler conformement à son rang, à son age, à son sexe = bienseance interne - la tragedie ne doit pas choquer le public par la representation de la sexualité oou de la violence( spectacles sanglants, batailles, duels, meurtres, sont evoqués par des récits) = bienséance extrerne. la vraisemblance : la pièce ne peut avoir liue que

TRAGEDIE Le genre tragique a été défini pour la 1ère fois par le philosophe grec ARISTOTE (384-322 av J-C) dans sa Poétique. Elle est « la représentation d’une action noble, menée jusqu’à son terme et ayant une certaine étendue, au moyen d’un langage relevé d’assaisonnements d’espèces variées, utilisés séparément selon les parties de l’œuvre ; la représentation est mise en œuvre par les personnages du drame et n’a pas recours à la narration ; et, en représentant la pitié et la frayeur, elle réalise