Cas Bio Food

Le reblochon Etude de cas Reblochon de Savoie ISEG Marketing & Communication School - 15 avril 2015
 Nicolas Legley, Dylan Gonçalves, Valentin Caron, Maxime Bompart - IMCS3 LE REBLOCHON DE SAVOIE 1 SUR 17 Sommaire Introduction générale 1. Les marchés A. Le marché des produits laitiers B. Le marché des fromages 2. Les habitudes de consommation du reblochon A. Tendances de consommation B. Evolutions de consommation 3. Recommandations stratégiques A. La stratégie à adopter par le distributeur B

Paris Monsieur Olivier Pierre DGCCRF - Paris 4 Monsieur Vincent Polin DGCCRF – Paris Madame Marie Thisse DGAL – Paris Représentants d’instances professionnelles Monsieur Michel Helfter Agence Bio – Paris Madame Corinne Langlais SETRABIO-BIOCONVERGENCE – Paris Madame Nathalie Rison Agence Bio – Paris Comités d’experts spécialisés Plusieurs comités d’experts étaient concernés, compte-tenu de leur champ de compétences, par les travaux de ce groupe de travail (Nutrition humaine, Microbiologie

• La fermentation du glucose par les levures en éthanol • Purification de l’éthanol obtenue par distillation et déshydratation. La voie biochimique permet la production de bio gazole de bonne qualité et devrait également permettre celle du bio kérosène, carburant utilisé dans le secteur de l’aviation. Il s’agit de la gazéification de la biomasse, d’une dégradation entière de la plante, compatible avec une grande variété de ressources comme les produits forestiers

plus vendue en France ! * 1996 : Marie lance les plats cuisinés familiaux en sachets portionnables. * 1999 : Marie, qui appartenait jusqu’alors au groupe Danone, entre dans le groupe anglais UNIQ, un groupe spécialisé dans le « Convenience Food » (plats préparés) à travers l’Europe. * 2001 : Marie révolutionne le marché des plats cuisinés individuels frais en lançant sa fameuse barquette micro-ondable qui remplace avantageusement les sachets à réchauffer au bain-marie. * 2003 :

adaptés à cet effet. L’azote liquide est utilisé à très basse température (-196°C) ainsi que la neige carbonique (-78°C), exigeant des mesures de précaution. Ces nouvelles tendances ont de fervents partisans mais aussi de farouches opposants. Le food pairing ou « l'art d'associer parfaitement deux aliments, a priori incompatibles, mais affichant des composantes moléculaires similaires» est une technique culinaire consistant à associer deux aliments en fonction de leur ressemblance moléculaire,

pointus, visant souvent à répondre à des objectifs spécifiques. Par exemple, le client va vouloir offrir un produit pour une race particulière en raison de la morphologie spécifique de la mâchoire de l'animal. On peut dire que la segmentation, dans ce cas, se fait par pathologies (problèmes dentaires, urinaux, hormonaux, etc.) Mais cela va même plus loin, les petfoods sont aussi adaptés en fonction des tendances alimentaires propres aux humains : recettes gourmandes, produits naturels sans conservateurs

» versus « de la sécurité des aliments » ! ! ! Pourquoi leur mise en place dans les industries alimentaires? Aperçu des référentiels intégrés utilisés Quid du contenu des référentiels intégrés ? – Exemple du référentiel BRC Global Standard - Food (issue3) – Exemple de l’ISO 22.000:2005 ! Conclusions 1GMV - 2007-2008 - MSQA 3 Introduction HISTORIQUE DES SYSTÈMES DE GESTION DE LA QUALITÉ Industrie : +++ inspecteurs qui classent les défauts Début de la normalisation internationale

vogue gastronomique et les prouesses des téléphones intelligents permettent à chacun de s'improviser critique culinaire sur Internet. Certains grands chefs n’aiment pas voir les clients prendre des photos de leurs œuvres. Pourtant, la majorité des «food reporters» souhaitent simplement garder un souvenir de leur repas. Selon Mashable, les blogues sont là pour rester, malgré le fait qu'ils soient rarement écrits par des professionnels. Sources : -Marcilhac, Vincent. « La gastronomie et le web : quelles

DE JEAN DE KERVASDOUÉ • 1 • • Le Publieur BIO FAUSSES PROMESSES ET VRAI MARKETING DU MÊME AUTEUR Abeilles, l'imposture écologique, Le Publieur, 2006. GIL RIVIÈRE-WEKSTEIN EN COLLABORATION AVEC VALÉRIE RlVIÈRE-WEKSTEIN BIO FAUSSES PROMESSES ET VRAI MARKETING Préface de jean de Kervasdoué Le Publieur ISBN : 978-2-35061-019-1 © GIL RIVIÈRE-WEKSTEIN, 2011 À nos enjànts, Samuel et Eyal PRÉFACE AUX SOURCES TROUBLES DU BIO Le label «bio» s'accole à des produits de plus en plus nombreux

Nourrir les Hommes Etude de cas : Nourrir la Chine 1) La situation alimentaire chinoise s’est considérablement améliorée au cours des dernières décennies : en 1960, la ration alimentaire moyenne était très insuffisante (1700 kcal/jour) et presque uniquement composée de céréales et de légumes ; en 1970 encore, près d’un Chinois sur deux souffrait de sousalimentation. La ration alimentaire moyenne devient suffisante à partir de 1980 (2500 kcal/jour) tandis que le nombre de sousalimentés diminue