Cass Civ 2ème 6 Juin 2002

subjectifs du contrat d’assurance - L’information des parties au contrat d’assurance et le consentement (1/2) Séance 5 : Les éléments subjectifs du contrat d’assurance - L’information des parties au contrat d’assurance et le consentement (2/2) Séance 6 : Les éléments objectifs principaux du contrat d’assurance Séance 7 : Les éléments objectifs secondaires du contrat d’assurance Séance 8 : L’exécution du contrat d’assurance (1/3) Séance 9 : L’exécution du contrat d’assurance (2/3) Séance

juridique. → Application de ces règles par l’adm° fiscale sous le contrôle du juge. RMQ : mise en ordre progressive du DF → mouvement avec un siècle de retard par rapport au DA (19ème). Passage d’une culture de répertoire à un système juridique organisé (2ème moitié du 20ème). VISION GESTIONNAIRE VISION JURIDIQUE Etude descriptive de la matière (= fiscalité). → Utilité aux agents fiscaux pour la maitrise de la finesse de la loi → Utilité aux contribuables et aux avocats fiscalistes pour effectuer les

couvre le programme de plusieurs filières et de différents niveaux d’étude. Le Premier TOME concerne l'introduction du cours et la première partie relative à "L'encadrement structurel du droit du travail". Le Second TOME porte sur la 2ème partie du cours consacrée à “La vie professionnelle du salarié”. Le contenu de ces deux tomes est actualisé chaque année. Il correspond aux exigences de l’examen de l’année en cours. L’étudiant est invité à confronter le plan du cours qui

nécessaire. Dès 1971, l’Etat encourage les collectivités à conclure des contrats d’assurance après avoir mis en concurrence les différents assureurs[2]. Mais cette évolution a connu son apogée avec les différentes lois de décentralisation de 1982-1983 et 2002-2004 qui accordent petit à petit une plus grande autonomie aux collectivités territoriales tant au niveau de l’administration que de la gestion de leur biens et personnels. Dorénavant, les collectivités publiques (Etat, collectivités territoriales

4 : les sources de la procédure civile Les sources traditionnelles, la loi, les traités internationaux, la doctrine…. 1. Les traités internationaux On peut citer la convention européenne des droits de l’homme de 1950, surtout l’article 6-1 a propot du droit à un procès équitable. Cet article a été sollicité en matière de publicité des débats, en matière de délais raisonnables, d’impartialité des juges, droit de saisir un juge (un juge n’a pas le droit de se saisir d’office car il y a

la solution retenu par l’assemblé plénière par la cours de cassation de traité comme personne humaine. Le délit d’homicide involontaire est réprimé par l’art 225-6 du code pénal car il ne peut être constitué sur le fœtus in utero. Pour la cours de cassation l’application strict de la loi pénale s’oppose a l’incrimination de l’art 221-6. Un fœtus n’est pas considéré pénalement comme personnalité juridique. Or en droit ce qui n’est pas une personnalité juridique est une chose, mais on ne peut considérer

proposer des supports à différentes taux = prendre le meilleur. -Un facteur psychologique : La solution doit être compatible avec le client, sa situation, son histoire et ses croyances. La solution doit être saine, cohérente et adaptable dans le temps. 6 Le contexte évolutif. Le patrimoine connait 3 grandes phases : -La phase de constitution du patrimoine : -Hausse progressive des revenus. -Charges familiales importantes. -Faible niveau de revenu engendré par le patrimoine existant. Généralement

ailleurs, se poursuit le harcèlement jurisprudentiel des arrêts de la Cour de cassation. Les principales modifications portent sur : – Les nouvelles périodes d’essai, applicables dès le 1er juillet 2009, à défaut d’un accord collectif signé depuis le 25 juin 2008. De nombreuses conventions collectives avaient toujours des périodes d’essai négociées il y a plus de 60 ans ! Bravo à cet accord interprofessionnel A.N.I. que la loi a codifié cet été. Dorénavant, avec l’allongement des périodes d’essai, il y

2001-2002 2 3 Je remercie M. Vallens pour sa disponibilité, ses conseils avisés, et ses encouragements. 4 ABREVIATIONS ET MODE DE CITATION Codes et lois : al. alinéa art. article, c.civ Code Civil. c.com Nouveau Code de Commerce D Décret. L Loi. N.C.P.C Nouveau Code de Procédure Civile. Jurisprudence : Ass. Plén. Assemblée Plénière de la Cour de Cassation. C.A. Cour d’Appel. C.E Conseil d’Etat C.C. Conseil Constitutionnel. C.E.D.H. Cour européenne des Droits de l’Homme. Civ. Cour

irrévocable doit être démontrée et cela paraît au travers de la formulation que la Cour utilise : Cass Crim 11/06/1975 « l’acte qui tend directement au délit … avec l’intention de le commettre », toutefois il est vrai qu’il n’est pas toujours possible de démontrer avec précision un état d’esprit. Parfois les juges doivent déduire en fonction des éléments du dossier : faits univoques comme dans l’arrêt Cass. Crim. 16/03/1961, déclaration de la personne elle-même (aveux). Les juges à défaut peuvent utiliser