Cas Clinique Test Wisc 4

Ergothérapeute D.E. Faculté Lyon 1, Année Universitaire 2009-2010 Résumé : A travers le cas de Lola, 7 ans et 5 mois, nous abordons ce qu’est la dyspraxie, notre objectif étant de clarifier ce qu’un ergothérapeute peut apporter comme aide et prise en charge dans ce type de pathologie des apprentissages. Après des recherches théoriques sur la définition, classification et clinique de la dyspraxie, nous nous sommes surtout attachés à reproduire dans les détails l’exemple du bilan d’ergothérapie

handicap, par rapport à la société dans laquelle on vit) * cognitif (quel est le QI de la personne ?) * psychologique (développement affectif). Sommaire[masquer] * 1 Terminologie * 2 Définition * 2.1 Degrés * 3 Prévalence * 4 Causes de retard mental * 4.1 Conditions génétiques * 4.1.1 Syndrome de l'X fragile * 4.1.2 Autres retards mentaux liés au chromosome X * 4.1.3 Phénylcétonurie * 4.1.4 Sclérose tubéreuse de Bourneville

au sens de l’esprit de ce qui se passe dans l’activité mentale ; de la vie mentale. Il y a différentes approches possibles ; générale, sociale, différentielle… On retrouve deux grandes approches : -expérimentale, scientifique (l’observation ) -clinique (médicale qui s’occupe d’un patient pour comprendre les troubles) La psychologie normale n’est pas souffrant. La psychologie pathologique = troubles du comportement, de la personnalité. Psychologie épistémologique = science de l’homme. La science

- Dr A. Bessou, gériatre et spécialiste des troubles de l’apprentissage (CHU Grenoble) - Dr L. Braillon, médecin généraliste (Bernin dans l’Isère) - Dr C. Peyrat, pédiatre (clinique pédiatrique, Toulouse) - Dr O. Revol, pédopsychiatre (CHU Lyon) - Pr. A. Ziv, professeur de psychologie clinique (université de Tel Aviv, Israël) Je remercie aussi M. Rousseau-Castex, enseignante en lycée (Toulouse), et O. Gouverne, conseillère orientation psychologue (Troyes). Enfin il est

d’organes 2. Stérilisation forcée des handicapés mentaux 3. Essais cliniques : consentement libre et éclairé du malade 4. Acharnement thérapeutique 5. Euthanasie ! 6. Registres épidémiologiques informatisés IV. 3 Obligations du médecin PSYCHOLOGIE GÉNÉRALE ET MÉDICALE [2011] 1. Information simple, claire et adaptée 2. Surveillance anticiper (traitement, pronostic…) 3. Soins modernes, adaptés et réalisés 4. Confidentialités secret médical 5. Formation…continue Savoir → Savoir

Sommaire Introduction p.3 I. Repérer les enfants à haut potentiel p.3 A) Pourquoi faire passer un bilan à son enfant p.3 B) Les outils d’évaluation p.4 C) Autres particularités des enfants à haut potentiel p.4 II. Le rapport Delaubier p.5 Les solutions pour les différents cycles p.6 III. Les différentes réponses du gouvernement p.7 A) La circulaire du journal officiel du 25 octobre 2007

à Binet, exprime le besoin de diagnostiquer les enfants ayant un « défaut d’intelligence » afin de les orienter vers des classes de perfectionnement. Binet développe alors, avec Simon, un test en 1911 qui évalue les processus mentaux supérieurs en proposant une multiplicité de petites épreuves différentes. 4 notions sont importantes pour la définition d’intelligence selon lui : Compréhension, invention, direction et censure. La conception du BS définit l’intelligence comme un niveau de développement

 Centre Médico-Psychologique Jules Ferry, Amiens Master 1 de psychopathologie et psychologie clinique Année 2012/2013 Référent de stage : Nathalie Saiman, psychologue Référent universitaire : Jacqueline Finkelstein-Rossi, maître de conférences Elodie Poplimont N° étudiant 21106814 Remerciements Je tiens tout d’abord à remercier ma référente universitaire de stage, Jacqueline Finkelstein-Rossi pour ses conseils, concernant notamment la mise en place d’un cahier de bord et sur

manière populaire. Ça dé-stigmatise lorsque c’est fait d’une manière scientifique. Schéma Pham 2004  on demande aux étudiants le pourcentage de délinquants sexuels qui récidiveront après leur libération durant les 4 ans qui suivent (62%). Hanson : taux scientifique 13% pour une période de 4 ans. Il y a de nouveau une différence de 50% de moins. La récidive sexuelle est sur diagnostiquée dans notre société. Il y a donc un grand décalage entre ce qu’on croit, et les choses faites avec rigueur scientifique

RECHERCHE EN PSYCHOLOGIE CLINIQUE ET PSYCHOPATHOLOGIE : Il n’y a pas de discipline universitaire sans production d’un ensemble de concepts théoriques. Historiquement la recherche en psychologie clinique et en psychopathologie s’est basée sur une pratique, la pratique clinique. Le corpus de connaissance a été basé sur des cas, sur la manière d’écouter, d’observer et d’évaluer différente facettes du fonctionnement mental des sujets. C’est bien la pratique et l’expérience clinique qui nous conduit à nous