Cass Com 22 Octobre 2002

« La sécurité informatique dans l’entreprise » PROJET PROFESSIONNEL Kevin FREOA Année universitaire 2002 - 2003 DESS Droit et Pratique du Commerce électronique Université Paris V René Descartes La sécurité informatique dans l’entreprise – Kevin Freoa 2004 TABLES DES MATIERES 2 La sécurité informatique dans l’entreprise – Kevin Freoa 2004 1. 1.1 LA REGLEMENTATION RELATIVE A LA SECURITE INFORMATIQUE ............ 11 La réglementation française : la loi Godfrain .................

au drt fondamentaux ont la caractéristique de s'adresser aux état et ne pas être précis. Pas d'applicabilité directe mais finalement on les a jugé applicables. La convention de New-York débat vif entre conseil d'état et cours de cass. La divergence était que la cours de cass disait regarder article par article un article d'une convention pouvait être applicable mais un autre art de la même conv non, tandis que le conseil d'état regardait l'ensemble de la convent° et souvent concluait à la non applicabilité

Responsabilités civiles délictuelles Actuellement :  Livre 4 : Des sûretés, issue de l’ordonnance du 23 mars 2006 concerne le cautionnement, le gage et les hypothèques.  Livre 5 : Dispositions applicables à Mayotte, crée par ordonnance du 19 décembre 2002. Ce livre est très critiqué car il instaure des règles particulières pour une zone géographique, il va dans le sens contraire à l’unité du Code Civil français. C/ L’après Code Civil 1 En France Le code civil ne peut pas tout prévoir donc pour combler

sauvegarde ? 18 B. Pourquoi choisir la sauvegarde ? 18 Section 2. Prévenir c’est placer le chef d’entreprise au cœur de la procédure. 22 § 1. Le chef d’entreprise : l’acteur principal de la procédure. 22 A. Le débiteur conserve la main mise sur la procédure de sauvegarde. 22 1. Le chef d’entreprise est l’initiateur de la procédure. 22 2. Les éléments incitateurs. 23 B. Un chef d’entreprise soutenu. 24 § 2. L’application de la sauvegarde en pratique dépasse

la jurisprudence Chronopost établie en 1996 par la Cour de cassation. L’existence de la cause appréciée dans une conception objective en tant que contrepartie convenue a permis à la chambre commerciale de la Cour de cassation dans un arrêt du 11 octobre 1996 d’annuler la clause limitative de responsabilité. En effet, le manquement de l’entreprise à une obligation essentielle, la livraison du colis dans le délai prévu et déterminé, ne pouvait pas être proportionnellement sanctionné. La clause limitative

conseil de la concurrence, il y avait deux instances : • l'instance d'instruction composée de rapporteurs sous l'autorité d'un rapporteur général • l'instance de décision = collège composé de 9 membres souvent détachés du CE, de la Cass, membres extérieurs appartenant de la vie économique et universitaires. La spécificité du conseil de la concurrence était d'être une autorité administrative indépendante, une quasi-juridiction. Pourquoi? Le collège rend des décisions en première

Com. Encylopédie Dalloz de Droit Commercial. Gaz.Pal. Gazette du Palais. IFLR International Financial Law Review. Jcl. Juris-Classeur. Jcp. Semaine Juridique Edition Générale. QNI Quotidien National d’information. RTD Com. Revue Trimestrielle de Droit Commercial. TGI Tribunal de Grande Instance. 1 Introduction Générale. « Pour bien savoir les choses, il en faut savoir le détail et comme il est presque infini nos connaissances sont toujours superficielles

au long de l’année universitaire qui s’est écoulée. 3 Abréviations et acronymes: Aff. : Affaire Art. : Article B : Arrêt mentionné au Bulletin d’information de la Cour de cassation Bull. Civ. : Bulletin Civil C/ : Contre CA : Cour d’appel Cass. : Cour de cassation CEE : Communauté Economique Européenne Civ. : Chambre Civile CJCE : Cour de Justice des communautés européennes CJUE : Cour de Justice de l’Union Européenne Cons. : Conseil CPC : Code de Procédure Civile CPI : Code de la Propriété

voies et moyens de son choix, sous son nom et sous la responsabilité, ainsi que par le fait que cette convention porte sur le transport de bout en bout. » (Cass. Com. Du 16 févrir 1988, N° 86-18309) Cette profession est réglementée par le décret N°90-200 du 5 mars 1990, modifié en 1999, 2002 et 2009 avec le décret n°2009-1203 du 9 octobre 2008, et par les articles L132 du code de commerce. Nous allons expliquer plus en détails ces derniers afin de mieux comprendre toutes les modalités de cette

de la notion de dette de ménage. Ainsi, relèvent de la solidarité: les redevances, loyers, charges de copropriété (cf. Jurisprudence sous l'art. 220), tous les contrats de fourniture afférents au logements. Dans un attendu (Dalloz 2011, 1045) la Cass. Civ. 1ère, 17 novembre 2010, énonce que « L'art. 220 a vocation à s'appliquer à toute dette, même non contractuelle, ayant pour objet l'entretien du ménage et l'éducation des enfants, sans distinguer enre l'entretien actuel et futur du ménage ».