Bonduelle Matrice Bcg

buts stratégiques en se fondant sur le LCAG; – évaluation des besoins nécessaires à l'obtention de ces buts par les responsables opérationnels. Des consultants développent l’école analytique du positionnement avec des matrices d’optimisation de portefeuille d’activités (BCG, McKinsey, ADL). Ces écoles ont crée des outils d’analyse stratégique. • Troisième époque Dans les années 70 Ansoff propose le concept de gestion stratégique. Le plus important est en 1980 Michael Porteur révolutionne

l’entreprise est fragile. Sur le marché du « snacking », l’étude selon PORTER, nous permet de définir que : - La menace des nouveaux entrants sur le marché : Le risque de nouveaux entrants est élevé (Stoeffler, avec la choucroute box ou Bonduelle avec le wok box), il faut donc faire attention et effectuer une veille concurrentielle. - Le pouvoir de négociation des fournisseurs : Le pouvoir de négociation des fournisseurs est bas, en effet la centralisation des moyens menée par le

grande étendue est une force pour la marque si sa stratégie marketing est de se différencier. (Exemple : louis Vuitton avec ligne d’accessoire, ligne de défilé, ligne associé à des artistes) L’analyse de la gamme : Selon Le CA La rentabilité (matrice BCG) L’âge des produits Règle des 20/80 (voir PPT) L’exemple est mauvais car il signifie que l’entreprise ne renouvelle pas sa gamme La longue traîne avec les produits culturels : Concentration sur certaines références. Internet a permis a

..............................................................49 Attentes des parties prenantes : ..............................................................................................................................................49 La matrice pouvoir/intérêt pour la gestion des parties prenantes: ..........................................................................................50 Quelques aspects de la RSE : .....................................................................

............................................................49 Attentes des parties prenantes : ..............................................................................................................................................49 La matrice pouvoir/intérêt pour la gestion des parties prenantes: ..........................................................................................50 Quelques aspects de la RSE : ....................................................................

2010 2011 2012e 2013e 2014p -0,5% -1,0% 0,0% -1,5% 36,5% 52,0% 7,0% 3,4% (*) Estimations Leaders (*) ACCENTURE CAPGEMINI CONSULTING CGI BUSINESS CONSULTING FRANCE CSC COMPUTER SCIENCES IBM GBS KPMG MCKINSEY & CIE THE BCG & CIE (*) classement alphabétique 4,0% +0,8% Chiffres clés 2012 Croissance du PIB en France (vol.) CA des cabinets de conseil (val.) (*) Autres achats et charges externes / CA (*) Masse salariale / CA (*) Taux d’EBE (*) Taux de résultat

la stratégie, on décomposait sur le plan fonctionne let structurel de l’entreprise pour savoir ce qu’on faisait sur le moyen long terme. Aujourd’hui c’est dépassé au sens de ANSOFF par ce qu’on est dans un environnement incertain. - Matrices stratégiques (70’s). BCG, ADL, Mc Kinsey. Ils ont proposé des outils pour gérer les portefeuilles d’activités (l’ensemble des activités des grands groupes). - HOFFER et SCHENDEL (fin des 70’s)  Management stratégique : Il va travailler sur chaque activité

mise sur le marché et sur la rentabilité du produit »27.La société Terre d’Oc travaillant déjà dans le domaine de la cosmétique, la création d’un nouveau produit du type parfum correspond tout à fait à son DAS. Dans cette dimension, des matrices comme celle de la BCG ou celle de Mc Kinsey pourront être couramment utilisées afin de saisir le diagnostique de chaque concept. Dans un deuxième lieu une « dimension commerciale » qui se caractérise par deux conséquences principales « sur la performance de

civilisation. Certains parlent de rupture, d’autres de l’accélération d’une évolution continue. La guerre de 1914-1918 est le tournant majeur, prolongé et amplifié par les autres grandes tragédies du XXè siècle. En effet, le premier conflit mondial, matrice de notre temps, a marqué le moment où la confiance dans un progrès continu, linéaire, a cessé d’exister. Dans un article paru dans la revue Études en janvier 2006 sous le titre La grande inquiétude, Jean-Claude Guillebaud considère que nous sommes