Blame Paradoxal

« de ceci, de cela, de ce qu'il pleut... ». Ceux-ci accélèrent le rythme du vers, et donnent l'impression d'une plainte infinie. L'homme est ici perçu comme un individu blâmant Dieu continuellement et en toute circonstance. Il paraît donc paradoxal, puisqu'il blâme un Dieu qu'il craint cependant : il fait la charité afin de s'assurer une place au Paradis. Encore une fois, l'orgueil de l'Homme est dénoncé puisque ce-dernier cherche son confort présent et futur plutôt qu'un épanouissement religieux.

Elvire du couvent, l'a épousé puis abandonner et Sganarelle annonce à Gusman qu Dom Juan ne reviendra jamais vers Done Elvire Début « in médias res » => au milieu des choses(fait antérieur : couvant, mariage, fuite) 1) ELOGE DU TABAC : Eloge paradoxal = effet inconnu mais condamné par l'église car source de plaisir Champs lexical : passion, vertu, honnête... Référence à l'aristocratie et à l'éducation Définition du tabac comme un remède (l.5/6) Sganarelle : 1er et dernière réplique, présent

autour de ce mélange que s'inscrit notre séquence : éloge et blâme, qui appartiennent plus précisément à l'épidictique, rejoignent naturellement les registres mis en œuvre dans le plaidoyer ou le réquisitoire, qui ressortissent au judiciaire. Dans toutes ces productions, en tout cas, la littérature reconnaît l'une de ses vibrations fondamentales, chargée toujours des accents de l'amour ou de la haine.   EXERCICE 1 : l'éloge et le blâme.    Apologie ou satire, louanges ou railleries, les genres

maître b) un valet fasciné par son maître - maître vu comme "un grand seigneur méchant homme" - répulsion de Sganarelle à l'égard de son maître : blâme et animosité - admiration aussi : il lui trouve des excuses - et imite D-J dans ces discours et attitudes => présentation des personnages principaux et de leurs relations. Effet d'attente crée par blâme du maître et fascination qu'il exerce sur Sganarelle (valet) III. Les enjeux de la pièce 1) l’originalité esthétique de la scène :

relevant le champs lexical de la violence et le vocabulaire du Blâme. Enfin je parlerais de la critique du rôle des colonisateurs en relevant une conjonction de coordination. On peut relever qu'il y a des phrases exclamatives comme par exemple « Orou ! » (L12) ; « ce pays est à toi » (L14), « tu es le plus fort » (L16-17). Dans ces phrases, il y a un ton polémique qui transcrit la colère du vieillard face au comportement absurde et paradoxal des colonisateurs pour lesquels l'égalité entre les peuples

vers 33. 2ème sous partie : Nous sommes dans le salon du bourgeois Orgon. Sa mère, s'apprête à quitter la maison et blâme sa famille de leurs habitudes mondaines. Mme Pernelle fait des reproches à tout le monde, elle dit qu’Elmire est trop coquette et que c’est une profiteuse « Que vous alliez vêtue ainsi qu'une princesse. » vers 30, elle la soupçonne même de tromper son mari. Elle blâme Dorine de ne pas tenir sa place de suivante, elle devrait être plus effacée et ne devrait pas dire son avis « vous

ne le conçois pas comme chose mais comme sujet, du fait de sa ressemblance avec moi-même, ressemblance qui se base essentiellement sur le visage, lequel m’ouvre à la sympathie, et sur la communauté du langage. Autrui constitue donc une réalité paradoxale, d’autant plus que je ne peux aborder cette dernière qu’à partir de ma seule conscience. En effet, autrui pose une limite à ce que je suis, il est l’autre en tant que tel, cette conscience qui n’est pas la mienne, mais ce qui me permet de reconnaître

Dissertation : Peut-on vouloir le mal ? Nul ne veut le mal : c’est la thèse paradoxale, et apparemment réfutée par l’expérience de tout un chacun, que défend néanmoins Socrate. Pourtant, cette thèse, si elle se révèle finalement défendable, met peut-être au jour un lien essentiel entre la volonté et le bien : par essence, seul le bien serait susceptible d’être l’objet de la volonté. Mais n’est-ce pas oublier la profondeur de la liberté humaine, qui se manifeste justement dans la possibilité de

Éloge paradoxal du personnage Gilbert Jonas de la nouvelle “Jonas ou l’artiste au travail” d’Albert Camus La portée de l’art pictorique est mesurée par la volonté esthétique et rationnelle de l'artiste.L’impact de l’œuvre artistique est étroitement liée à l'ampleur de la réflexion sur les choix des thématiques abordées et sur les caractéristiques esthétiques de celles-ci, cette corrélation permet la création d’une assimilation automatique globale entre l’oeuvre artistique et les actions personnelles

en fait tous les informations sont destinés au publique plus qu'au valet lui-même. A) Une intrigue surprenante : → Le rôle informatif de la scène d'exposition (intrigue etc.) n'est pas correctement rempli. Au début, elle présente un éloge paradoxal du tabac. → Le schéma type d’une comédie classique (= deux amoureux qui s’aiment mais sont séparés par leurs parents) n’est pas respecté, puisque les amoureux ne sont pas vraiment amoureux et sont déjà séparés. Cela choque les spectateurs. (Il