Bâle Iii Impact

d’octroi d’un crédit bancaire. 22 2.1- La démarche générale. 22 2.2- Les recommandations prudentielles. 24 Section 3 : La typologie des crédits bancaires. 25 3.1. Le crédit à court terme. 26 3.2- Le crédit à moyen et long terme. 27 CHAPITRE III : LA GESTION DE L’INCERTITUDE ET DU RISQUE 32 Section 1 : La présentation du concept risque/Incertitude. 33 1.1- La notion de risque. 33 1.2- Les principaux risques inhérents à l’activité bancaire. 34 1.3- Le risque de crédit. 36 1.4- La minimisation

risques bancaires et l'accord de Bâle C hapitre I : Inventaire des risques Section 1 : les risques traditionnels Section 2 : les risques de nature qualitative Section 3 : les risques opérationnels C hapitre II : Les principes de l'accord de Bâle I Section 1 : les grands traits de l'accord de Bâle I Section 2 : le processus de gestion des risques -3- Section 3 : règlementations et exigences prudentielles Section 4 : les faiblesses de Bâle I C hapitre III : La nouvelle reforme de coefficient

2010 Publication d'Attijariwafa bank PILIER III BâLE II Contact Information Financière Ibtissam Abouharia email : i.abouharia@attijariwafa.com Pilier III - Bâle II Informations Quantitatives et Qualitatives La publication des informations financières portant sur les fonds propres et sur les risques s’effectue sur base consolidée conformément à l’article 2 de la directive 44/G/2007. Certaines informations sont publiées sur base individuelle pour le périmètre siège et les filiales significatives

les banques B) Le ratio de fonds propres à l’ordre du jour II) La situation du Groupe Crédit Agricole PCA A) Un groupe montré du doigt par les agences de notation B) Les mesures mises en place par le groupe pour cette Crise III) Ma situation au sein de l’entreprise Crédit Agricole A) Mon métier, mon rôle et mes compétences B) La répercussion de la crise au sein de mon agence Introduction : Banque : Une banque est une entreprise qui utilise l’argent comme

systèmes de no- tation…….…………………………………………..…………......................4 b)-Le procédé de notation financière………….…………………...……..…6 II)- Critiques et impacts de la notation financière ……….………………......7 a) - Les critiques dont font l’objet les agence de notation……………….…..7 b) –Les impacts de la notation financière …………………………………...8 c) – Perte du AAA Français ……………………………………….……….12 Les sources ……………………….……………………………...…...14

3. Quelles sont les trois familles de risques majeurs auxquelles sont exposées les banques ? Il ya risque dès qu’il ya éventualité de survenance d’un événement (plus ou moins prévisibles) présentant un danger potentiel et/ou pouvant avoir un impact négatif sur la réalisation des ambitions de l’entreprise. Pour une entreprise, la mauvaise maitrise des risques ne se traduits pas seulement par des pertes financières ou des manques à gagner. Les conséquences peuvent aussi être diverses qu’une

UE : Union Européenne UEMOA : Union Economique Monétaire Ouest Africaine E 4ème promotion MPCGF/CESAG U TRAORE Penda EQ RO : Page iii Le processus de gestion et le pilotage du risque opérationnel : cas de la SGBS LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX FIGURES Figure 1 : Les trois piliers des accords de bâle 2 ..................................................................... 23 Figure 2 : Modèle d’analyse ........................................................

principales appelées « The Big Three » qui sont : Standard & Poor’s, Moody’s et Fitch Ratings. Nous avons organisé notre exposé suivant le plan défini ci-dessous : I - Historique des Agences de Notation II – Principes de la Notation III – Impacts des Agences de Notations sur le marché I. Historique La notation apparaît au 19ème siècle avec la première société d’analyse financière de crédit « The Mercantil Agency » à New York en 1841. Quant à elles, les Agences de Notation

interne nommé « STARWEB » et qui a été mis en place par la Société Générale afin de permettre à la banque de calculer ses propres exigences en matière de fonds propres (méthode IRB-A) conformément aux directives figurant dans le pilier 1 des accords de Bâle 2. Mais on a aussitôt constaté qu’il y avait des différences quasi-quotidiennes entre les analystes crédits et les analystes risques ainsi que des difficultés lors de l’utilisation du nouveau système de notation interne. Ces constations là ne peuvent

leur organisation, les incitations marketing ne présentent pas de différences majeures entre les enseignes. Les banques utilisent également une segmentation de leur clientèle très proche. Nous aborderons plus en détail cette approche marketing et son impact dans l’activité des agences dans la suite de notre exposé. Les services proposés et l’approche commerciale deviennent par conséquent industrialisés et standardisés afin d’améliorer la rentabilité. Cependant, la banque se doit également d’un rôle