Cass Com 16 Juin 1992

check » (vérifier) et du vieux français « escheck » qui signifie échec, soit d’une origine arabe qui proviendrait du terme arabe « shak » (mandat). Ce qui est certain est que le chèque est un titre de paiement apparu en France en 1865 par une loi du 14 juin à l’imitation de la pratique Anglaise. Cette loi Française, après plusieurs modifications sera remplacée par le décret-loi du 30 Octobre 1935 qui a introduit dans la législation Française la loi uniforme du 11 mars 1931 de Genève. En Afrique francophone

de crédit. La jurisprudence française était alors plutôt favorable à la nullité des contrats que l’établissement de crédit a conclu. Depuis l’arrêt de la Chambre plénière du 4 mars 2005, confirmé par celui de la Chambre commerciale du 7 juin de la même année, la Cass a opéré un revirement de jurisprudence. Le délit d’exercice illégal de la profession bancaire pour méconnaissance de l’agrément ne peut en l’état de cette jurisprudence être assorti de sanctions civiles. Cette position tend d’un côté à

(Bordeaux, 19 avril 2005), que, malgré l'opposition notifiée le 27 mai 2004 par le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Bordeaux, le maire de la commune de Bègles, en sa qualité d'officier d'état civil, a procédé, le 5 juin 2004, au mariage de MM. X... et Y... et l'a transcrit sur les registres de l'état civil ; que cet acte a été annulé, avec mention en marge des actes de naissance des intéressés ; Sur le premier moyen, pris en ses deux branches : Attendu que MM. X.

devra lui payer le prix. La prescription extinctive : Elle se définit comme la libération d’un débiteur du fait de l’écoulement du temps et de l’inaction du créancier. En l’absence de délai contraire, l’article 2224 du Code civil (issu de la loi du 17 juin 2008), le fixe à 5 ans : « Les actions personnelles ou mobilières se prescrivent par cinq ans à compter du jour où le titulaire d'un droit a connu ou aurait dû connaître les faits lui permettant de l'exercer » Cette nouvelle disposition modifie l’ancien

enjeux de règles de P et des difficultés que rencontre le législateur. Ces enjeux se manifestent dans une tendance à un renouvellement constant qui s'est manifesté entre autre et essentiellement par l'adoption d'une loi très importante, la loi du 15 juin 2000 « loi renforçant la protection de la présomption d'innocence et les droits des victimes ». Ce titre peut paraître contradictoire car renforcer les droits de la personne soupçonnée et en même temps renforcer les droits de la victime de l'infraction

juridique licite qui s’impose au débiteur en dehors de sa volonté. Le quasi contrat permet de corriger la rigueur du droit. Séance n°2 : L’existence du consentement I. La rencontre des volontés : l’offre et l’acceptation : · Document 5 : Cass, 3ème civ, 11 mai 2011 Faits : Un couple a acquis l’usufruit d’un immeuble et leur fils la nue-propriété. Par acte authentique du 13 avril 2001 celui-ci a consenti, après le décès de son père, une promesse unilatérale de vente à un tiers bénéficiaire

relève des pouvoirs des associés. Ainsi, la C de cass a considéré que n’était pas valable la décision des dirigeants d’interrompre la publication d’un journal périodique qui constituait l’activité principale de la société (arrêt du 12 janvier 1998). En sens inverse, lorsque l’objet social demeure possible à atteindre, même en cas de cession d’un élément d’actif (arrêt du 1er février 1994). Dans ce genre de contentieux, la position de la C de cass est assez souple, entendant assez largement les pouvoirs

conclusion du contrat b. Dans certains cas la rupture de peut être fautive et engager la responsabilité de auteur (Paris, 25ème ch. B, 10 mars 2000) Ø Une responsabilité délictuelle (Com. 7 janvier et 22 septembre 1997) Ø La perte de chance de tirer profit du contrat ne donne pas droit à des dommages-intérêts (Com. 26 novembre 2003, Manoukian) 2. Le pacte de préférence a. C’est l’acte par lequel une personne s’engage, si elle décide de contracter, à le faire avec telle ou telle personne déterminée

entreprises19 ». Une technique mise au service de l’entreprise20. Les différentes thèses développées sur la notion juridique de l’entreprise, dans la mesure où elles ont contribué à cerner l’entreprise elle-même dans toutes ses dimensions, nous 15 16 17 18 19 20 Hamel et Lagarde, Traité de droit commercial, Dalloz, 1945 n° 218. M. Despax, l’entreprise et le droit, LGDJ Paris 1956. J. Paillusseau, entreprise, société, actionnaires, quels rapports ? D 1999 ch. p.161. J. Paillusseau, Les

prétention opposant les parties sur l’existence d’un droit ou sur sa portée ; - la mission confiée à un tiers : l’évaluateur Arr cass, 16.02.2010 : faits : une cession d’action et les parties avaient prévu une réévaluation du prix par un tiers en cas de désaccord. La CA avait considéré que c était une clause d’arbitrage et donc recours en annulation et la cass casse l’arrêt car le tiers , l’évaluateur, avait pour mission simplement de constater un fait , «  le tiers désigné par les parties avaient