Cass Civ Ii 5 Février 2004

parents du fait de leurs enfants Commentaire d’arrêt : Cass. 2e civ. 5 juill. 2018, n° 17-19.957, publ. Bull. civ. Dans un arrêt du 29 mars 1991 « Blieck », la Cour de cassation effectue un revirement de jurisprudence et reconnait pour la première fois, en dehors des cas spéciaux prévus par le Code spécial, un régime général de responsabilité du fait d’autrui. La deuxième chambre civile de la Cour de cassation a rendu un arrêt, datant du 5 juillet 2018, publié au Bulletin civil. Cela souligne

de l’arrêt Cass. civ. 1ère, 30 septembre 2010 · Lecture des arrêts : Cass. civ. 1ère, 27 novembre 1961 (et corrigé sur la plaquette de  méthodologie, pages 52 à 60) ; CA Riom, 19 janvier 2021 - Cass. civ. 1ère, 25 juin 1996 – Cass. civ. 2ème, 4 décembre 2008 – Cass. civ. 1ère, 11 mars 1980 – Cass. civ. 3ème, 25 janvier 1984 – Cass. civ. 1ère, 14 octobre 1997 – Cass. civ. 2ème, 30 avril 2003 – Cass. civ. 1ère, 25 février 1997 – Cass. civ. 1ère, 29 avril

responsabilité extra-contractuelle et la responsabilité contractuelle est la mise en demeure. - Pour engager la responsabilité contractuelle du débiteur, on doit le mettre en demeure de s’exécuter. La jurisprudence est venu modérer cela dans un arrêt Cass chambre mixte du 6 juillet 2007 qui est venu apporter une distinction : «il n’y a plus besoin de mise en demeure en matière contractuelle en ce qui concerne la réparation des dommages et intérêts compensatoires.» - Pour ce qui résulte du retard, il

LICENCE DROIT 2ème ANNEE SEMESTRE 4 PROMOTION 1 DROIT DES OBLIGATIONS (2) Cours : Anne-Valérie Le Fur Professeur à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines TRAVAUX DIRIGES Séances n°1 à 5 Année universitaire 2011-2012 SEANCE n°1  Introduction à la responsabilité civile Thèmes abordés au cours de la séance - Les sources du droit de la responsabilité - Les fondements du droit de la responsabilité - L’évolution du

chapitre I Par ailleurs si toute personne a la personnalité juridique, les personnes se différencient entre elle, et le droit civil attache des conséquences juridiques à ces différences et consacre une « distinction civile des personnes » : chapitre II. L’attribution de la personnalité juridique implique un certain nombre de conséquences, des droits sont rattachés directement à la personnalité juridique. Donc dans un chapitre III on étudiera les attributs de la personnalité juridique. CHAPITRE

Année universitaire 2011/2012 Master Droit privé – semestre I Interrogation écrite de droit des sûretés 5 novembre 2011 – durée de l’épreuve : 3 heures CAS PRATIQUE : Installée à La Rochelle, la SARL P, est une société filiale appartenant à un groupe de commercialisation de produits surgelés dirigé par une société mère, la SA Topgel. Traditionnellement, la SARL P fournit des restaurants de la région. En 2010, M. X, gérant de la SARL P, a décidé de créer un magasin pour accéder au marché des particuliers

requise qu’à titre probatoire (I). Cependant dans un souci de renforcer la protection de la caution en lui faisant prendre conscience de l’importance de son engagement, des textes dérogatoires sont venus exiger une mention manuscrite à titre de validité (II). I.Le droit commun : une mention manuscrite exigée à titre PROBATOIRE Le droit commun de la preuve s’applique au contrat de cautionnement. Il convient d’appliquer distributivement les articles 1341(preuve par écrit quand > 1500 euros) et 1326

bâtonnier Eugène Reumont avait une opinion très tranchée sur la question. Il affirmait que « l’avocat ne conclut avec son client aucun contrat. Les auteurs qui sont d’un autre avis raisonnent sur des apparences »[4]. Aubry et Rau partageaient le même avis[5]. Cette position s’isola toutefois au fil du temps, et la plupart des auteurs finirent par admettre la nature contractuelle du lien existant entre l’avocat et son client[6]. Se posa alors la question de savoir de quel type de contrat il s’agissait

réparation Les hypothèses dans lesquelles la jurisprudence paraît promouvoir plus ou moins clairement des présomptions de préjudices tendent à se multiplier. Avec l'arrêt rendu par la troisième chambre civile de la Cour de cassation le 9 septembre 2009 (Civ. 3e, 9 sept. 2009, n° 08-11.154, à paraître au Bulletin ; D. 2009. AJ 2220, obs. G. Forest ; AJDA 2009. 1639 ; RDI 2009. 583, obs. C. Morel), c'est au cas de voie de fait commise par l'Administration que ce raisonnement est appliqué. En l'espèce

il importe d’être succinct et de n’évoquer que les points pertinents. Les aspects accessoires doivent être laissés de côté (par exemple tout ce qui concerne la prise en charge des frais au titre de l’article 700 du Nouveau Code de Procédure Civile). 5) Le problème de droit Il s’agit d’exposer ici la question de droit que les parties au procès ont posé aux juges. C’est le point le plus délicat de la fiche d’arrêt. A noter : o le problème de droit doit être présenté sous une forme interrogative. Il