Calliclès La Liberté

phénomène historique pas universelle L’Homme développe des institutions pour encadrer la vie de la société.  Dans quelle mesure l’Etat constitue chez l’H l’institution par excellence de la vie pol ?  Comment l’Etat peut-il garantir la justice & la liberté parmi les H ? I. L’Etat comme institution de la société a. Le caractère institué de la société humaine Nature = principe originel de toute réalité qui possède en lui-même, la capacité de se générer et croitre. Culturel = principe de transformation

c’est essentiellement s’approprier , subjuguer l’étranger et le faible, l’opprimé, être dur, lui imposer nos formes propres, l’incorporer et au moins - au minimum - l’exploiter » -par delà le bien et le mal- Mots qui font écho ,qui font penser à CALLICLES ce héraut de la violence imaginé par PLATON. L’exclusion de la violence = choix socratique du dialogue raisonnable avec autrui (en raison de ce que les êtres ont en commun, de ce qu’ils ont de différents mais qui forçent le respect, par

forces qui nous détermine, qui nous pousse à agir. A chaque fois que nous agissons, nous pensons que c'est un choix personnel, venant de notre volonté. ===> Or c'est toujours lié à une contrainte ou obligation Spontanément nous définissons la liberté comme étant le pouvoir de faire ce que l'on veut. Or cela veut dire que nous avons le pouvoir de décider, de trancher. Libre de faire ce que l'on veut, et on est responsable. Etre libre, c'est vouloir décider, c'est à dire être l'auteur des actions

veux ? On pense souvent qu’être libre, c’est faire ce que l’on veut. En effet, on peut prétendre que la liberté s’oppose à la contrainte. Cette dernière suppose que je fasse sur la commande d’un autre. Cependant, on peut s’interroger si sans aucune contrainte, je suis encore libre. Est-ce que je ne risque pas de faire n’importe quoi ? Est-ce que je ne risque pas de voir ma liberté menacée par celle d’autrui que je ne respecte plus ? C’est pourquoi la question se pose de savoir : être libre

La police agit « au nom de la loi » . Elle représente la force publique , c’est à dire celle qui naît de l’union de tous les citoyens. Reste que pour le libertaire ( celui qui pense la liberté comme indépendance , qui refuse toute autorité) la loi n’est qu’une entrave. Ce n’est plus autrui qui nie ma liberté , mais la loi et à travers elle la société toute entière. Le droit reposerait donc bien sur un rapport de force qui opposerait l’individu au groupe. cela nous amène à penser la légitimité

veut quand on veut ? Si pour certains la liberte se limite a cela, alors il sera difficile d'etre heureux pour eux, car on peut rarement faire ce que l'on veut quand on veut, donc on n'est rarement libre d'apres eux.  Bon, je pense que tu dois trouver en tapant ton sujet sur Google ou les termes les plus iportants sur Google. Mais pour ma part je vais te donner ce qui me semble interessant de mon annabac "Atout Bac" Philosophie, du chapitre consacré a la Liberté.  "En latin, liber signifie "de condition

Cela amènerait au droit du plus fort : Si la fonction du droit est de rectifier le fait, il serait contradictoire qu’il aille chercher ses fondements dans ce qui est déjà là. Les faits ne justifient pas le droit. Dans le Gorgias de Platon, Calliclès exprime l’idée que la loi suprême est celle de la Nature qui donne au plus fort le droit sur le plus faible. Cette façon de penser réduit le droit au fait. Cependant, la force est un fait, et non un droit. Respecter le droit, c’est en fait instaurer

sa propre définition des termes de liberté et d’esclave afin de trouver véritablement à quoi correspond la possibilité d’action de l'être humain au sein d’une société. Il définit la limite entre un être libre et un être esclave. Le texte traite donc du rapport complexe entre l'être humain et sa propre liberté, Spinoza réfute alors les idées préétablies sur la notion de liberté de l’individu et s'interroge finalement sur le rapport entre le devoir et la liberté dans une société. Plus précisément,

IV- La Morale La Liberté On peut envisager la liberté sous deux aspects principaux : L'individu face à lui-même : - Tout objet est déterminé par une loi de causalité universelle. L’esprit est soumis à cette loi au même titre que la matière. Toute action, décision est donc le résultat d’un ensemble de causes antérieures. Ce qui permet de dire que l’individu est déterminé par son histoire, c'est-à-dire par un ensemble de causes et d’évènements antérieurs.Notre liberté est alors dépendante

élaborent aussi une théorie du juste et de l'injuste, transformant en injustice (ce qui est contraire au droit) toute manifestation vitale de supériorité. La loi appellera contraire au droit ce qui dépasse la sphère de la médiocrité. Le discours de Calliclès est donc très synthétique. Malgré son apparence désordonnée, il rassemble les énoncés axiologiques humains (loi, juste, injuste, droit) pour les mettre sous le signe de l'impuissance, du ressentiment et de la crainte. Ceux qui n'ont pas la vigueur