Calcul De La Masse Salariale

15 000 eurosQ16 M : Pour calculer le PIB, on additionne :A. Les valeurs ajoutéesB. Les chiffres d’affairesC. Les bénéficies des entreprisesQ17 M : Le PIB mesure :A. La richesse créée par l’ensemble des entreprises d’un paysB. La richesse créée par l’ensemble des producteurs d’un

indicateurs suivants : | |2009 |2010 |2011 | |Masse salariale/CA en % | | | | |Frais de formation/masse salariale en % | | | | Système d’information (ce descriptif doit être

permet de satisfaire les exigences du dirigeant. B) Le dirigeant souhaite disposer d’une étude lui permettant de mieux piloter la masse salariale. Un tableau de bord est mis à sa disposition. Les définitions suivantes sont fournies : ← MS1 : somme des salaires et traitements bruts versés aux salariés de l’entreprise. ← MS2 ou frais de personnel : masse MS1 augmentée des cotisations sociales patronales. ← Coût social du travail : ensemble des charges versées au bénéfice des personnes exerçant

et mission de la CNSS…………………………………….P7 A-2 Flash back………………………………………………………………….P7 A-3 Organisation de la CNSS……………………………………………...…P9 A-3-1 : Organisation Administrative……………………………….….P9 A-3-2 : Organisation Financière et Comptable……………………….P10 A-4 Calcul de cotisations…………………………………………………….P12 B : LES SERVICES DE LA CNSS...................................................................... ..P13 B-1 : Prestations familial………….…………………………………………P14 B-2 : Prestations sociales à court terme……………………………………P15

autonomie des individus sont compatibles. 14 2 – Le management © Éditions Foucher 3 DOSSIER 1 1 LA RÉMUNÉRATION LA MASSE SALARIALE Calculez la masse salariale à la charge de la société ATS, en octobre 2008 et citez les facteurs qui pourraient engendrer une variation de cette masse salariale (DOC. 1). 1 DOC Le calcul de la masse salariale Société ATS – Rémunérations 2008 Catégories professionnelles Ouvriers Agents de maîtrise Employés Cadres Salaires bruts mensuels1

qui ne font pas l’effort d’en rechercher un pour une raison ou une autre. Les types de chômage : 1- Le chômage frictionnel : la recherche d’emploi permettant aux chômeurs de trouver un travail qui correspond à leurs compétences et exigences salariales, entre temps, ils sont en chômage frictionnel. 2- Le chômage saisonnier : il est dû aux variations saisonnières d’activité. 3- Le chômage conjoncturel ou cyclique : il est dû à la conjoncture économique, il augmente en période de récession

cette différences entre effectifs inscrits et effectifs au travail. Ce type de tableau permet aussi d’approcher le nombre d’heures de travail disponibles dans l’organisation. Ceci est utile dans un objectif de flexibilisation du temps de travail. Le calcul des heures disponibles peut permettre en effet à chaque salarié de moduler son temps de travail, mais aussi à l’entreprise de stocker ou de déstocker du temps de travail (chômage technique). Cette gestion des effectifs et des heures de travail disponibles

d'emplois est plus rapide. On voit ici que sur le court terme, la flexibilité a permis de créer plus d'emplois. Mais sur le long terme, à la fin des trois ans, la flexibilité n'a pas apporté de gains supplémentaires. On remarque au passage que si on calcule la productivité année par année, cette dernière a augmenté plus vite dans le pays A. On parle de cycle de productivité. Concrètement sur le long terme, la flexibilité n'a joué ici que sur la répartition des emplois créés. De plus, socialement

processus productif Sous Traitance Production de l’exercice Mesure la contribution de la sous traitance à la production C – Les Ressources Humaines Montant formation Masse Salariale Suivre l’effort de formation consenti par l’entreprise Valeur Ajoutée Effectif Moyen Mesure le rendement apparent de la MO II – ETUDE QUANTITATIVE  Le calcul et le suivi régulier de ratios significatifs donnent une vision plus synthétique de la situation de l’entreprise. A – Evolution de l’activité et des Résultats

évaluation unique. Ainsi, suite au ralentissement de l’activité en 2002 et 2003, la méthode utilisée à la DP aboutit à un écart de production de 2,7 % en 2003 alors que la CE ne l’estime qu’à - 0,75 %. Bien qu’il n’y ait pas consensus sur la méthode de calcul de l’écart de production et par suite sur son niveau, cet indicateur est cependant utile pour l’évaluation des politiques macroéconomiques. Pour la politique monétaire, un écart de production positif (i.e. une production supérieure au potentiel) signale