Carnage

pu arriver qu’à treize, battu ce jour-là, enragé de sa mauvaise chance. Leurs yeux s’allumaient de la passion du gain, tout le magasin autour d’eux alignait également des chiffres et flambait d’une même fièvre, dans la gaieté brutale des soirs de carnage.

lexique de la destruction des biens - énumération de verbes "piller, brûler, ruiner, casser, voler" (§ 2 et 7) * lexique de la destruction des hommes – énumération de verbes "se ruer, égorger, violer, fusiller" * métaphores + hyperboles traduisant le carnage : "lacs de sang, plaines de chair pilée, monceaux de cadavres, cervelle écrabouillée" > détails crus et réalistes, loin de tout héroïsme - description d'une situation anarchique, où la bestialité et les instincts primaires sont mis en avant (énumération

projeter dans le présent, dans l'action. Le présent proposé par la confidente diffère du présent employé par Andromaque pour parler du passé. Celle-ci utilisait de nombreux participes présents : « entrant », « se faisant un passage », « échauffant le carnage ». Le récit apparaît comme un concentré d'action traitées sur un mode qui diffère avec les temps habituels du récit : passé simple ou imparfait qui font des événements relatés un temps révolu. La confusion d'Andromaque face au temps peut se lire dans

la liste des sévices pourrait ne jamais s’arrêter Impression d’horreur à la fin du paragraphe (ligne 19). Voltaire en fait presque trop « des cervelles étaient répandues sur la terre à côté de bras et de jambes coupés » : impression de chaos, de carnage épouvantable.  Dans le deuxième paragraphe, ce n’est plus un regard innocent, c’est le regard de Voltaire. 2) La symétrie et l’universalité de la cruauté Paragraphe 2 : lieu ayant subit le traitement : chez les Arabes (« c’était un village abare

cités sans émotions. Avec les approximations «  environs milles hommes », la mort semble ne pas avoir d'importance. On a un vocabulaire qui se rattache a la philosophie de Pangloss pour évoquer la guerre: « du meilleur des mondes ». On associe un carnage et une idée d'harmonie avec la justification philosophique. « le droit publique »: aucun droit ne justifie de bruler un village. On a une violence héroïque: « assouvir les besoins naturels de quelques héros » II- Une ''boucherie héroïque''

les hommes d'être aveugle a la beauté de la nature et de la détruire en préférant faire la guerre plutôt qu'en profiter : « Les conseils du ciel immense, du lys pur, du nid doré , n'ôtent aucune démence du cœur de l'homme effaré » l5/6 et «  Les carnages, les victoires, voilà notre grand amour » l9/10. Le pamphlet de Giono dénonce quand a lui une guerre menée en vain : « Vous avez défendu votre liberté par la guerre;vous avez gagné la guerre de

monstre dans le chapitre 2 L'ogre fait référence aussi au conte pour enfants:celui qui dévore les plus faibles 3/ Métaphore du Magasin - guerre champ de bataille -combat Chapitres l Champ lexical de la guerre :soldats bataille barricade massacre carnage ravages désordre joncher , déplier , charrier , amonceler etc.... Je ne me souviens pas des autres verbes et noms mais tu peux relever tous ceux qui concernent le combat Ton :épique Symbolique : image de la puissance de ce magasin qui rend les femmes

du texte comme le souligne les verbes « où gît la gloire »(l.30) et « elle aime »(l.39), cette personnification tend à prouver que tout est au service de la gloire. Selon l'auteur, la gloire est une valeur négative car elle est à l'origine d'un carnage et d'un grand fracas comme le souligne l'isotopie de la bataille : « s'affrontent »(l.17), « se mordent »(l.17), « se déchirent »(l.17), « fureur »(l.20), « détruire»(l.25), « anéantir »(l.25), « arracher »(l.29), « égratiner »(l.29), « couler votre

représentés en noir. L’homme qui porte un sac de cadavres peur rappeler Hadès (personnage de la mythologie grecque considéré comme le "maître des Enfers") ou Arès (autre personnage de la mythologie grecque. Il est le dieu de la guerre, de la brutalité, du carnage et de la destruction). Cependant rien n’est tout blanc ni tout noir et si les tableaux s’opposent en de nombreux points, chaque œuvre fait référence à l’autre grâce à de nombreux détails.

changer la vie », elle fait sortir la pensée de la logique rationaliste, elle peut aider à retrouver le moral dans les heures sombres et donc renouveler l’humeur. La poésie sort de l’habituel avec Victor Hugo qui à « l’idée d’un châtiment autre que le carnage », ou Apollinaire qui disait que « Les grands poètes et les grands artistes ont pour fonction sociale de renouveler sans cesse l’apparence que revêt la nature aux yeux des hommes ». Ce n’est cependant pas la seule utilité qu’on peut lui trouver.