Carnage

le manque de vie, la mort chez les sujets de la peinture. Les contrastes sont saisissants, pour marquer la violence de l’attaque. > Quel est le message du peintre, que veut-il montrer ? Picasso formule son agitation et veut exposer l’ampleur du carnage en utilisant des moyens à sa disposition, son art. Pour dévoiler les tourments, il allonge les membres, déforme les visages et les corps. Le découpage en trois parties du tableau et l’absence de couleur accentuent l’effet de tristesse et l’idée de

à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et de sang tout couvert échauffant le carnage. Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fer expirants. Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus vint s'offrir à ma vue ; Voilà par quels exploits il sut se couronner

soldats le traduisent comme un retour chez eux, d’autant plus que les permissions se font rares. Le lendemain, à 6h du matin, l’offensive est lancée, et certains historiens considèrent qu’à 7h du matin, la bataille est déjà perdue. C’est un véritable carnage, 40 000 soldats seront tués. Les mutineries ne naissent cependant pas sur le front. Ce ne sont pas les soldats dans les tranchées qui se mutinent, les mutins sont à l’arrière, (on voit bien dans le texte que Louis Barthas est à l’arrière, et non au

heures du soir » (l.45-46) - les barricades remplissent la ville de Paris : « dans moins de quelques heures, des milliers d’énormes barricades … se trouvaient au commencement, au milieu et à la fin de chaque rue, grande ou petite » (l.48-51) - carnage rue Sainte-Antoine III. 29 juillet : Paris aux mains des insurgés - « il était à peine quatre heures » (l. 56) A. L’affrontement final - combats du côté de Louvre, défendu par les Suisses - combats Palais-Royal, Louvre, Tuileries : « Le Palais-Royal

toujours au cœur des revendications. La compétition faisant rage, la fabrication du barrage devint totalement désordonnée : l’eau bloquée au niveau des postes des castors motivés se déversait vers les postes des castors moins enthousiastes. Face à ce carnage, le chef des castors fit un discours, il s’installa sur le barrage, bien supérieur à la position des autres castors qui étaient tous regroupés et assis par terre « Chers castors, je ne suis pas fier de nous. Vous n’êtes pas efficace, bien sur tout

| | | | |Sur tous mes frères morts se faisant un passage, | | | | |Et de sang tout couvert échauffant le carnage. » | | | | |Qui est le personnage ainsi décrit ? a) Hector b) Achille c) Pyrrhus

le succès fut en doute ! Le cœur des Immortels désormais nous redoute ! Xerxès, fils de Darius, n’est plus si orgueilleux. Inquiet, il se défie de la colère des dieux. Nous avons de ses Perses affaibli le courage, Ce million d’esclaves altéré de carnage… Il veut la terre et l’eau. Aux siens j’en ai donné ! Leur arrogant million est déjà condamné Pour avoir traversé ce détroit délétère Qu’ils osèrent fouetter pour prix de sa colère… Le défilé est pris. J’en demeure d’accord, Mais il nous reste l’Isthme

Et vise au front mon père en criant " Caramba " ! Le coup passa si près que le chapeau tomba Et que le cheval fit un écart en arrière, - Donne-lui quand même à boire, dit mon père. Depuis six mille ans la guerre de Victor Hugo Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. Notre bonheur est farouche ; C’est de dire : Allons ! mourons ! Et c’est d’avoir à la bouche La salive des clairons. L’acier luit

peut indiquer le repos ou la mort Les couleurs sont contrastées et oscillent entre le gris foncé, clair et le rouge vif, orangé. Le gris marque les soldats, leur casque, leurs vêtements, leurs armes. le blanc représente le néant consécutif au carnage, la mort. Le rouge est telle une fournaise, il souligne l’horreur de la guerre, son côté dramatique, le sang que la guerre fait couler, la fureur humaine déchaînée. La chronologie impliquée dans le tableau implique également un cercle vicieux

Garde Nationale + LaFayette La Révolution des Paysans : «  GRANDE PEURE » : Rumeur qui court de criminel qui menacent les villages. Tension. → Paysans demandent fin des Droits Seigneuriaux : Acceptent : Pas de Problème Refuse : Carnage : Chateau + Seigneur +++++ Aout 1789 : Assemblée Nationale se réunis Proposent : → Abolition des Privilèges. ( OK) : Car ils ont peur. → Egalité devant l'emploie. (OK). → Abolition de l'esclavage. (NON) → Abolition de la Dime.