Cass Civ 1ere 9 Mai 1972

qu’ils forment un tout »[8]. Les définitions juridiques du collectif renvoient effectivement à ces divers caractères. Ainsi « le collectif concerne un ensemble de personnes unies par une communauté d’intérêts ou impliquées dans une action commune »[9] . On trouve des emplois du terme collectif en droit, par exemple concernant le préjudice collectif c’est à dire l’atteinte aux intérêts inhérents au but que poursuit une association et dont celle-ci à qualité pour demander à ce titre réparation.

retenue. Le 2d empire va abroger la disposition de la loi de 1849. Le système de la justice retenue sera dominant jusqu’à la fin du 2nd empire. 2) La loi du 21 mai 1872 ( !) C’est une loi importante. Le système juridictionnel administratif français va passer de la justice retenue à la justice déléguée par la loi DUFAURE DU 24 MAI 1872. (Min de la justice de l’époque). C’est dans l’histoire juridictionnelle française une loi très importante. Le contexte de son adoption est celui de la chute

contrat malgré tout. Mais c’est la seule chose qu’il puisse faire, c ‘est à dire conclure le contrat aux conditions déjà prévues. La JP très ferme, lui interdit de prendre prétexte la défaillance de la condition pour essayer de renégocier le contrat. Civ 3ème 31 mars 2005. Vente d’une parcelle de terre subordonnée à l’inexistence de servitude et constructible, or il s’est avéré que la parcelle était inconstructible et que la condition ne pouvait se réaliser car avant que le contrat soit conclu, le vendeur

attribués entre toutes les personnes juridiques, ou en tout cas à toutes les personnes physiques, comme les droits de l’homme ou les droits de la personnalité, tel le droit au respect de sa vie privée de l’art. 9 du Code civil ou le droit au respect de la présomption d’innocence de l’art. 9-1 du même Code.A titre exceptionnel, il s’agit aussi de droits acquis qui ne sont donc pas également répartis. C’est le cas de ce qu’on appelle le droit moral de l’écrivain ou de l’artiste. En vertu de ce droit

aussi souvent de lois que de chevaux ". 2 ) La Renaissance Le processus d'unification du droit reçoit le soutien de plusieurs auteurs, (...)législation royale donc centralisée, fini l'éclatement des coutumes. a) L'impulsion de la doctrine 1ère étape : les initiatives doctrinales en vue de favoriser l'émergence d'un droit unifié se sont multipliées, ainsi certains auteurs entreprirent l'élaboration d'un droit commun coutumier, cohérent et synthétique. Charles Dumoulin, auteur d'un commentaire

entiers du droit des sociétés. Ex : la 1ère directive du Conseil, du 9 mars 1968, qui fixe le régime de la validité des engagements sociaux et des nullité des sociétés de capitaux. Il est inutile de développer ce point, le mouvement de transposition ne s’arrête jamais ! Dernier exemple en date : 2 directives du 1er octobre 2009 viennent d’être publiées dont la transposition doit avoir lieu dans les États membres avant 2011. ( Par un arrêt « Centros » du 9 mars 1999, la Cour de justice admet parfaitement

des droits mais inférieurs à ceux d’un enfant légitime) et enfin des enfants adultérins (aucun droit successoral) Il a fallut toute une série de réforme pour parvenir à une égalité entre les enfants et sur le plan successoral. La loi du 3 janvier 1972 avait posé le principe d’égalité entre les enfants. Seulement cette loi en posant ce principe n’avait pas tirée toutes les conséquences en particulier sur le plan successoral. Et pendant très longtemps les enfants adultérins particulièrement ont été

par des règles de droit civil soit droit commercial selon la qualité de la partie qui s’en prévaut. Le commerçant ne peut opposer a un non commerçant que les règles du droit civil. c.)Le contrat de consommation et le contrat dit égalitaire. 1972 les premières règles du droit de la consommation ont été créées. Le contrat de consommation conclu entre un professionnel et un consommateur (celui qui contracte pour les occasions des besoins de sa vie privé). Le contrat est régi par le code de

conventions internationales lorsqu'elles estimaient que cette interprétation était relative «  à une contestation ayant pour objet des intérêts privés » par opposition à la protestation ayant pour objet « des actes de haute administration ». La 1ere ch civ de Cass, par un arrêt de pr du 10 décembre 1995 « Banque africaine du développement » va déclarer qu'il « est de l'office du juge d'interpréter les traités internationaux invoqués, sans qu'il soit nécessaire de solliciter l'avis d'une autorité non juridictionnelle

..........................................9 Section 1 : Définition.............................................................................................................................................................................................. 9 §1 : Autonomie conceptuelle.......................................................................................................................................................................... 9 A : Action et droit substantiel..........