Calembours

donc un incapable quant aux actions qu'il mène mais quand est-il de sa pensée ?  Lors de la soirée qui suit son mariage, il se retrouve face à ses invités qui lui adressent divers mots d'esprit mais Charles "répondit médiocrement aux pointes, calembours, mots à double entente, compliments et gaillardises". Non seulement il n'est pas capable de se défendre lorsque les invités le charrient mais il n'est même pas capable de répondre correctement aux compliments qu'on lui fait.  Peut-être a-t-il

un animal. Ex.: L’habitude venait me prendre dans ses bras et me portait dans mon lit... (Proust) Trois mille six cent fois par heure, la Seconde chuchote: Souviens-toi! (Baudelaire) La célébrité a frappé à sa porte. Figure de substitution CALEMBOUR ET À-PEU-PRÈS (un) Jeu de mots reposant sur l’homophonie : le mot utilisé évoque un autre mot similaire par le son et différent par le sens. Ex. : Mets ton polo, Marco. À Vienne que pourra, comme disait ma mère qui ignorait le verbe advenir. » (Michel

riant", tournant en ridicule  des caractères ou des vices à la mode.   Formes dominantes : Types de texte : théâtral, narratif. comiques de caractère (personnages pittoresques en proie à une passion), de situation (imbroglio, quiproquos), de mots (calembours), de mœurs (satire sociale). registres : burlesque, héroï-comique, ironique, satirique. le rire est provoqué par la dénonciation caricaturale des ridicules et par l'expression mécanisée d'une passion.   Textes théoriques : Aristote : Poétique -

pour leurs chants printaniers. Nous pouvons ainsi lire dans le Littré « la fauvette fut l'emblème des amours volages, comme la tourterelle de l'amour fidèle. Plus spécifiquement, sans doute par métonymie (amours volagesjeunes femme volages) ou par calembour profitant du diminutif féminin –ette et de l’adjectif fauve. L'expression « dénicheur de fauvettes » a signifié un homme adroit surtout en affaire de femmes ! Chez Rimbaud, l'araignée court par le cou de la jeune fille, chez Hugo la coccinelle était

mot consistant à permuter certains phonèmes ou syllabes dans une phrase. Exemple : Jean-Sol Partre (Jean-Paul Sartre) – portecuir en feuilles de Russie – vergé Saintorix - Les à-peu-près : suppôt de Satin (suppôt de Satan = agent diabolique) - Calembour : jeu de mots fondé sur l’homophonie, paronymie ou polysémie Exemple : me retirer dans un coing- chaussures de serpent teint – base-bol 2.3.2. Les registres utilisés - Grossier/familier : ca gaze ? / conneries/ foutre/engueuler - Soutenu :

l'écriture ainsi que l'énonciation démontre cette modernité. Une énonciation originale Les repères sont brouillés (de temps, de personne), il n’apparaît pas d’ordre logique dans le déroulement du poème « zone » Dans « le pont mirabeau », Un calembour est composé par la diérèse vi-o-lente = vie-eau-lente et évoque la lenteur de la vie qui passe. le christianisme est personnifié et Appolinaire s'adresse directement à lui à la deuxième personne du singulier dans Zone. . Indices temporels

Spleen de Paris : pour une « explication syphilitique » des « Yeux des pauvres » De la parenté du poème en prose avec le genre de l’énigme, Le Spleen de Paris offre non seulement de multiples exemples empruntant à des formes aussi différentes que le calembour, le jeu des proverbes, l’enquête policière, mais également divers indices métatextuels qui constituent autant de fragments – dispersés dans le recueil et souvent dissimulés sous les circonstances d’un récit – d’une véritable poétique de la mystification

que ménage la fantaisie sont parfois des chutes d’un niveau de style à un autre. Dans le chapitre 28, on passe de l’héroïque au registre familier du boire & du manger : cet épisode commence comme une épopée & se termine dans un déluge d’urine. Les calembours sont gratuits & vont bon train. Rabelais revêt le monde de mots pour rire grâce à des assonances, ces lapsus, des citations à contretemps & bien sûr, son écriture comique. Il n’en reste pas moins que certains trahissent les idées fixes des personnages

laisse transparaître que le malaise persiste. Tout le poème en effet repose sur la dérision : le choix des rimes à connotations comiques," -ette"- ou "-ique" ; le choix d'un lexique animalier insolite, "éléphants", "moustiques", "oie" ; les nombreux calembours ("d'oie" = doigt ; "vers" peut évoquer aussi les vers qui rongent le cadavre futur ; "tuer le temps, en attendant la mort") ; tous ces procédés contribuent à créer un rire sarcastique qui nous met finalement mal à l'aise. La dérision atteint tout

* A une influence romantique ? picaresque dans sa jeunesse ; pour le reste dans son volume pas la moindre trace de Parnassien, de Baudelairien. Il a un métier sans intérêt plastique. L’intérêt, l’effet est dans le cinglé, la pointe-sèche, le calembour, la fringance, la haché romantique. Il est à l’étroit dans le vers - il abonde en parenthèses, en monosyllabes ; pas un vers à détacher comme beau poétiquement ; rien que curieux de formule. Autrefois la rime et la raison était le difficile ; alors