Carnage

effet, nous sommes à l'aboutissement de la quête de Souba : « Souba s'était acquitté de sa promesse ». Souba comprend également que c'est par la volonté de son père qu'il est resté en vie, que Tsongor avait voulu le préserver car il présageait le carnage qui allait avoir lieu à Massaba. Le registre tragique est également présent lorsque le narrateur parle de Samilia, en utilisant un lexique en rapport avec le malheur, celui-ci fait figure d'intensité, en effet on parle de « la vie qui l'avait saccagée »

la fillette nue. On s’aperçoit que Mickey maintient fermement le poignet de la fillette qui semble ainsi prisonnière des deux mascottes.On se demande où les deux personnagess entrainent la fillette. Peut-être la sauver ou l'enmener vers un autre carnage ? BANKSY fait certainement allusion au viol des pays du Tiers Monde par les Etats-Unis.On pense aussi au travail des enfants en Asie. Dans cette oeuvre forte et engagée, BANKSY dénonce donc tout d’abord l’impérialisme américain au travers des symboles

discrets;Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes;O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets! Et cependant voilà des siècles innombrablesQue vous vous combattez sans pitié ni remords,Tellement vous aimez le carnage et la mort,O lutteurs éternels, O frères implacables! Charles Baudelaire, L'Homme et la mer Victor Hugo : Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir Quels sont ces bruits sourds ? Ecoutez vers l'onde Cette voix profonde Qui pleure toujours

compte parmi les douze grands dieux, à la différence de ses soeurs Hébé et Ilithye, qui sont des démons secondaires. Dès l'époque homérique, Arès apparaît comme le dieu par excellence de la Guerre. C'est l'esprit de la Bataille, qui se réjouit du carnage et du sang. Devant Troie, il combat le plus souvent du côté des Troyens, mais se soucie peu de la justice de la cause qu'il soutient. Il peut aussi bien aider les Achéens. On le représente cuirassé et casqué, armé du bouclier, de la lance et de l'épée

personnages, elle crée une bande en arc de cercle de la gauche du tableau à la droite en passant par le haut au centre. Les couleurs principales sont des couleurs plutôt vives pour les morts et sombres pour les soldats qui sont responsables de ce carnage. 4 : Compréhension de l’œuvre a) L’auteur dénonce l’horreur de la guerre que les gens commencent à oublier. b) L’artiste montre que la guerre est vraiment terrible avec ses morts, ses souffrances… c) Il a réalisé cette œuvre basée sur des souvenirs

fort peu héros en ce moment » et « il arrangea une petite phrase bien française, bien correcte ». Enfin, le texte de Céline possède les mêmes caractéristiques que les deux textes précédents. La guerre est ici perçue comme dénuée de sens, comme un carnage, comme on peut le voir avec les mots « rôti » et « carne ». Le point de vue est également interne. L’auteur utilise de nombreuses phrases exclamatives pour faire passer au lecteur une certaine émotion comme dans la phrase « combien n’aurais-je pas

conflit. Tableau voir PDF 2) Couleurs Les couleurs sont contrastées et oscillent entre le gris foncé, clair et le rouge vif, orangé. Le gris marque les soldats, leur casque, leurs vêtements, leurs armes. Le blanc présente le néant consécutif au carnage, la mort. Le rouge est telle une fournaise,il souligne l’horreur de la guerre, son côté dramatique, le sang que la guerre fait couler,la fureur humaine déchaînée. 3) Composition La chronologie impliquée dans le tableau implique également un cercle

peut indiquer la nuit ou la mort. 14) Les couleurs sont contrastées et oscillent entre le gris foncé, clair et le rouge vif et orangé. Le gris marque les soldats, leurs casques, leurs vêtements, leurs armes. Le blanc présente le néant consécutif au carnage, à la mort. Le rouge souligne l'horreur de la guerre, le sang que la guerre fait couler, le feu et la destruction. 15) Tout le tableau inspire le chaos. 16) L'auteur dénonce avec force les horreurs de la guerre et de la bataille. 17) « La guerre »

et l’histoire de sa nation. La haine comme l’amour cela se mène à deux. L’adversaire, le bourreau, que dit-il ? Porte-t-il le poids du souvenir ou le sentiment du devoir accompli ? Puisqu’il y eut massacre, des mains ont tué, ou signé l’ordre du carnage. Si les témoins pouvaient être fort jeunes, les acteurs avaient nécessairement un certain âge, l’âge de tenir une arme. Ces derniers participants sont aujourd’hui des vieillards. La démarche de l’État français pour eux aussi est essentielle. Et puis

hyperbole montre sa dénonciation très concrète. - phrases longues qui se gonflent, série de point virgules (l.14 à 19) traduit l’indignation de l’écrivain (autre phrases l.6 à 9). - Vocabulaire très travaillé : champ lexical de la violence et du carnage. - animalisation « bête féroce » et d’autres images : évocatrices et parlent au lecteur. - Allitération en [p] insiste sur le travail de la confrontation et en [s] qui dramatise la notion de sang. III- Un exposé des valeurs des Lumières.