Cas Pratique Droit Des Suretés

pas être insérée dans la reliure HYPOTHÈQUE par Alain FOURNIER Professeur à la Faculté de droit de Metz-Université Paul Verlaine DIVISION Généralités, 1-21. § 1. – Perte éventuelle du droit de préférence, 106-110. CHAP. 1. – Analyse 22-76. ART. 1. – DROIT ART. 2. – DROIT ART. 3. – DROIT juridique de l’hypothèque, § 2. – Assiette du droit de préférence, 111. § 3. – Étendue du droit de préférence, 112-123. ART. 3. – RANG DE PRÉFÉRENCE, SECT. 1. – Caractères généraux de l’hypothèque

Droit civil : Les suretés Introduction C’est une matière qui a pour objet d’étudier les procédés de garanti dont dispose un créancier pour obtenir le paiement de sa créance. La notion de sureté Il s’agit de la garantie accordée au créancier pour le recouvrement de sa créance. La situation d’un créancier sans sureté. Il s’agit d’un créancier chirographaire. Article 2284 et 2285 du code civil => Droit de gage général du créancier sur le patrimoine de son débiteur. Droit sur tous

Master 1 droit notarial TD n°1 : Dissertation Qu'est ce qu'une sûreté ? Les termes « sûreté » et « sécurité » ont la même étymologie. Dans le langage courant, ils sont même considérés comme synonymes. Cependant, le droit civil a utilisé ce mot de manière plus restrictive, pour le désigner comme un moyen permettant à un créancier, d'être garanti contre le risque d'inexécution de son obligation par le débiteur principal. En d'autres termes, la sûreté est un mécanisme qui permet

Traditionnellement, en droit français, il existe une summa divisio entre deux types de sûretés. D’une part, les sûretés réelles sont celles qui portent sur un ou plusieurs biens déterminés, meubles ou immeubles, appartenant au débiteur ou à un tiers. Ces sûretés consistent à conférer au créancier un droit réel sur le bien. Parmi ces sûretés, on trouve le gage, l’hypothèque et l’antichrèse. D’autre part, les sûretés personnelles consistent dans l’engagement envers le créancier d’un ou plusieurs

l'opération. – La substitution de gage suppose deux   opérations juridiques juxtaposées, création d'une nouvelle sûreté sur   l'immeuble que l'on entend grever et mainlevée de la sûreté frappant   l'immeuble que l'on entend dégrever (V. n° 3 et 4). 3. –   Risques   de l'opération. – Il convient d'éviter que le   créancier perde sa garantie sans que la nouvelle lui soit accordée et que la   sûreté garantissant la dette du débiteur subsiste alors qu'il a effectivement   constitué une nouvelle garantie.

automobile, les gages professionnels et les gages portant sur une somme d'argent. I – Le gage automobile A l'origine, ce gage est fondé sur la loi du 29 décembre 1934, complété par un décret du 30 septembre 1953. Depuis la réforme des sûretés, ces dispositions ont été abrogées et sont maintenant remplacées par une série d'articles du code civil, 2351 à 2353. Observons que ces articles doivent être complétés par un décret d'application qui aurait du intervenir avant le 1er juillet 2008

Cours de Droit des sûretés. Semestre 1. En vertu d’un contrat, une pers. peut devenir le créancier (d’une oblig°de somme d’argent : prix d’une vente, honoraires, loyer) à l’égard d’un débiteur. - Que signifie l’existence d’une oblig° ? En raison d’une obligat° le débiteur devra adopter 1 ctn comportement (le paiement). Le + fréquemment, une fois le ct conclut, les 2 parties s’exécutent spontanément. Le contrat nul suppose que son objet est illicite. Le dt est juste là en cas de pb.

Chapitre 4 : Les garanties du crédit (les sûretés) Il existe deux types de sûretés : * les sûretés personnelles : il s’agit alors d’une personne qui va se porter garant du remboursement du crédit. * les suretés réelles : c’est une chose qui va garantir le paiement du crédit. Les sûretés personnelles Le cautionnement Définition : contrat par lequel une personne, la caution, s’engage à l’égard d’une autre, le bénéficiaire du cautionnement, à payer à la place du débiteur principal

d’une sureté, le débiteur ne remboursera pas. La sagesse populaire russe plus optimiste affirme d’ailleurs que la plus grande vertu d’un débiteur c’est de payer sa dette. Si tous les débiteurs adhéraient à cette maxime, le droit des sûretés n’aurait aucune raison d’être. Hélas le risque d’impayé existe et il génère au détriment des créanciers une incertitude quant au fait de savoir si leurs débiteurs paieront au moment convenu. Or l’incertitude ne peut s’inscrire paisiblement dans le droit du crédit

Introduction I. Les notions du droit des suretés Stromae «  qui dit crédit, dit créance », Prof: « qui dit crédit, dit garantie ». Le crédit est une créance de somme d'argent la plus part du temps dont l'exécution n'est pas instantanée, l'exécution est à terme. La première des garanties est celle que l'on trouve à l'article 2284 du CC, c'est le droit de gage général des créanciers. Ce texte dispose que « quiconque s'est obligé personnellement est tenu de remplir son engagement sur tous