Cass Civ 3ème 10 Mai 1968

toujours impératives et que lon ne peu en aucun cas écarter: dans le mariage les époux se doivent fidélité. Ce principe signifie que même d’un accord commun les époux ne peuvent pas dans un contrat de mariage écarter le devoir de fidélité. c) 3ème critère : il repose sur la différence des destinataires des règles de droit. Le droit public aurait pour destinataire exclusivement l’État et certaines personnes morales de droit public. Ex: L’État, la commune, les universités , les hôpitaux. Par opposition

souples (Angleterre) où il n’existe pas de constitutions au sens formel du terme, et des constitutions rigides (France) où la règle écrite est prépondérante, voire exclusive. 2° ETAT S.L. : Société pourvue d’une organisation politique. Ex : art. 10 C. « Il n’y a dans l’Etat aucune distinction d’ordres. Les Belges sont égaux devant la loi (…) » S.S : Le terme Etat recouvre les Institutions politiques fédérales. Dans un système fédéral, il faut distinguer l’Etat fédéral ( organes de la fédération

régionnale: le Traité de Rome instituant les CE est un traité international (cf infra le DC est une branche du DI désormais autonome). Autre ex: la Convention européenne des droits de l'Homme du 4 novembre 1950 à laquelle la France a adhéhé en 1973[10] . Cette convention a été assortie de quatorze protocoles additionnels. La force et l'originalité de ce traité qui lie aujourd'hui 47 Etats résultent de la présence d'une juridiction spécifique la CEDH siégeant à Strasbourg (à ne pas confondre avec

commerciales, l’opération est commerciale lorsqu’elle est le fait d’un commerçant- et d’opposer de manière absolue des textes qui ont été conçus pour concilier deux thèses contradictoires et pourtant complémentaires. Compromis que l’on a qualifié de médiocre[10], mais qui était inéluctable après la suppression des corporations. Le méconnaître, c’est sombrer dans la pétition de principe consistant à définir l’acte de commerce par le commerçant et le commerçant par l’acte de commerce. Le droit positif peut

droit. Toutes additionnées, les règles de droit dont vous allez commencer l’étude constituent le système juridique français. Elles foisonnent et il est impossible de les aborder toutes en cours. En 2009, le 10 août on en était déjà à 974 lois et autres dispositions (loi n° 2009-974 du 10 août 2009 réaffirmant le principe du repos dominical). Le droit objectif est essentiel car il va poser les règles générales à partir desquelles les individus seront autorisés à agir (droits subjectifs). Il

citoyen. Dès qu’un problème surgit et émeut l’opinion publique le gouvernement fait une loi car c’est rentable électoralement. * Influence du lobbying. Les fabricants d’ascenseurs ne sont pas étrangers aux décrets renforçant leur sécurité. Il y a 10 ans : 9 000 lois et 120 000 décrets : des millions de règles. En moyenne 70 lois et 50 ordonnances + 1 500 décrets par an. Uniquement pour les textes nationaux. 1994 : 20 000 textes de l’UE applicables en France. b. Remèdes ? Il faut réduire

.............................................................................................106   II. L'exonération du responsable du fait d'autrui ...........................................................................106   Chapitre  10:  L'action  en  responsabilité....................................................................... 107   Section  1:  La  réparation  du  préjudice ......................................................................

strictement une autorité adm, pas un juge. Le gvt, conseillé par le CE = juge suprême des litiges adm.  époque de la justice retenue. Les chefs de gvt avaient pris l’habitude de valider systémt les propositions du CE c’est le CE qui jugeait. Loi 24 mai 1872 : le droit rejoint les faits : consécration de la justice déléguée et plus retenue : le gvt délègue son pouv de décision au CE : il rend lui-même ses arrêts= véritable juge. A cette époque, il n’est que juge d’appel. Juge normal= l’administr°.

constitutionnel ne sont pas opposables à l’administration. En effet, le CE considère que un requérant ne peut se prévaloir d’un objectif de valeur constitutionnel à l’appui d’un recours pour excès de pouvoir contre une décision administration ; CE 3 mai 2002 « Assoc. De réinsertion sociale du Limousin ». La C°, norme juridique supérieure à tout autre s’impose évidemment à l’autorité administrative. Le JA peut se référer aux dispositions de la C° pou annuler un acte qui lui serait contraire. Cependant

vendeur professionnel de refuser la vente. Eriger initialement en infraction pénale, le refus de vente a été dépénaliser dans les rapports entre professionnels par l’ordonnance du 1er décembre 1986 relatif à la liberté des prix et de la concurrence. 10 ans plus tard, la loi du 1er juillet 1996 sur la loyauté et l’équilibre des relations commerciales abroge l’article 36-2 de l’ordonnance de 86 qui sanctionnait par la responsabilité civile un tel refus. Désormais lorsqu’on parle du refus de vente il