Calliclès La Liberté

qui est adoptée officiellement au cours de la troisième République, à la fin du XIX ème siècle : « liberté, égalité et fraternité ». On voit avec cette illustration un raprochement des notions de « loi » et de « liberté », ce qui peut nous amener à soulever une question : être libre est-ce n'obéir à rien? Nous allons donc définir les termes du dujet somme « être libre » ce qui renvoie à la liberté, ce qui exprime l'autonomie, l'indépendance, le choix et le pouvoir de l'homme. « Obéir » signigfie

science seule est néfaste pour l’homme car elle écrase les plus faibles et provoque une absence de liberté. La science supprime en effet toute valeur humaine et fait régner la loi de la jungle, c’est à dire l’absence de loi, de règles. L’important pour les individus plaçant la science au premier plan est placé dans la réussite à tout prix. Ces personnes adoptent une pensée proche de celle de Calliclès qui considère que la philosophie n’est pas si importante et qu’il vaut mieux s’occuper des choses

Platon, dans le Gorgias, oppose « l’homme aux tonneaux pleins » (plaisir de possession) à « l’homme aux tonneaux percés » (plaisir de conquête). La vie de l’homme tempérant est-elle plus heureuse que la vie de l’homme déréglé ? Débat Socrate/Calliclès in Gorgias (Russ :15 p 98) : vie de désirs ou vie des pierres ?     C. LEIBNIZ (XVII°) : l’inquiétude comme aiguillon de l’activité L’inquiétude (uneasiness) qu’un homme ressent en lui-même par l’absence d’une chose qui lui donnerait du plaisir

bonheur. Vaut-il mieux tenter de transformer l’ « ordre du monde », ou bien devons-nous au contraire nous efforcer d’infléchir nos désirs afin de les rendre compatibles avec la réalité ? Cette problématique, qui met donc en jeu les notions de « liberté » de « devoir » et de « bonheur », est plus « éthique » que morale. L’ « éthique » est la partie de la philosophie qui examine les conditions d’une « vie bonne », c’est-à-dire accomplie et heureuse, tandis que la « morale » est centrée sur la

et heureuse dans les plaisirs. Cf. Calliclès le Gorgias de Platon par ex : les personnes angoissées plus que d’autres, se feront plaisir en sortant beaucoup le week-end, en enchainant les conquêtes d’un soir, en buvant, fumant,…etc Alors la douleur de leurs maux sera plus supportable. 2. La liberté, c’est céder à nos propres désirs avant tout Les autres ne doivent pas entraver notre propre liberté  La vraie liberté c’est accomplir tous nos désirs. La liberté est une condition très importante pour

Peut-on être homme sans être citoyen ? L'homme est-il par nature un être politique ? La finalité de l'État doit-elle être la liberté individuelle ? Existe-t-il des violences légitimes ? "La fin de l'État est donc en réalité la liberté." Spinoza La société Quel rapport entre individu et groupe ? Entre un état de nature et un état social ? Conflit entre désir de liberté absolue et les contraintes d'origine sociale (obligation de travail, répression de la sexualité, disciplines de toute nature)

charnelle une autre personne. Le désir renvoie aussi à la passion : quand vous désirez quelque chose ou quelqu'un, vous ne pensez plus qu'à ça et sa vous obsèdent. Par conséquent le désir, c'est une source de souffrance, au sens où il vous enlève votre liberté. Le désir corporel apparaît comme une force qui vous traverse, sans que vous puissiez y échapper ( ex: vous faites un régime et vous passez devant une boulangerie, vous perdez le contrôle de vous même, vous succombez à la tentation et vous mangez

constitue-t-il la seule et unique fin de notre existence? Il y a en effet d'autres buts que l'homme, en tant qu'être raisonnable, peut poursuivre et qui peuvent aller à l'encontre de leur bonheur individuel : la vertu, la connaissance, la citoyenneté, la liberté.... Ainsi le bonheur est-il bien la seule fin de notre existence, au détriment de toutes les autres, où notre humanité se joue aussi? Plusieurs plans étaient bien entendu possibles pour traiter ce sujet, voici donc une proposition à partir de quelques

que si l’infraction à la loi est possible, donc dans le champ du droit et de la cité (c’est ce qui distingue les lois de la nature et lois de la cité. L’interdit n’est pas l’impossible, en raison de la présence d’une médiation, par la volonté ou la liberté). D’un point de vue simplement formel, • Ou bien c’est la loi elle-même qui autorise la désobéissance, et par définition la loi ne peut pas permettre qu’on lui désobéisse (le principe même de la loi, c’est précisément qu’on renonce à être juge,

nous plaît quand ça nous plaît; c'est n'être pas obligé, contraint à quoi que ce soit. Ainsi notre liberté semble pouvoir se déployer tous azimuts sans entraves. Toutefois, quand je regarde autour de moi, quand je considère l'environnement social, les circonstances les lois civiles ou les règles qui autorisent l'exercice de ma liberté en même temps qu'elles la délimitent, il apparaît que ma liberté ne peut être absolue c'est-à-dire sans obligation. C'est parce que j'ai des obligations morales, politiques