Cass Civ 1ère 9 Novembre 1981

que sont fondamentalement exclus de la qlfication de bien les choses dites communes, res communis, les choses communes ce sont les choses dont l'usage est commun à tous mais qui ne sauraient appartenir en propre à quiconque en particulier = art 714 Civ « Il est des choses qui n'appartiennent à personne et dont l'usage est commun à tous ». Ici, on fait référence à l'air, l'eau, la lumière. On qlfie parfois ces choses aujourd'hui de biens naturels. Mais par fraction, les choses communes peuvent faire

naître la « 2ème génération des droits de l'homme » qui n'était pas totalement absente des textes révolutionnaires, notamment de la constitution de 1791 et de celle qui succède (pas dans la DDHC). Cette 2nd génération est composée, à l'inverse de la 1ère de droits créance et non de droits liberté. Il ne s'agit plus de droit de faire quelque chose mais de droits à obtenir quelque chose de la part de la collectivité. Les droits liberté demandent à l'état libéral de s'abstenir d'intervenir dans leur exercice

de recours qui permette aux entreprises de faire respecter les droits qu’elles tiennent des directives communautaires de mise en concurrence. Ainsi pour assurer l’efficacité des règles de concurrence création d’un référé précontractuel : * 1ère directive recours, 21 déc. 1989 => organisation des voies de droit ouvertes pour sanctionner la méconnaissance des règles codifiées sous la directive 2004/17. Il appartient aux Etats membres de mettre en place des instances de recours chargées de

cause d’utilité publique. La procédure d’expropriation porte atteinte au droit de propriété : pour protéger les libertés fondamentales, édiction de règles. Cette procédure normale de droit commun comporte 3 séries de garanties principales : 1ère série : distinction entre la phase administrative et la phase judiciaire de la procédure. 2ème série : le caractère minutieusement réglementé de cette procédure 3ème série : le caractère juste et préalable de l’indemnité d’expropriation

d’autrui par exemple. 3ème source : la coutume mais elle s’applique peu. Et enfin, un apport très important de la doctrine. Les auteurs influencent la jurisprudence et aussi le législateur. Les droits de Common Law ne fonctionnent pas comme cela : la 1ère source est la jurisprudence. La règle législative est subsidiaire et la coutume et la doctrine ne sont pas reconnues. Que deux sources de droits. En Angleterre, c’est très marquée, la jurisprudence est le droit au sens noble. Aux Etats-Unis, un droit

économiques, elle permet d’avoir une activité que dans le prolongement des intérêts de ces membres 5) Loi du 4 janvier 1978 sur les sociétés civiles Cette loi est une loi de synthèse. Elle réforme en profondeur le titre 9 du livre 3 du code civil, qui s’intitule de la société. Ce titre 9 on le trouve aux articles 1832 et suivants. Cette loi établie de nouvelles dispositions aux sociétés civiles et sociétés en participation. Ex : l’obligation d’immatriculation de toutes les sociétés civiles. Création

payer l’autre sur le fondement de l’article 220 = 220 ne s’applique pas car ce n’est pas une dépense ménagère. 3 Le bail conclu par l’époux qui est parti pour son usage exclusif : 220 ne s’applique pas car pas dépense ménagère. 4 Arrêt civ1 27 novembre 2001 : L’achat d’une voiture (banale) est une dette ménagère mais il faut que ce soit un véhicule banal. Donc 220 s’applique. 5 Il a été jugé que les opérations d’investissement (objet : la constitution d’un capital, d’un patrimoine) en l’occurrence

liées à la nature même du procédé de surveillance Section 2 : Les exceptions liées à la finalité du procédé de surveillance CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE TABLE DES MATIERES TABLE DES ABREVIATIONS * Art.: article * Bull. civ.: Bulletin civil * CA: Cour d'appel * Cass.civ.: Chambre civile de la Cour de cassation * Cass.crim.: Chambre criminelle de la Cour de cassation * Cass.soc.: Chambre sociale de la Cour de cassation * C.civ.: Code civil * CEDH:

donc qu’il ne maitrisait plus rien. Cette contrainte physique externe est admise. Cette contrainte physique pourrait être interne, elle est difficile à démontrer. Ce qui est admis c’est le malaise brutal et imprévisible. Ex : Chambre criminelle 15 novembre 2005, un automobiliste avait eu une crise cardiaque en conduisant commet un accident en percutant la foule. Il a été relaxé d’homicide et blessures involontaires. La JP ne l’aurait pas admise si la personne se savait cardiaque ou avait pris la route

l’ordonnance du 26 août 1981 portant réglementation de la profession de commerçant. Aujourd’hui, les règles du droit commercial burkinabé trouvent essentiellement leur siège dans l’Acte uniforme relatif au droit commercial général et dans l’Acte uniforme relatif aux sociétés commerciales et aux groupements d’intérêts économique, adoptés le 17 avril 1997 et entrés en vigueur le 1er janvier 1998. Ces textes sont venus abrogés certaines dispositions de l’ordonnance du 26 août 1981. II : Les définitions