Cacaoyer

quatre-vingt, et même un recul de 2 % en 1991, le miracle économique fait désormais partie du passé. Comme le remarque Philippe Chalmin dans le Monde le 30 juin 1992, l’image « qui colle à la peau » pour la Côte d’Ivoire est celle du cacaoyer. Le cacao demeure en effet la principale ressource économique ivoirienne et représente encore près de la moitié de ses recettes à l’exportation (62 % avec le café et les fruits en 1990). Si l’on accepte le chiffre officiel de quelques 2 millions

26 Chocolaterie Confiserie Robert, avril 2014 53 1.5) L’écologie Concernant l’écologie, le cacao de Madagascar n’est pas encore menacé. La plantation de cacaoyers se trouve dans la région Nord de la grande île. Cette région est très abondante à la pluie ce qui permet à la plantation de s’épanouir. De ce fait, on récolte de ces cacaoyers une bonne qualité de fèves. Cette espèce ne risque pas d’être en voie de disparition. 2) Menaces Ce sont des indices de contrainte ou de danger pour l’entreprise

l'AOF dont il sort major en 19255. Ces études de médecine étant enseignées de manière incomplète par le colonisateur, Houphouët ne peut prétendre qu'à la carrière d'un « médecin africain »10, médecin au rabais6. Un « médecin africain » engagé Un cacaoyer avec les gousses de fruits à différents stades de maturation. Le 26 octobre 19259, Houphouët débute sa carrière en tant que médecin-auxiliaire à l’hôpital d’Abidjan11 où il fonde une « Amicale » regroupant le personnel médical indigène7. L’entreprise

substitution partielle du riz par le manioc. Ces changements sur les versants conduisent à une spécialisation des basfonds pour la production rizicole avec une relocalisation des raphias dans des zones spécifiques, en association avec les cacaoyers. La riziculture inondée se développe, devient plus intensive en travail, avec abandon des friches, puis adoption du labour et du repiquage pour s’opposer à l’enherbement. Les aménagements de basfonds, qui avaient jusque-là rencontré un faible

 Denrée sucrée élaborée par les abeilles.  Pour 100g = 300Kcal  G= 75 % saccharose 6% glucose 35 % fructose 35 % 21/11/ 2016 Exposé Diététique Cartorando - Régine Givet 47 LE CHOCOLAT  LE CHOCOLAT  Mélange de cacao.  Le cacaoyer dont les baies renferment des fèves riches en Lipides.  Le cacao : - L = 40 à 50 % - P = 15 % - Amidon = 3 % - Théobromine = 1.3 %  Le chocolat : - saccharose: 65 % - L: 24 % - P: 6 % - Théobromine 1.5 % - Magnésium: 100mg

cacao dans l’industrie du chocolat. La recherche scientifique et les stratégies de développement de la production cacaoyère se présentent aussi comme un pan important du futur accord. Il s’agit, ici, de s’attaquer de façon incisive aux maladies du cacaoyer et aux problèmes de qualité.Les négociations concernent aussi la promotion de la consommation mondiale et de l’industrialisation dans les pays producteurs de cacao.Compte tenu des bonnes perspectives au niveau des prix, la Côte d’Ivoire, premier

producteurs favorise presque exclusivement le cacao au détriment des aut res productions primaires 17 . La part du secteur cacaoyer passe alors de 33 % à 45 % des exportations totales entre 1991 et 1999, et ceci malgré la découverte d’un nouveau gisement pétrolier en 1995. Une des autres conséquences de cette politique de prix relatifs, favorisant largement les produits cacaoyers, est la baisse continue de la production du café qui représentait une production de premier ordre dans les années soixante-dix

arômes. Il apprécie particulièrement les terres volcaniques d'Amérique centrale et des Caraïbes, riches en minéraux, fertiles et bien drainées. Sensible aux fortes chaleur, il pousse à l'ombre d'arbres à larges feuilles telles les bananiers, ou les cacaoyers pour éviter les rayons du soleil qui nécrose les feuilles. Il craint le gel. Comme l'arabica pousse à des altitudes plus élevées que le robusta, ses grains n'arrivent à maturité qu'après 60 à 120 jours (plutôt que 30 à 60 jours pour le robusta).

également une culture sous couvert forestier. Le couvert d’arbres fruitiers rend les terres plus fertiles et abrite une grande variété d’espèces naturelles allant, dans certains pays, jusqu’à 187 espèces d’oiseaux. La diversité des arbres aide les cacaoyers à résister aux maladies et plus encore, fournissent aux paysans une source d’alimentation complémentaire et de revenus supplémentaires. Les produits issus de cueillette sauvage indigène ou de pratiques agro forestières respectueuses de l'environnement

technique des structures d’encadrement est nécessaire en milieu rural. A travers ces structures d’encadrement, l’Etat pourrait concevoir un programme national de promotion de la qualité. Ce programme devrait prendre en compte le rajeunissement des cacaoyers et des grains de café. Ensuite, il permettrait l’amélioration génétique de la production du café et du cacao par la mise au point des variétés résistantes aux maladies. Enfin, la promotion des traitements phytosanitaires et la désinfection des plantations